3ème Chambre Civile 30 Avril 2003 Résolution

Licence AES – Semestre 2 – Année universitaire 2009/2010 Responsabilité civile Cours de Jérôme Leprovaux, Maître de conférences en droit privé Travaux dirigés de Bégnara M'bra, ATER à la Faculté de droit de Caen Bibliographie : - A. Bénabent, Droit civil, les Obligations, Montchrestien, 8e édition, 2008 - Ph. Malaurie, L. Aynès et Ph. Stoffel-Munck, Les obligations, Defrénois, 3ème éd. 2007 - V. Toulet, Droit civil, Les obligations, Paradigme, 12e édition 2007 Règlement du contrôle continu

6(§2)2, 233, 32(§1)4, 107, 113, 117, 118 (§1), 120, 127 et 1285 ; Le Pacte international relatif aux droits civils et politiques et notamment son article 146, tel qu’il a été commenté par le Comité des droits de l’Homme dans son observation générale N°327 et notamment dans ses paragraphes 88 et 229 ; La Convention relative aux droits de l’enfant, notamment son article 38 (2ème et 3ème paragraphe)10 ; Le Protocole facultatif à la Convention relative aux droits de l’enfant, concernant l’impli-

va t’on appliquer à ces activités administratives ? Une double réponse est possible : La première, appliquer le droit commun, c’est le cas en Grande Bretagne ou encore aux Etats-Unis, le droit applicable à ces relations entre l’état et la société civile relève du droit commun selon le principe d’égalité devant la loi (volonté des paires fondateurs des USA, l’état ne peut s’inviter chez les citoyens aux USA, il faut l’intervention du pouvoir judiciaire pour que l’exécutif puisse intervenir légalement

CONSTANT qui écrivait « à la vérité, on ne fait pas la constitution, les constitutions se font rarement par la volonté des hommes, le temps les fait. » On distinguera deux parties par une date charnière qu’est le 4 septembre 1870 qui est la date de la 3ème République. On est sous l’empire, et le détenteur du pouvoir exécutif est Napoléon III qui rétablit l’empire le 2 décembre 1951 après avoir été élu au suffrage universel en 1848. Ce dernier capitule le 2 septembre 1870 après la défaite de Sedan qui

en 1929* par le ministre français des affaires étrangères de l’époque Aristide de Briand. Le décès de ce dernier et surtout l’accession au pouvoir du parti nazi en Allemagne conduisent l’échec de ce premier projet. Parallèlement, au cours des années 30, des ententes ont pu être connues comme l’entente balkanique ou l’entente baltique, mais ces ententes restent limitées, d’un point de vue géographique elles réunissaient très peu d’Etas (ententes sub-géographiques), en plus d’aspects techniques difficiles

juridique : - Un individu à des droits : un droit subjectif, on l’applique à un sujet, on le définit par rapport à celui qui exerce une aptitude juridique. (ex du droit de vote) - C’est le sens du terme lorsque l’on parle de droit français, droit civil, droit constitutionnel, un ensemble de lois, de normes juridiques qui est cohérent parce qu’il a un même élément de définition. Cette définition englobe les droits subjectifs. - Le droit et ses différentes branches sont des sciences, sont des disciplines

Jacques Le Goff : « Du silence à la parole ». 1ère partie = Du silence à la parole Leçon 1 = L’histoire du droit du travail 1ère question : pourquoi le droit du travail existe-t-il ? Pourquoi n’a-t-on pas appliqué le droit civil ? Rappel = 1789 la révolution, l’individu devient le centre de la société. La révolution libère l’activité économique. Comment ? Le régime corporatif est supprimé. La loi d’Allarde des 2 et 17 mars 1791 qui consacre la liberté du travail tout artisan

faits pour une meilleure organisation, une meilleure régulation. Le droit du travail n’est pas né d’un coup d’esprits supérieurs mais est une stratification de lois, les lois se sont empilées et le droit du travail n’a pas la beauté conceptuel du Code civil. Ambivalence OIT 1919 : repris en juin 2008 : dans son préambule il est dit que les normes de l’OIT ne doivent pas servir de couvertures protectionnistes à certains états. Au niveau international il n’y a pas que le droit de la concurrence mais

l’arrivée du terme, n’engendrent en principe aucune responsabilité. »[29] Le deuxième constat est celui faisant l’éloge du législateur tunisien qui en reproduisant le projet de réforme élaboré par la commission de réforme du code de commerce français[30] a pris l’initiative d’ajouter la formalité du préavis et l’exigence de la notoriété de la cessation des paiements. Son mérite est d’autant plus que louable dans la mesure où le législateur français n’a eu à légiférer sur la question que vingt cinq

Droit civil - droits des contrats spéciaux Droit des contrats spéciaux Introduction Notion de contrats spéciaux Cette notion soulève quelques interrogations. Car si on parle de contrats spéciaux cela veut dire quʼil y a un contrat spécial et des contrats généraux. En réalité cette expression est trompeuse car il nʼy a pas de contrats généraux et spéciaux. En réalité tous les contrats sont spéciaux. Cette nomination vise à distinguer dʼune part la théorie générale du contrat de lʼétude des règles