Calligrammes

par

La Tête étoilée

Sur les treize poèmes de cette section, un seul (« Éventail des saveurs ») est un calligramme. Le dernier poème, « La Jolie Rousse », constitue une sorte de conclusion au recueil et, de la même façon que l’emblématique recueil Alcools se fermait sur une ouverture (et s’ouvrait sur une fermeture – « À la fin » sont ses premiers mots), Apollinaire finit ici par dire qu’il n’a pas dit tout ce qu’il avait à dire. C’est un aveu provocateur, car il a eu deux cents pages pour s’exprimer et que le lecteur vient de consacrer plusieurs heures à leur découverte, mais aussi un aveu honnête, en ce qu’il rend compte de ce qu’il y a d’insaisissable dans l’écriture.

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