1 La Culture Républicaine Ses Consensus Et Oppositions

pouvoir en ses seules mains. Seulement il ne peut pas imposer une monarchie, système haït par les citoyens romains et qui a causé la perte de son père. C’est pourquoi Octave entend inscrire l’ordre qu’il tente de mettre en place dans le cadre républicain, en conformité avec la constitution. De là, pour justifier l’émergence d’un principat dans lequel le princeps accumule dans les faits un ensemble de pouvoirs sur sa personne outrepassant les limites constitutionnelles, Octave doit utiliser des principes

les moeurs, la manière de vivre, les croyances, la culture, les comportements dans certaines situations, les discours, etc. Jusqu’en 450, les coutumes jouaient un rôle central, à partir de -450, elles sont concurrencées par les deux autres sources du Droit, mais elles conservent un rôle important dans certains domaines, notamment en ce qui concerne les usages propres à certaines familles en matière de mariage et en matière de nom de famille. 1° un héritage ancien époque archaïque source majoritaire

C/ Une société en transformation (rappel) C.1/ La montée des classes urbaines • Supports : doc 3 p.117 « le temps des mobilités », doc 4 p.117 « l’exode rural entre 1806 et 1906 ». • Activités : lecture et analyse. Bilan : L’urbanisation s’accélère après 1850. Elle est bien évidemment à lier à l’industrialisation, cependant il ne faudrait pas croire que toutes les industries s’implantaient en ville. C’est quand même en ville, et plus précisément à leur périphérie, à proximité des gisements

confiés au libéral Marie qui, n’y croyant pas, fait tout pour empêcher leur bon fonctionnement Election de l’Assemblée Nationale Constituante Victoire des Républicains modérés (70 %) + socialistes mais opposition royaliste et catholique 4 mai : Commission exécutive provisoire de 5 membres : 1 socialiste (Ledru-Rollin) et 4 Républicains modérés (Lamartine, Arago, Marie, Garnier-Pagès) 15 mai : insurrection à Paris menée par les socialistes révolutionnaires qui n’ont aucun élu ( Répression féroce

révèlent l’inscription de ce concept dans toutes les sphères de la société : tout d’abord, l’Etat ; ensuite les institutions et les services publics tels que l’école, l’armée, l’administration ou la justice ; et pour finir, la société civile et sa culture (programmes scolaires, mass média, mœurs et intelligences). En effet, comme le souligne René Rémond, « toute analyse des rapports entre le fait religieux et la société, comme toute réflexion sur le concept de laïcité, relève, à cause de la multiplicité

le fruit d’un compromis élaboré dans un moment de crise politique grave, entre De Gaulle, soutenu par les putschistes d’Algérie et les parlementaires, réticents à accepter son retour au pouvoir dans des conditions peu conformes aux traditions républicaines. Si la Ve République constitue donc une réaction vis-à-vis de la IV e (renforcement de l’éxécutif) elle se situe aussi en continuité avec celle-ci : elle cherche à conserver les principes du parlementarisme en mettant fin à ses défauts, reconnus

La formation d’une culture coloniale en France, du temps des colonies à celui des « guerres de mémoires » Pascal Blanchard, Sandrine Lemaire et Nicolas Bancel Cet ouvrage collectif s’inscrit dans un travail entamé au début des années 1990, lorsque nous avions cherché à approfondir certains aspects de l’histoire contemporaine de la France : d’une part, le poids de l’imaginaire colonial, décelé dans la production iconique coloniale, le cinéma colonial et les articulations intertextuelles images/discours1

l'attitude à adopter selon les périodes de l'histoire. Qu'en est t-il de la gauche française sur la période 1919-1924 ? La gauche se définie comme un ensemble de groupements et partis politiques qui professent des opinions progressistes, par opposition à la droite. La gauche se rassemble autour de concepts de collectivités, de progrès et d'égalité. On note dans cet ensemble des courants divers qui distinguent les différents partis : centre gauche ou social-démocratie, réformiste, favorable

Démocratie cosmopolitique et communauté politique PLAN 1) La question/ problématique qui anime les 5 leçons : démocratie cosmopolitique et communauté politique. 2) Cosmopolitisme contemporain et classique 1) Le débat autour de la démocratie cosmopolitique et de la communauté politique se développe dans le cadre de la mondialisation contemporaine mais n'est pas réductible à cette idée de mondialisation. C'est une question qui va au coeur même du projet de la modernité et va au coeur

peuplement : indigènes / natifs (cours 1) + européens (cours 2) + africains (cours 3) > voir les apports de ces populations. Voir comment les mélanges ce sont fait. Question du métissage. Fondation de la nation > valeurs communes ? construction de la citoyenneté ? construction de l’identité ? D’autant qu’un des pays les + inégalitaires du monde : pas de partage donc déficit de citoyenneté. Mythe de l’anthropophagie culturelle : assimilation des autres cultures avec digestion pour en créer une