Alcools

par

Les poèmes élégiaques

On appelle poèmes élégiaques des poèmes tristes, tendres, courts le plus souvent. On peut rattacher à ce groupe, dans Alcools, certains poèmes des cycles d’Annie et de Marie. Ce sont, dans le recueil, les plus connus, ceux qui attirent l’œil et qui hantent la mémoire de par leur fluidité, leur musicalité et la richesse de leurs images.

 

Le cycle rhénan

 

D’août 1901 à août 1902, Apollinaire se trouve en Allemagne. C’est une époque où sa sensibilité s’avive et où se crée une manière poétique nouvelle et définitive. Au cycle rhénan – aussi nommé pour les nombreuses allusions au Rhin dans ces poèmes – appartiennent « La Maison des morts », la suite des « Rhénanes », « Automne malade », ainsi que « Les Colchiques », « Crépuscule », « Marizibill », « Saltimbanques », « Le Vent nocturne », « La Tzigane » et « Automne ».

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