2eme Chambre Civile Cassation

du Code civil, en 1804, le législateur a dû définir le principe de non rétroactivité des lois pour répondre à un besoin de sécurité juridique. C’est ce qu’il fit à l’article 2 du Code civil. Deuxième article du Titre Préliminaire « De la publication, des effets et de l’application des lois en général » du Code civil, celui-ci

DEROULEMENT D'UNE AFFAIRE AU CIVIL. * Nature de l'affaire : oppose 2 particuliers ou bien 1 particulier et une entreprise. * Naissance du litige : opposition de 2 personnes sur un problème juridique. Ex : - perte d'une carte avec des opérations - preuve d'une opération - respect des obligations d'information et de conseil. - respect des obligations contractuelles (Convention de compte, contrats de crédit(s)) - recherche d'une solution amiable - si pas de solution → procédure

des termes juridiques, Dalloz SECTION II – LES ENCYCLOPEDIES JURIDIQUES * Classement alphabétique : Répertoire Dalloz * Classement par article : JClasseur Civil * Classement thématique : Lamy, autres J.Classeurs. Références : Rép. Civ. Dalloz, v° Association par auteur, année. Auteur, thème : J-Class. Civil, art., fasc., année, §. Auteur, thème : Lamy, année, p., §. SECTION III – LES REVUES Elles reproduisent des décisions de justice, publient des commentaires de ces

L’article 1843-4 du code civil : sécurité juridique ou bombe à retardement lors d’évaluation à dire d’expert de titres de société ? par P Loeper et JL Fournier EXPERTS, n° 82, 2009, février - pp. 8 à 12 JJ, A, 04, 07 mots clés L’article 1843-4 du code civil : d’expert de titres de société ? Jean-Luc Fournier Essec – Docteur en Droit Expert-comptable – Commissaire aux comptes Expert près la Cour d’appel de Paris Agréé par la Cour de cassation Article 1843-4 du code civil / evAluAtion à dire

la réparation du préjudice subit. Les juges du fond de la cour d'appel de Limoge ayant condamné l'association au versement de dommages et intérêts, par un arrêt rendu le 23 mars 1989, celle-ci forma un pourvoi en cassation pour contester la décision. Le 29 mars 1991, la cour de cassation, sous la formation d'une assemblée plénière, a statué de sorte à s'aligner à la décision des juges du fond ; sans même corriger l'interprétation qui avait été faite de l'article 1384 alinéa 1 sur lequel se fondaient

La faute dans la responsabilité du fait personnelL’article 1382 du Code civil dispose : "Tout fait personnel de l’homme, qui cause à autrui un dommage, oblige celui par la faute duquel il est arrivé à le réparer".Dans sa conception moraliste, le droit français fonde la responsabilité civile du fait personnel sur la notion de faute, mais le législateur est resté silencieux sur cette notion cela dit, après l'article 1382, l'article 1383 semble vouloir donner un semblant de définition de la faute :

l’évènement qui va créer le lien d’obligation. L’essentiel sera composé de la responsabilité civile délictuelle. L’approche juridique est essentiellement jurisprudentielle. Le créancier est ici une victime qui a subit un préjudice moral ou corporel. Le préjudice corporel est un élément de l’équation très important pour des besoins d’équité. La responsabilité délictuelle (la règle juridique qui découle d’un délit civil) ne forme pas l’intégralité des faits juridiques et notamment des faits juridiques que

l’état. Elle a aussi pour fonction de compenser les souffrances subies et ainsi d’indemniser la victime. Ainsi, la Cour de cassation a admis assez tôt le principe de la réparation du dommage moral mais l’intérêt est de savoir les difficultés qui ont été rencontrées. Dans quelle mesure la Cour de cassation a admis la réparation du dommage moral ? D’après la Cour de cassation, le dommage moral est réparable (I) et elle a étendu le domaine de ce principe (II). I. L’admission du principe de réparation

possible. C'est le montant du litige qui va déterminer si l'on peut faire appel ou pas (en général il a été fixé à 4000€) Remarque : pour les 1ers jugements (en 1er et dernier ressort) : il restera cependant possible un recours devant la cour de cassation. Remarque de vocabulaire : quand on parle de jugement les décisions rendus par une juridiction du 1er degré ; au 2nd degré, on parlera d'arrêt. Quand la décision est rendue par un seul magistrat, on appelle cela des ordonnances Section II : les

L’arrêt rendu en date du 3 juillet 2003 par la 2ème chambre civile de la cour de cassation traite du problème de la responsabilité parentale d’un mineur ayant causé des dommages à autrui. En l’espèce, M.Y a blessé M.X, tout deux mineurs agés de quatorze ans, d’un coup de coude et lui a cassé deux dents lors d’un « jeu de combats » pendant un cours de sport. Le demandeur, parents de M.X a assigné en réparation de son préjudice les parents de M.Y. Le jugement a débouté le demandeur. Le demandeur