Absurde Dans Antigone

devoir, vous devez donc maîtriser les connaissances acquises dans les séquences 5 et 6. Corpus : Texte A – Molière, Le Bourgeois gentilhomme, Acte III, scènes 3 à 4 (1670) Texte B – Racine, Andromaque, Acte III, scène 6 (1667) Texte C – Jean Anouilh, Antigone (1944) (extraits) Texte annexe – Marcel Pagnol, Le Schpountz (1938) (extrait) Texte A : Molière, Le Bourgeois gentilhomme (1670). Covielle fait croire à M. Jourdain, un « snob » de son époque - c’est-à-dire un bourgeois qui se prend pour un

juste et l’injuste, ou qu’on voie dans lanature même de l’homme la racine de l’injustice sociale et politique.   1- Steinbeck et la question de l’origine naturelle ou humaine de l’injustice La question de l’injustice de la nature peut paraître absurde au 1er abord : la nature ne saurait rationnellement être perçue comme malveillante ou «méchante ». C’est d’ailleurs le sentiment d’un des métayers du roman de Steinbeck, qui oppose l’injustice des hommes à un ordre naturel : « y a sûrement moyen d’arrêter

sont pas sanctionnés, j’aurai plus tendance à la transgresser. Plus il y a d’individu ne respectant pas la loi, plus l’Etat fonctionne mal et plus les individus seront inciviques. Un Etat efficace dans la sanction crée le sentiment que ce n’est pas absurde de respecter la loi. C’est pourquoi la force publique est un intérêt nécessaire du droit et non un instrument du droit. §7 : Le sens de la punition légale Texte 23 : Beccaria développe la notion de proportionnalité de la peine. Idée entrée aujourd’hui

|des 3 unités | | | |Jean Anouilh |20 | |théâtre, fable |Antigone, Le voyageur sans bagages |reprises de mythes, parodies |français | |Albert Camus |20 |Absurde |roman, nouvelle |L'exil et le royaume, L'étranger |révolte, (maghreb ?), le mal |français | |Victor Hugo |19 |Romantisme

contient dimension normative et factuelle. * Peut –on dire que lorsqu’il y a droit il y a pu liberté ? On pourrait dire lorsque droit s’applique = plus liberté mais le pb est complexe En admettant bon fonctionnement Etat, il n’est pas du tout absurde de concevoir que droit instrument de liberté et non un pur obstacle à la liberté= force libératrice * On va s’appuyer sur texte 7 : Rousseau ( contrat social) 8 : Rousseau 9 : Kant * 1er texte : Rousseau dit " justice pour être admise entre

Marianne de Musset ; le monologue d’Hernani (I, 4), celui de Don Carlos dans Hernani de Hugo (IV, 2), les monologues de Ruy Blas marchant « dans son rêve étoilé » (III, 4 notamment) (Hugo). – Dans le théâtre moderne : le Prologue et le Chœur dans Antigone d’Anouilh ; le « Lamento » du Jardinier dans Électre de Giraudoux (entracte) ; le monologue de Winnie dans Oh les beaux jours de Beckett (Winnie a la parole une grande partie de la pièce qui comporte un autre personnage, Willie, mais le plus souvent

a-t-il acquis sa liberté ? I. Présentation des chapitres 1- De l’antiquité au moyen-âge : Premièrement le théâtre a longtemps été un spectacle religieux. Dans l’Antiquité, on rendait ainsi hommage aux Dieux comme par exemple Antigone de Sophocle, on sait que le théâtre met en scène des passions interdites pour pouvoir en purger les spectateurs : c'est ce qu'Aristote appelle la catharsis (en grec, la purification). Pendant la période des débuts du christianisme, aux alentours

engagée". 1932 | L.-F. Céline | Voyage au bout de la nuit | 1934 | L. Aragon | Hourrah l'Oural | 1937 | A. Malraux | L'Espoir | 1938 | G. Bernanos | Les grands cimetières sous la lune | 1943 | Vercors | Le Silence de la mer | | J. Anouilh | Antigone | 1947 | A. Camus | La Peste | 1948 | J.-P. Sartre | Les Mains sales | 1951 | A. Camus | L'Homme révolté | L'origine sociale compte désormais moins que l'appartenance politique. Le texte est mis au service d'une idéologie. Certains tentent de

sa conscience. II. La notion de héros Un personnage romanesque est souvent héroïque, il n'est jamais un héros. Ce dernier accomplit avec une constance exemplaire un destin décidé par les dieux ou un dessein dicté par le devoir. Œdipe et Antigone, Achille et Ulysse, Lancelot et Siegfried, Hamlet et Macbeth ont en commun l'invariabilité : sauf en de rares moments de faiblesse ils vont dans le sens d'une même éthique supra ou extra-humaine. Le « héros de roman », par contre, obéit à la loi

tête) rencontrent particulièrement du succès. Pour quelles raisons le théâtre fonctionne-t-il mieux en classe que le roman ou la poésie ? Si l’identification aux protagonistes n’est a priori pas aisée (surtout lorsqu’il s’agit de modèles comme Antigone ou d’archétypes comme Harpagon), l’appropriation du texte se fait, elle, de manière quasi-spontanée : rares sont les élèves qui refusent de lire (ou de jouer) une scène de théâtre, même dans les classes de lycée. Et lorsqu’une séance est consacrée