2éme Chambre Civile 3 Juin 2004

évolution nécessaire se fait sous le signe du déclin ou s’il ne s’agit que d’une mutation (la problématique est suggérée sans être dévoilée). On fait aujourd’hui état d’un pluralisme familial. Il n’y aurait pas une famille, la famille légitime du Code civil de 1804, mais des familles. La famille légitime ou naturelle, les familles nucléaires, les familles monoparentales, les familles recomposées, les familles homoparentales… sont autant d’exemples de cette implosion du modèle familial. Ce faisant,

elle-même. La créance que détient le débiteur poursuivi sur le tiers saisi doit notamment porter sur une somme d’argent (sous-section 1), exister au jour de la saisie (sous-section 2), être dans le patrimoine du débiteur (sous-section 3), être saisissable (sous-section 3) et enfin les circonstances doivent être susceptibles d’en menacer le recouvrement (sous-section 4). Sous-section 1 : Une créance de somme d’argent fondée en son principe La créance que détient le débiteur poursuivi

reposer sur une règle de droit. Mais certaines lois sont des décisions. La multiplication des litiges n’est pas nécessairement la marque que les règles de droit sont mauvaises, ce qui importe c’est la manière dont les conflits sont résolus. Section 3 : Caractères communs aux normes juridiques. §1 : Sanction étatique. Toute règle ou norme juridique ou non est transgressable, ce qui importe c’est que cette transgression soit sanctionnée. Les sanctions sont diverses: • L’annulation d’1 acte ou

criminologues américains qui ont permis de cerner la criminalité des affaires. Parmi ces criminologues, Sutherland est probablement l’un des principaux créateurs de la délinquance en col blanc. Notion qui est apparue au début du 20ème siècle. Il distingue 3 critères : Dans un premier temps, c’est une délinquance d’un niveau social élevée. Dans un 2nd temps, ce délinquant met à profit ses connaissances notamment professionnelles pour commettre l’infraction. Dans un 3ème temps l’auteur explique qu’il s’agit

coutume  (                               )   C’est un  double compromis   La place de l’islam, islam et droit constitutionnel :     Dans la constitution de 1996 il y avait 4 dispositions relatives à l’islam ( 1- le Maroc est un Etat musulman/ 2- l’islam est la religion de l’Etat / 3- le roi est commandeur des croyants / 4- on peut tout réviser dans la constitution sauf les dispositions relatives à l’islam et les dispositions relatives à la monarchie .   La constitution de 2011 fait référence 19 fois au fond religieux  mais on

Droit Civil Introduction Pour présenter le Droit civil, il faut border la notion de droit objectif (= l’ensemble des règles de Droit qui couvre un grand nombre de domaines dans lesquels une règlementation est nécessaire. Pour classer les règles, on effectue un regroupement des règles qui concernent les mêmes domaines. On distingue deux branches : Droit public et Droit privé. Le Droit privé régit le rapport des particuliers entre eux, il comprend lui même un certain nombre de matières, dont

DEA Droit des affaires Promotion 2003/2004 Séminaire de M. J.-L. Elhoueiss Banque et bourse LE SURENDETTEMENT DES PARTICULIERS Exposé présenté le 08 décembre 2003 1 Par Lynda Imloul SOMMAIRE • Plan de l'exposé • Introduction • Partie 1 : La procédure de traitement des situations de surendettement des particuliers • Partie 2 : La procédure de traitement des situations d'insolvabilité des particuliers • Bibliographie • Annexes

Droit constitutionnel Définition du droit Le droit est un ensemble des règles définies dans une société donnée à un moment donné. La règle juridique (sanctionnée par le droit civil et pénal) s’oppose à la règle morale et religieuse (sanctionnées par la conscience). Droit positif : celui qui existe ≠ Droit naturel : acquis, inhérent à la dignité humaine dès la naissance, les droits imprescriptibles et universel. Droit privé : ensemble des règles juridiques qui règles un certains

statuts ». Principe de spécialité, n’a pas été remis en cause par la loi de 1982. INTERDICTION DU SYNDICAT : Pas d’activité commerciale. Pas d’activité exclusivement politique ni religieuse. LIBERTE SYNDICALE Liberté d’adhérer et de ne pas adhérer. 3 règles : Chacun est libre d’adhérer au syndicat de son choix L 2141-1 CT Chacun peut adhérer à un syndicat et à un syndicat de son choix. A condition de payer des cotisations. C’est une adhésion individuelle. Principe : L2141-5 du CT l’employeur

Introduction au droit et thèmes fondamentaux du droit civil, Dalloz pour Armand Colin, Collection U Droit, 14ème édition août 2012 - Mélina DOUCHY-OUDOT, Droit civil 1ère année (comprend l’introduction au droit, le droit des personnes et le droit de la famille), Dalloz, collection Hypercours, 6 ème édition 2011 - D. MAINGUY, Introduction générale au droit, Litec, coll. Objectif Droit, 6ème édition, août 2013. - Philippe MALAURIE et Patrick MORVAN , Droit civil, Introduction générale, éditions Défrénois