1ere Personne Du Singulier

ce passage. Voc: embouche: prairie fertile où l'on engraisse le bétail/ méandre: courbe de la rivière. Introduction: reprendre la courte biographie élaborée sur la lecture analytique 1 Ce passage s'inscrit dans la 1ère partie de l'oeuvre. Le narrateur évoque à la 2e personne le destin de sa mère disparue. Sa mère a dû quitter l'école après avoir réussi brillamment son certificat d'études. Elle a découvert peu auparavant une bible, seul livre qu'elle possède et où elle cherche des réponses à

lequel elle s'engage et dans lequel elle tente d'impliquer le destinataire, le lecteur. L'implication elle utilise discrètement la 1ère personne du singulier qui montre qu'elle se présente engagée dans son propos. «Je ne parle pas..» (l.4) «...je crois...» (l.6 et 7) «J'ai dit que...» (l.42) Puis elle essaye aussi d'impliquer le lecteur par l'emploi de la 1ère personne du pluriel ou encore par des adjectifs possessifs du pluriel. «...notre bonheur...» (l. 3;10 et 15) «...notre âme.» (l.4) → met en

n'auront pas encore acheté le livre. Distribuer le texte, le lire à haute voix, laisser les élèves répondre au QCM sur le texte, corriger, recueillir les avis sur le texte. Questions de compréhension : 1)La narration est à la 1ère personne / 2ème personne / 3ème personne . 2)Le narrateur est un narrateur qui sait tout sur ses personnages / la victime / un témoin de l'évènement 3)L'évènement a commencé dans un passé éloigné / huit mois plus tôt / au XVIIIe siècle. 4)La première scène se déroule

réflexion axée sur une comparaison entre la mer et l'amour A. L'entrelacement de 2 thèmes, la mer (élément concret) et l'amour (sentiment de l'ordre de l'abstrait) 1. deux champs lexicaux primordiaux · "la mer" (six fois), relayée par "l'eau" au singulier ou au pluriel (4 fois) En partenariat avec www.bacfrancais.com · "l'amour" (huit fois), "aimer" (1 fois) "amoureux" (une fois), relayé par "le feu" (métaphore précieuse de l'amour devenue traditionnelle) (3 fois) et des mots du même champ

Montre un rapport de proximité entre l’auteur et les esclaves (Noirs) Répétitions de « vos », « votre » (l10,l11,l20-21,…) Montres que les blancs et les noirs ont des différences toujours existantes. 2) Je Emploie important du « je » : 1ere personne du singulier  pronom personnel Répétitions du même : « le même esprit, la même raison, les même vertus que les blancs. » (l5-7)  Condorcet est guidé par la raison et dit que pour lui tous les hommes sont égaux. 3) Thèse/Antithèse Auteur est

de la beauté 1. Un portrait allégorique : Baudelaire fait de la beauté une femme Argument 1 : la beauté est personnifiée.  Le poète instaure un dialogue entre la beauté et lui : utilisation des pronoms personnels et des possessifs de 1ère personne du singulier.  Apostrophes.  Majuscule au nom « Beauté » Argument 2 : la personnification donne à la beauté un corps de femme.  Les parties du corps évoquées font penser à un blason : le regard (2, 5, 23, 26) ; la bouche (7 et au vers 23 le sourire))

Tout d’abord, ce poème se caractérise par une dimension autobiographique, l’auteur y décrit avec nostalgie et émotion sa jeunesse vagabonde et sa vie de bohèmeI ) Un poème autobiographique1. La solitude de l’auteur · Utilisation de la 1ere personne du singulier ainsi que d’autres pronoms signifiants que le poète parle de lui : "Je" ; "m’" ; "mon" ; "j’" ; "j’ai" ; "ma" ; "mes"· Utilisation de l’imparfait qui renforce la solitude et désigne des actions vagues · Solitude aussi renforcée par le fait

Courant littéraire : le baroque Pierre de MARBEUF (1596 - 1645) "Et la mer et l'amour..." (publié en 1628) TRAVAIL PREPARATOIRE AU COMMENTAIRE COMPOSE 1ère étape : nature du texte genre poème (sonnet) type(s) réflexion qui s'appuie sur une comparaison monologue ton(s) parfois didactique mais surtout élégiaque 2ème étape : situation du texte auteur Pierre de Marbeuf œuvre poème sans titre L'œuvre complète, le recueil, ne sont pas précisés contexte culturel 1628, début

Lecture Analytique n°4 Sermon sur la mort (1662) Bossuet • Introduction Extrait de la 1ère partie de Sermon sur la mort proclamé à l’occasion du vendredi de la IV semaine sainte du carême 1662. Le Sermon n’est pas destiné à etre une œuvre littéraire puisqu’il s’effectue à l’oral. Il suit un déroulement très codifié : lecture de l’évangile exorde développement Peroraison Dans le cadre de son sermon B veut rappeler à la cour que les plaisirs terrestres s’ils apportent une satisfaction

fois une connotation érotique et maternelle ; il s’en imprègne pour s’ouvrir au rêve. En observant la situation d’énonciation, il peut donc sembler paradoxal qu’il n’y ait que deux adjectifs possessifs de 2ème personne aux vers 2 et 9, alors qu’on trouve cinq occurrences de 1ère personne : « Je » est même en position initiale aux vers 2, 3 et 10, il est le sujet sous-entendu du participe passé « Guidé » au vers 9 ; on trouve aussi le pronom « m’ » au vers 13 et l’adjectif possessif « mon » au vers