Étude de cas « Les assurances Sécuriplus »
Lorsque l’on parle de principes de la division du travail, on se réfère à la période du début du 19ème siècle et à la vision que Mr. A. Smith a développée d’un travail productif pour l’intérêt de la société. L’organisation scientifique du travail quant à elle, fait référence à Mr F.W. Taylor , au début du 20ème siècle, dans des termes d’analyse scientifique et de division de travail dans le but d’augmenter la productivité.
Dans l’entreprise Assurances Sécuriplus, lorsque l’auteur nous présente l’organigramme du service de Mr Blanchette, nous remarquons que chaque employé effectue une tâche bien particulière et à bien des égards, répétitive. Cette division du travail, analysées et planifiées par la direction, en la personne de Mr Blanchette, ne produit pas le rendement désiré et ne répond pas aux critères qualités demandés par les clients. Dans notre cas, les principes de la division du travail, tels que défini par A. Smith, dont le but serait d’augmenter la productivité par la décomposition du parcours de la réclamation en entités séparées semble plutôt augmenter les délais de traitement par une sectorisation trop opaque de son trajet global. Nous pouvons donc affirmer que « La rupture entre l’objet produit et la personne qui le produit de façon répétitive » (Bédard, Ebrahimi, Saives, 2011, p 13), ne permet pas d’assurer une meilleure productivité, donc s’avère inefficace.
Lorsque Mr Blanchette nous parle de la session de formation au nouveau programme informatique donnée aux employés, il est intéressant de se demander si les compétences des employés sont en adéquation avec les tâches qu’on leur demande d’effectuer. En effet, les tâches demandées semblent nécessiter des compétences spécifiques pour lesquelles ils ont été formés. Si l’on se réfère à la double division du travail, telle qu’imaginé par Taylor, il est en effet de la responsabilité du directeur de s’assurer à ce que chaque employé soit bien à sa place au poste qu’il occupe. Un des