Aberration géométrique

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------------------------------------------------- Chap.2 – Caractéristiques des séries statistiques à un caractère * Savoir calculer les caractéristique de position suivantes : mode (Mo), médiane (Me), premier et troisième quartiles (Q1 et Q3), moyenne arithmétique (x), moyenne géométrique (G), moyenne harmonique (H). * Savoir calculer les caractéristiques de dispersion suivantes : intervalle interquartile Q3-Q1, variance V(x), écart-type x et coefficient de variation CVx = x x -------------------------------------------------

LA REFRACTION DE LA LUMIERE 1° Introduction Si nous plaçons une latte rigide dans un aquarium rempli d'eau et si nous regardons la latte par au-dessus, nous avons l'impression qu'elle est brisée. Sortons la de l'eau, elle est intacte. Pourquoi la latte semblait-elle brisée lorsqu'elle était dans l'eau ? 2° Définitions Versons dans une cuve transparente de l'eau contenant de la fluoréscéine (l'eau est jaune fluo). Utilisons une source lumineuse et envoyons un faisceau cylindrique sur la

Chapitre XIII : Géométrie dans l'espace I. Des solides et des volumes. 1) Les solides 'pointus' a) Les Pyramides Une pyramide a pour base un polygone. les différents sommets du polygone sont reliés par des arêtes, au sommet de la pyramide. Remarque : Le sommet de a pyramide n'est pas dans le plan du polygone Vocabulaire : Une pyramide régulière a toutes ses arêtes de meme longueur. Les faces sont donc des triangles équilatéraux. Une pyramide à base triangulaire est un tétraèdre

3.1. Les caractéristiques de tendance centrale 3.1.1. Le mode 3.1.2. La médiane 3.1.3. Généralisation de la médiane : les quantiles 3.1.4. La moyenne arithmétique 3.1.5. Généralisation de la notion de moyenne - La moyenne géométrique - La moyenne harmonique - La moyenne quadratique - La moyenne d’ordre « r » ou moyenne généralisée 3.2. Les caractéristiques de dispersion. 3.2.1. Les écarts simples 3.2.2. La variance et l’écart-type 3.2.3. Le coefficient

Capes Interne 1996) I) LE NOMBRE D’OR A) À propos de moyennes Soient a et b deux nombres réels strictement positifs tels que a ( b. On appelle « moyenne arithmétique de a et b » le nombre réel [pic]. Le nombre réel [pic] est appelé « moyenne géométrique de a et de b » et le nombre [pic] est appelé « moyenne harmonique de a et b ». 1) Dans chacun des deux exercices suivants intervient une des moyennes introduites ci-dessus. On précisera laquelle un justifiant la réponse. Exercice 1 Déterminer

Analyse des résultats Premièrement, nous pouvons voir qu’avec le miroir concave, l’image virtuelle de la flèche était plus petite que la flèche elle-même. Par-contre, avec le miroir convexe, l’image virtuelle de la flèche était beaucoup plus grande que la flèche au départ. Les angles d’incidence, quant à eux, étaient tous, ou presque, équivalents à leur angle de réflexion. a) Miroir concave Maintenant, essayons d’expliquer pourquoi l’image virtuelle est plus grande sur un miroir concave

termes de réalisation des surfaces qui ne peuvent être obtenues autrement que par enlèvement de matière. La surface a usiner peut être considérée selon deux aspects : • la surface seule, qui doit être générée et présenter ensuite des qualités géométriques et physiques données ( tolérances de formes et états de surfaces) • la surface en tant qu’élément d’un ensemble de surfaces et devant respecter des liaisons dimensionnelles et des tolérances de position. Le premier aspect impose une bonne

calculer une série de performances partielles durant ces sous-périodes. Les durées de ces dernières peuvent être variables. La mesure effectuée fournit un taux de croissance en neutralisant les apports et retraits par le recours à une progression géométrique (principe conforme aux normes GIPS – Global Investment Performances Standards). Formule théorique : (1+ TWR) = ( 1 + R1) * ( 1 + R2) *   ….  * (1+ Rn) è       TWR =  ( 1 + R1) * ( 1 + R2) *   ….  * (1+ Rn)    -   1 où   Rt = (Valeur t – Valeur

Méthodes Quantitatives de Gestion I. Introduction : Moyenne géométrique : G Moyenne harmonique : H L’inverse de la moyenne arithmétique des inverses des nombres Moyenne quadratique : MQ Un moment d’ordre r centré par rapport à la moyenne  : II. Concepts de base A. Notions de base A.1.a) Intérêts simple : Capital de départ I  : le montant de l’intérêt t : taux d’intérêt d : durée (pas forcement un entier) si t est un taux annuel