Psychosociologie des organisations
* Au départ, l’envie de comprendre les organisations intervient avec la nécessité de rationaliser le fonctionnement de celles-ci. Il faut de meilleures méthodes de travail, par exemple avec la vision de Taylor (l’organisation scientifique du travail).
Par la suite, comprendre la vie des organisations devient une obligation, car il y a une plus grande prise en compte des aspects individuels. Le but ultime étant toujours de trouver les moyens d’améliorer la productivité.
Enfin, avec les autres méthodes de compréhension de la vie des organisations, on cherche toujours à étudier les mécanismes de fonctionnement interne ; dans le but d’atteindre les objectif que l’organisation vise.
* La trop grande prise en compte de l’aspect humain au sein des organisations est critiqué : les détracteurs de l’école des relations humaines le fait de trop « psycholiser ». L’individu n’est plus assez pris en compte comme « un outil de travail » et cela nuit à l’organisation. Le fait de prendre en compte l’aspect psychologique est perçut par « les opposants » de l’école des relations humaines comme un éloignement de l’étude de l’organisation elle-même. En effet, la structure de l’organisation n’est pas assez analysée et cela devient regrettable. C’est donc, une certaine spécialisation e l’école des relations humaines qui fait dire aux critiques, que celle-ci « psychologise» de trop l’analyse des organisations.
* -Postulat de James March : March est d’accord sur le fait que l’organisation doit être vue comme un système au sein duquel, les membres s’insèrent dans une structure, où les finalités, les rôles, et les statuts sont prédéterminés. De plus, son postulat prend en compte une nouvelle notion : celle de la rationalité limitée de l’acteur. Cela signifie qu’un acteur prend des décisions rationnelles à une certaine mesure, car des variables entre en compte (ex : degré d’information…).
- Postulat de Michel Crozier : Crozier reprend