Accord de Cotonou

création de l'ONU et des instances internationales de développement[modifier]Dès sa création, l'Organisation des Nations unies (ONU) fait du développement une de ses priorités, à travers la création de la Banque mondiale et de l'UNESCO. Après les accords de Bretton Woods (1945), la Banque mondiale met en place, pour l'Europe, dévastée par la Seconde Guerre mondiale, la Banque internationale pour la reconstruction et le développement (BIRD), chargée de financer la reconstruction. Le 9 mai 1947, la

et Mission de la SBEE I. 1. Historique de la SBEE L’introduction de l’électricité au Dahomey (actuel Bénin), remonte aux années vingt (20) du siècle dernier au cours desquelles un groupe électrogène de cinquante kilowatts (50 KW) fut installé à Cotonou. Ce groupe électrogène alimentait l’éclairage public qui s’étendait de la zone du Wharf au quartier Missèbo, en empruntant l’avenue Delorme. La ville de Porto-Novo bénéficiait aussi d’un petit groupe électrogène qui alimentait en courant continu le

la Chine, mais aussi l’Inde et le Brésil) y occupent depuis plusieurs années une place croissante. La Chine consacre à l’Afrique 0 % de ses investissements directs étrangers et la moitié de son aide au développement. Les prêts colossaux qu’elle a accordés – par exemple à la République démocratique du Congo – ont récemment focalisé l’attention des médias. Elle est aujourd’hui en passe de devenir le premier bailleur sur le continent. À titre d’exemple, dans le seul domaine de l’énergie électrique, la

Observer Mission in Liberia) in 1993, charged with backing ECOMOG (Economic Community Monitoring Group, the Military Observer Group of the Economic Community of West African States – ECOWAS) in the execution process of The Cotonou agreement peace. Although the cease-fire accord was broken, it was through the more recent action of UNMIL (the United Nations Mission in Liberia created in 2003) involving a stronger political, social and humanitarian UN engagement in Liberia, that the situation was somewhat

multilatéral après Cancun Par Jean-Marie Paugam chercheur à l’IFRI 2 Résumé Le programme de développement de Doha conjuguait trois demandes divergentes des membres de l’OMC : les pays en développement voulaient rééquilibrer en leur faveur les accords existants ; les Etats-Unis voulaient un nouveau cycle de libéralisation ; l’Europe le voulait aussi mais en l’équilibrant par un enrichissement des règles économiques mondiales sur les « sujets de Singapour ». Cancun a fait éclater ces ambiguïtés

espèces ou en nature au salarié en raison de son emploi. La notion de rémunération englobe ainsi le salaire de base _et tous les autres avantages et accessoires (primes, bonus, gratifications, avantages en nature) quelle qu’en soit l’origine (accord collectif, accord d’entreprise) » (art. L. 140-2 al2). Il est à souligner que la définition de la rémunération rejoint celle du salaire pris au sens large telle que le précise l’article117 du code du travail togolais qui précise que, « par salaire, il faut

Marchés Publics (DNCMP) ; - les organismes et établissements sous tutelle : la Loterie Nationale du Bénin (LNB), le Centre National de Formation Comptable (CENAFOC), la Direction du Palais des Congrès et du Centre International de Conférence de Cotonou (D/PC-CIC), la Banque Centrale Etude réalisée par Christian Gildas M. APLOGAN Contribution à la réduction des charges de l’Etat en matière de baux administratifs | 8 des Etats de l’Afrique de l’Ouest (BCEAO), la Mission Résidente de la Banque

caprins. Version du 1er décembre 2008 4 Revue du secteur avicole: Bénin TABLEAU 2: Nombre d’exploitations en 2005 commerciales (petite et grande échelle) et localisation Département Atlantique/Littoral Communes Allada Abomey-Calavi Cotonou Kpomassè Ouidah Toffo Zê Atacora Donga Djougou Natitingou Borgou/Alibori Mono/Couffo Parakou Athiémé Comè Bopa Dogbo Grand-Popo Houéyogbé Klouékanmè Lokossa Lalo Ouémé/Plateau Adjara Akpro- Missérété Avrankou Dangbo Ifangni Kétou Sèmè-Kpodji Pobè

statistiques. B- Attributions, organisation et fonctionnement du CIPAF. Selon les dispositions de l’article 1 de l’arrêté n° 1224 /MFE/DC/SGM/DGID/DGR/SP du 23 septembre 2005, il a été créé un Centre des Impôts du Port et des Autres Frontières à Cotonou dont il convient d’énumérer les attributions. 1- Attributions du CIPAF Le CIPAF a pour mission principale, la perception des impôts et taxes recouvrés auparavant par la DGDDI pour le compte de la DGID. Dans ce cadre, il est chargé de : - l’assiette

Financiers en relation avec les États: | La Banque Mondiale (BIRD + AID) Banque Internationale pour la Reconstruction et le Développement & Association Internationale pour le Développement | | L’Union Européenne (Conventions de Lomé, Accords de Cotonou, 9ème FED) | Les Organismes Internationaux et la recherche de cofinancements | Le Programme des Nations Unies pour le Développement | Les financiers pouvant directement financer les entreprises privées: | La SFI (Société Financière Internationale