Abstraction lyrique

contrastes de couleurs. Peinture figurative qui est inspirée par les arts primitifs, les arts populaires et les arts préhistoriques. Inspirés par le Marxisme, les artistes repoussent la culture américaine et son esthétique. Art Informel Tachisme Abstraction Lyrique 1945-1960 Cobra 1948-1951 Cornelis Corneille, Pierre Alechinsky, Asger Jorn, Karel Appel, Constant Assemblage depuis les années 1950 Joseph Beuys, Louise Nevelson Particulièrement aux Etats-Unis. Sorte de collage en

antique. Anaphores de l’adjectifs « maudit(e)s » + « Malédiction sur la dernière goutte de ton sang corrompu ! ». Bilan : cette scène complète le portrait de Lorenzo et vient renchérir la thématique de la dualité. Elle comporte une forte dimension lyrique. Elle permet également au dramaturge de faire entendre la voix des bannis. Acte II Scène 1 : « Chez les Strozzi ». Scène intérieure intimiste « dans son cabinet ». Philippe, Le Prieur (Léon), Pierre. Long monologue de Philippe, républicain

phénomène d'intériorisation, qui occupe une grande partie du texte (vers 4-10) est très habilement souligné par la structure de la strophe centrale, aux rimes embrassées. Cette strophe entièrement consacrée au narrateur ("je" omniprésent) semble faire abstraction de tout ce qui n'est pas lui-même. En réalité, le regard intérieur, détourné du contexte et du paysage, est entièrement tourné vers la pensée de Léopoldine. Cause de la tristesse du poète, elle est l'élément obsédant de son univers. Enfin le jeu

premier tercet ; « mais » adversatif, dans le premier tercet, ouvrant une nouvelle phrase, comportant une subordonnée introduite par « quand » ; la principale de cette phrase apparaît au dernier vers, avec élision du « je ». I. Un témoignage lyrique et une supplique 1. Expression des sentiments, bonheur et souffrance (champ lexical à relever, métaphore du « mortel séjour ») ; Louise Labé, délaissée, se plaint. 2. Ce sonnet comporte également une dimension argumentative ;

» des origines de l’humanité et de son dénuement (à la « source féconde », au « luxe », aux « plaisirs » s’opposent « l’ignorance » et la pauvreté : « ils n’avaient rien »). Face à la sécheresse des vers qui évoquent l’âge d’or, le ton devient lyrique dans l’évocation du siècle de fer. • Enfin, Rousseau, en préromantique (il utilise même l’adjectif « romantiques »), développe une image du bonheur, terrestre aussi, mais radicalement opposée à celle de Voltaire : en contraste avec la vie trépidante

pensent que la vie morale : affaire d’intériorité (sentiments moraux) mais tout vient de l’intérieur ; d’autres pensent que l’intérieur vient de l’extérieur. A – Un instinct divin Texte de Rousseau : - apparait non-philosophique, ton assez lyrique. Prière de la fin. Antiphilosophique dans le contenu. Malgré cela : un texte fortement argumenté. - début du texte : différence – identité des mœurs – une morale variation – permanence des cultures – une nature => première opposition

donne la parole à des clandestins sur un chantier, personnages que parfois le cinéma représente mais rarement le théâtre. Et cette parole n’a rien d’un bavardage trivial, elle leur est fidèle dans leur plus intime vérité avec une singulière dignité. Lyrique, surprenante ou cocasse, elle dit toute une humanité désemparée qui essaie avec ses armes de comprendre à quoi ça rime, cette vie. Dignité (note d’intention) Peu d’auteurs dramatiques se sont penchés sur les conditions de vie des journaliers,

romantique(s) Dès le début du XIXe siècle, décidés à rompre avec la tradition paysagère héritée du classicisme (désormais entretenue par les suiveurs peu originaux et inventifs du néo-classicisme, puis de l’académisme et si on veut bien faire abstraction des paysages "idéologiques" produits à la fin du siècle par le courant "réaliste", avec des artistes comme Corot, Courbet, Millet. Boudin...) et de l’exception hollandaise dont ils ne contestent pas cependant l’accomplissement et l’excellence, et

une réflexion distanciée sur la poésie= Il combine ce qu’on juge traditionnellement poétique et ce qu’on juge non poétique, qu’il fait entrer dans le champ de la poésie, ce qui conduit à des « dissonances », des « discordances »→ A l’enthousiasme lyrique, se combinent donc non seulement le mal dont un des symboles est la « boue », qui souille le corps comme le mal, l’âmemais aussi le laid, le répugnant et le trivial, propres aux « races maladives » (V) des temps modernes : sorte de « boue » non plus

jusqu’à son dernier jour, par son impuissance à sortir de lui-même et à s’intéresser à ce qui n’est pas lui ; et c’est ainsi qu’il va étrangement souffrir pour s’être attaché à réaliser sur la matière vivante et vibrante les fausses et dangereuses abstractions de l’amour romantique. En 1833, il recontra George Sand. Cette femme bizarre, aux grands yeux noirs si beaux, l’attira violemment. Ils s’aimèrent, avec des emportements furieux ; ils connurent toutes les joies et toutes les misères d’une passion