Cas : Des cultures d’organisation tranchées :

Question 1 :

On observe de nombreuses différences significatives du travail d’un manager entre les deux types d’entreprise présentées. Tout d’abord on peut remarquer que la prise de risque est appréhendée différemment. Dans l’organisation A , la prise de risque n’est pas privilégiée, l’échec est vécu de manière négative , ainsi les managers ne poussent pas les salariés à innover . Contrairement, le manager de l’organisation B encourage la prise de risque et l’expérimentation. L’entreprise doit être capable de répondre à une demande fluctuante

D’autre part, l’encadrement des salariés sont différents d’une entreprise à une autre. Dans le cas de l’organisation A, l’encadrement des salariés est très strict et rigoureux et ne laisse pas beaucoup de place a la prise d’initiative. Quant à l’organisation B, le manager encadre ses salariés d’une manière souple, basée sur la confiance. Les salariés ont une grande autonomie, ils peuvent mettre en place les moyens qu’ils souhaitent pour atteindre des résultats.

De même, « le cap sur les résultats » est appliquée de manière différentes dans les deux entreprises, le manager de l’organisation A ne prend pas en compte les moyens mis en œuvre pour atteindre les résultats, peu importe si les employés sont bien traités ou non, seule la productivité compte. Le manager de l’organisation B, prend en compte la manière dont les employés sont traités car pour elle la productivité dépend du bien être des salariés.

Le degré de l’orientation de l’équipe diverge selon les deux organisations ; le manageur de l’organisation A privilégie le travail individualiste, il ya une certaine segmentation de l’activité, chaque secteurs sont indépendants les uns et des autres et communication entre les différents secteurs est restreinte. Les Alors que le manager B va créer ses activités autour des équipes de travail, le travail est collectif à la fois horizontalement (« à travers les