Absolutisme Et Arbitraire

Son pouvoir doit etre supreme. La souverainete est indivisible, elle n’est pas deleguee, elle est necessairement perpetuelle et supreme. Le pouvoir souverain va avoir un certain nombre de limites. L’autorité royale doit etre absolu mais non arbitraire. Il y a des limites morales : le roi est le père de ses sujets. Il doit exercer son pouvoir de manière raisonnable, dans un cadre legal. Les lois sont indispensables pour gouverner. Ces limites sont lies au caractere sacre du pouvoir. On dit

tournois – mécénat artistique et littéraire (goût de l’histoire) — développement de la musique et de la peinture). B. – L’exercice effectif du pouvoir revêt à la fin du Moyen Âge des formes nouvelles, plus « modernes », entre féodalité et absolutisme. 1. L’Etat dispose désormais de moyens fortement accrus : des officiers plus nombreux (dont le nombre augmente à la fois dans la première moitié du XIVe siècle et surtout dans la seconde moitié du XVe avec, entre les deux, une phase de stabilité)

qui prend part à la démocratie Trois grande théorie de l’État : théorie libéral / socialiste / théocratique islamique SECTION 1 contre absolutisme contre Absolutisme monarchique défendu par John Locks ; Alexis de Tocqueville SOUS SECTION 1 CONCEPTION LIBERALE 1/ John Locks : une vision plus libéral de l’État, le pouvoir n'est pas arbitraire « il ne faut pas confier à un seul individu l'exercice du pouvoir » → théorie de séparation des pouvoirs 2/ Montesquieu : L'esprit des lois

place en pratiquela diversité est très grande. Cette noblesse se trouve donc dans cette position peu à peu amener à contester le pouvoir monarchique et à contester l’absolutisme monarchique qui le maintien dans un état proche du dénuement. Cet absolutisme se traduit par l’éloignement des nobles de l’entourage du roi. La noblesse est humilié de plus être consulté par le roi. Elle va s’en foute dans ce mouvement s’arcbouter, se crisper sur son privilège d’extension fiscal lié à son rang, et se faisan

77 | P a g e L’ E T A T M O N A R C H I Q U E (XIVe –XVIIIe) Le pouvoir le plus important du roi est le pouvoir législatif, les lois royales vont se terminer par « tel est notre plaisir », cette phrase ne signifie pas que la loi est un pouvoir arbitraire mais dépend de la souveraineté royale. Le roi est libre par rapport aux lois : il peut les casser, les abrogent, accorder des grâces. Le roi a aussi le droit de battre la monnaie, levé l’impôt, nommé les officiers. C’est grâce à ce pouvoir législatif

exécutif et judiciaire. On veillera à ce que les trois grandes fonctions étatiques distinguées par Montesquieu ne soient jamais confiées à un même titulaire. L’indépendance des pouvoirs est nécessaire pour garantir une justice impartiale et non arbitraire, celui qui rend la loi n’a pas le pouvoir de rédiger les lois ou de les mettre en oeuvre. En outre, pour éviter la tyrannie, le législatif et l’exécutif ne doivent pas se confondre. Par ailleurs, Montesquieu ne prône pas la stricte séparation des

17e siècle: L'histoire prends aussi le jugement de véracité Réflexions par rapport aux institutions (pouvoir, justice et religion) - Elargissement des sources - Textes religieux soumis à la philologie - Aide de scientifiques 2 obstacles : absolutisme Royal et raidissement de l’Eglise (ébranlement de leurs principes) Bella diplomatica: polémiques autour de l’autenicité de chartes contenant les privilèges des villes. > Diplomatique étude des documents officiels. ! Hypercritique: doute excessif

souveraineté en avant, les autres auteurs ne feront plus jamais l'économie de cette notion. La doctrine publiciste, après Bodin, va affiner et développer le concept de monarchie pure en insistant sur la notion de monarchie pure. L'apogée des doctrines absolutismes : Guy Coquille, Charles Loyseau, Pierre Cardin Le Bret : 17e siècle apogée de l'absolutisme : - Guy Coquille (1123-1203?) Institution au droit des français (1607), dans cette ouvrage rejette l'idée de monarchie tempérée, de régime mixte, vrai partisan

Allemagne, prennent le pouvoir et vont éliminer leurs opposants. --> Le mot totalitaire est né en 1923. C'est l'italien Giovanni Amendola opposant au fascisme qui définit cette notion, comme synonyme nous pouvons citer dictature, despotisme, absolutisme... Définition : Régime politique fondé sur la toute puissance de l'Etat avec l'aide d'un parti unique et une police politique qui fait régner la terreur, associé à un contrôle étroit des médias et de l'économie ainsi qu'à un puissant encadrement

Cour choisit dans les années 1860 de concilier fédéralisme et conservatisme. C’est dans ce contexte qu’est conclu le Diplôme d’Octobre 1860, compromis entre l’unité de la monarchie et l’indépendance de ses composantes, entre constitutionnalisme et absolutisme mais les Hongrois et les Allemands s’y opposent fermement et l’on revint à des dispositions beaucoup plus restrictives en matière de fédéralisme avec la Patente de février 1861, cela confirme leur  désaccord systématique. C’est le début d’une longue