Methodes de calcul echangeurs
MÉTHODE GÉNÉRALE DE CALCUL
POUR LES ÉCHANGEURS
Si tous ceux qui croient avoir raison n’avaient pas tort, la vérité ne serait pas loin. Pierre DAC
Le calcul des échangeurs de configurations diverses a longtemps été calqué sur celui des échangeurs à courants parallèles, à grand renfort de termes correctifs d’origine expérimentale. Il existe pourtant une méthode plus structurée et beaucoup plus riche dans ses
applications, …afficher plus de contenu…
Dans le cas de l’échangeur à contre-courant avec tftc qq < , la figure 2.4 (§ 2.3.2) montre que : ∞−= TTT cemax∆ et que ce maxT∆ peut être atteint par le fluide chaud si la surface est infiniment grande.
Comme feTT →∞ si ∞→Σ , on a donc : fecemax TTT −=∆ (3.2a) Enfin, avec un échangeur à contre-courant où tctf qq < , on constate sur la figure 2.5
(§ 2.3.3) que l’écart maximum a pour valeur : femax TTT −= ∞∆ et qu’il peut cette fois être atteint par le fluide froid si la surface d’échange tend vers l’infini.
Là encore, puisque ceTT →∞ quand ∞→Σ , on a : fecemax TTT −=∆ …afficher plus de contenu…
Ils ne se distinguent que par leur coefficient global k , qui intervient dans le NUT. Dans le premier cas cité, E représente l’efficacité du côté du fluide qui ne subit pas de changement de phase, puisque c’est celui qui possède le plus petit débit thermique unitaire. L’échangeur à facteur de déséquilibre nul sera aussi utilisé comme élément de référence dans le calcul des réseaux montés en série-parallèle (§ 7.3). 3.5.3. - Cas limite ∞→NUT Enfin, lorsque mintq est donné, il est possible que k ou Σ soit très grand. Dans