Accord multilatéral sur l'investissement

À l’heure de la mondialisation Mondialisation et intégration régionale, des dynamiques complémentaires Si le commerce entre les nations est le prisme traditionnel à travers lequel sont analysés les échanges mondiaux, l’essor récent des accords commerciaux régionaux conduit à repenser leurs logiques. Derrière l’apparent paradoxe d’un système économique où seul l’échelon global semble compter et qui pourtant voit se multiplier les liens de proximité géographique, Françoise Nicolas

D’importants efforts d’ouverture à l’investissement étranger. Une dizaine de lois visant à renforcer le cadre juridique des affaires et l’attractivité de l’Irak comme destination d’investissement a été votée depuis 2003. La principale est l’Investment Law n°13 de 2006 (« loi n°13 »), en vigueur depuis janvier 2007, qui dispose les éléments suivants, pour tout investissement d’un montant supérieur à 250.000 USD. A noter : Le Kurdistan irakien a sa propre loi sur l’investissement (Law n°4, 2006)  Secteurs

ensuite les secteurs et opérations sur lesquels agit la MIGA. Enfin nous en ferons une critique et essaierons de montrer les limites à cette organisation. PARTIE I: PRESENTATION DE LA MIGA La MIGA et le groupe de la banque mondiale L’Agence multilatérale de garantie des investissements est la plus récente des institutions du groupe dit de la Banque mondiale. Le dénominatif « Banque mondiale » regroupe en fait 5 institutions différentes mais toutes liées pour une réduction de la pauvreté́. Cependant

la construction d'une gouvernance mondiale efficace suppose la constitution d'une vingtaine de grandes régions du monde. Les tentatives politiques ou économiques de regroupement régional sont aujourd'hui nombreuses mais, souvent centrées sur des accords commerciaux, elles sont vécues par les populations comme de simples accessoires de la globalisation de l'économie. D'où l'intérêt de la construction européenne qui, malgré la crise qu'elle traverse actuellement, constitue une tentative historique

dérivés. Chapitre 3: les réponses stratégiques des firmes multinationales * Les choix d’IDE: mesure de l’attractivité territoriale et du risque pays * Il y a un véritable concours de beauté entre les pays, les régions, pour attirer l’investissement. * IDE/ les délocalisations, intérêts et limites * Différence entre investissement direct à l’étranger et délocalisation. * Intérêt, limites et impacts de ces 2 phénomènes * L’internationalisation des services

Exposé en sociologie du développement Sujet : « L’industrie de l’aide face au problème du sous développement » Plan Introduction I. Genèse de l’aide au développement II. Les différentes formes d’aide 1 .L’aide bilatérale 2 .L’aide multilatérale 3 .L’aide privée III. Les institutions chargées de l’aide 1. Banque Mondiale 2. Fond Mondiale International IV. Les dispositifs mis en œuvre pour une meilleure organisation de l’aide. 1. Les statistiques l’aide 2. l’efficacité de

Page de garde Sommaire : Introduction………………………………………………………………... I-Historique…………………………………………………………………. II-Accord de L’OMC ....................................................................... III- L’organisation de l’OMC..........................................................  1. À qui appartient l’OMC.................................................................... 2. Accession, alliances et appareil administratif ..................................... 3. Le Secrétariat 

système de commerce multilatéral de l'OMC, en prescrivant la libre circulation des biens, des services et des capitaux, entend faciliter le transfert des technologies nouvelles, favoriqualité. Ils ont besoin d'établir, par ailleurs, des partenariats stratégiques interne et externe, pour réduire les coûts des ajustements nécessaires. L'Union Economique et Monétaire Ouest- ser la délocalisation de certaines activités au profit des PVD (Rieber et Tran, 2000), promouvoir l'investissement direct étranger

plantation trop extensif ?........................................................................... 23 1.2.2. La croissance démographique et la formation de capital humain ......................................................... 25 1.2.3. L’investissement : le maillon faible de la croissance ivoirienne .......................................................... 26 1.2.4. La productivité des facteurs, un rattrapage insuffisant ....................................................................

réduire la pauvreté en accordant un financement très concessionnel (sous forme de prêts à taux quasi-nul sur une durée de 35 à 40 ans, ce qui représente un don équivalent à 85% du montant du prêt) ou elle accorde des dons. Les prêts consentis par l’IDA représentent environ le tiers du soutien accordé par le groupe de la BM. Ces prêts sont destinés à financer des programmes de nature à stimuler la croissance économique, à atténuer les inégalités et à améliorer les conditions de vie des populations