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Partie de commentaire sur amidou khane

583 mots 3 pages
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Cheik Hamidou Kane est un écrivain sénégalais né à Matam en 1928, qui occupa également des fonctions ministérielles sous la présidence d'Abdou Diouf. Après des études d'économie à la Sorbonne, pendant lesquelles il collabore à la revue Esprit et fréquente les cercles intellectuels, il est nommé, à trente ans, gouverneur de Thiès Il est l'auteur de L'Aventure ambiguë (Julliard, 1961), conte du déchirement d'un émigré africain en Occident pris entre deux cultures : « Si je leur dis d'aller à l'école nouvelle (...) ce qu'ils apprendront vaut-il ce qu'ils oublieront ? ». Ce livre reçoit le Grand prix littéraire d'Afrique noire en 1962. Il a publié plus récemment "Les gardiens du temple", une suite de l'aventure ambigüe rapportant de façon très romancée le conflit DIA/SENGHOR de 1962 Il a été entres autres ministre du plan sous le président SENGHOR, représentant de l'UNICEF dans de nombreux pays africains. Le sujet du commentaire est son œuvre, l’Aventure ambiguë écrit en 1961. C’est une histoire avec un africain qui s’appelle le Fou, et qui raconte sa première arrivée et ses impressions dans une grande ville européenne et l’inquiétude qu’il éprouve devant ce pays et ces gens qui lui sont inconnu. Le commentaire se divise en deux axes :
I- Un regard étranger
II- Une vision critique : un monde déshumanisé
I- Un regard étranger
A- La focalisation interne
Dans ce texte, on peut constater que le narrateur adopte un point de vue du narrateur est externe car dans le paratexte, le narrateur précise bien que c’est un africain, le fou qui raconte sa première arrivée dans une grande ville européenne. On peut peut-être dire aussi que le point de vue est omniscient, car le narrateur sait tout puisque c’est lui qui fait parler les personnages.
B- La référence à un monde connu
En lisant ce texte on pourrait penser que Le Fou compare ce monde européen au monde où il se trouvait, car il compare le trottoir de la route à de « la carapace dure ». Il caricature la route en la

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    (Qui vois, qui pense ?) • Le point de vue externe : le narrateur effacé ce place comme témoin des faits, il n’y a que des observations et aucune pensée. • Le point de vue interne : le narrateur est donc un des personnages, tous est vus à travers sont regard. Il n’y a que ses pensés. • Le point de vue omniscient :….

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  • Les coquillages de mr chabre
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    à la page 128, montrent que tout est implicitement suggéré. 4) Le narrateur adopte un point de vue omniscient. En effet, il connaît le passé des personnages comme on peut le voir à….

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    On peut alors être capable d'identifier la position du narrateur en étudiant les pronoms personnels. II-La focalisation Lorsque dans un récit, le narrateur est extérieur, il peut adopter trois points de vue (focalisation) : _La focalisation interne (point de vue interne) : On l'identifie grâce à la présence de verbes de perception (entendre, penser, voir, apercevoir, remarquer, croire, sentir, écouter,etc...) et à l'aide des champs lexicaux des sentiments, de l'émotion.….

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  • Étude sur Le Chat noir et autres contes
    2517 mots | 11 pages

    Cette antithèse «ni le jour ni la nuit» montre bien que le narrateur est tourmenté perpétuellement sans une minute de répit. D’autre part, on peut également remarquer que le narrateur est insensible par ses faits et gestes (p. 11, l.82) « l’âme n’en subit plus les atteintes… », (p. 18, l.302 « je dormis avec le poids de ce meurtre »). En effet, ces expressions et surtout la typographie « dormis » en italique montrent bien que le narrateur ne ressent aucun sentiment de remords alors qu’il a commis plusieurs crimes. Cela démontre que mentalement il est déréglé et se rapproche même du profil psychologique d’un psychopathe et qu’il a perdu toute trace d’humanité.….

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  • Banc blanc francais
    471 mots | 2 pages

    Le narrateur se place en observateur de la scène où il use du point de vue interne, il est dans les pensées de Fabrice, que l’on remarque grâce au couple sujet/verbe(s) de perception(s), « notre héros comprit » ou encore « il lui semblait », et appuie ce point de vue interne de pars le discours narrativisé « sa pensée se remit à songer à la gloire du Maréchal ». Il montre la sensibilité du jeune italien, « ce qui lui sembla horrible, ce fut un cheval tout sanglant ». L’auteur….

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  • l'ours et l'amateur des jardins la fontaine
    1023 mots | 5 pages

    Mais le discours argumentatif est aussi présent à travers les diverses interventions du narrateur dans les portraits des personnages. PORTRAIT DE L’OURS :  V. 6 : première intervention du narrateur  V. 7 : le narrateur bannit l’excès de la parole « il est bon de parler, meilleur de se taire » qu’il met en antithèse avec « raison » v. 4 (directement lié au classicisme)  V. 3 : l’ours vit dans la solitude : le narrateur pense qu’elle est mauvaise puisque l’ours devient « fou »  V. 1 : « Ours a demi léché » : l’ours est à demi-civilisé  contraire à l’honnête homme  V. 4 : la folie s’oppose à la raison sur la césure à l’hémistiche (renforce l’idée du classicisme) Tout cela aboutit à une certaine maladie  la mélancolie v. 12 PORTRAIT DU VIEILLARD :….

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  • Lambeaux
    532 mots | 3 pages

    Appréciation: | Note: | Question 1)Comment le point de vue narratif évolue t-il dans cette scène? Que signifie cette évolution? Le point de vue narratif est pour commencer, ainsi que dans la plupart du texte externe. Ce point de vue est utilisé lorsque le narrateur commente les faits de la foule en colère, illustré par la présence de Hussonet et….

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  • Marguerite de navarre heptameron explication nouvelle 8
    2364 mots | 10 pages

    La conclusion du récit constitue aussi une forme d’intervention du narrateur (« Comme toutes choses dites à l’oreille sont prêchées sur le toi… »), qui commente l’action ; elle définit de plus l’origine de l’histoire, la source, ce qui donne de l’authenticité au récit. Le point de vue : le narrateur est ici omniscient, il a accès au point de vue de chacun des personnage sur l’action et aussi à leurs pensées. Ceci permet de créer une complicité avec les destinataires aux dépens des personnages, en particulier celui du mari : on a accès à une vision d’ensemble de l’action, de sorte qu’on peut saisir le comique de la situation (la femme contrecarrant le projet de son mari) et de ses rebondissement (la femme trompée à son tour et qui commet un adultère sans le….

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    Point de vue externe= le narrateur est un observateur= il connait ni les pensées, ni les sentiments des personnages  il n’a qu’un regard extérieur. Point de vue interne= le narrateur fait percevoir au lecteur les lieux, les êtres et les événements à travers les impressions et la pensée d’un seul personnage ou de plusieurs personnages successivement. ( !! Jamais en même temps= c’est la différence avec omniscient) Le discours rapporté : Rapporter un….

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    Si l’on élargit le point de vue, on reconnaitra que l’ellipse est une figure plus considérable qu’elle ne le paraît. Indépendamment du sens que le terme en narratologie moderne (non apparition d’une séquence narrative attendue dans un programme parfaitement codé, culturellement déterminé, comme tel épisode traditionnel dans un roman d’aventures, ou récit non fait d’une péripétie pourtant impliqué dans la suite de la narration), l’ellipse se remarque à deux autres titres au moins dans l’histoire de la rhétorique. D’une part, elle constitue un des traits essentiels de certains styles de la brièveté. D’autre part, elle fait une entrée en force dans les traités de rhétorique classique de l’époque moderne.….

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    Objet d’étude n°1: Le personnage de roman, du XVIIème siècle à nos jours Séquence 1 : « Leurs yeux se rencontrèrent… » : les scènes de rencontre amoureuse dans le roman du XVIIème au XXème siècle Lecture analytique : la « rencontre amoureuse » entre Emma et Charles Gustave Flaubert, Madame Bovary (1857) Support: Depuis « Une jeune femme en robe de mérinos bleu… » jusqu’à « …. en lui tendant son nerf de bœuf. » Scène dite « de première rencontre ».….

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    2) Commentaire du narrateur et glissement de point de vue : On passe du « nous » au « on », donc il s’agit du passage d’une subjectivité à une plus grande objectivité = glissement de point de vue  le narrateur devient plus distant est cela permet de revenir sur la visée réaliste du texte. le point de vue omniscient signifie que l’auteur souligne la volonté de tout observer. L.51 : on remarque la faiblesse de Charles, qui est souligné par le narrateur externe et omniscient. L.60-61, on trouve une énumération et une répétition du « on », il s’agit d’un commentaire du narrateur sur les pitreries de la classe. On observe que l’énumération est dépersonnalisé  absence de subjectivité de l’auteur et la sauvagerie des élèves.….

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