Accord Sujet Verbe

Lecture des pages 7 à 11 à haute voix + échange oral. Chapitre 1, pages 7 à 11 (« …manières parfaites ! ») I. Un récit 1°) Un récit est un texte qui raconte une histoire ou des évènements : on dit aussi que c’est un texte narratif. En effet, le verbe « narrer » signifie raconter. f2°) L’auteur est la personne réelle qui a imaginé l’histoire et qui a écrit le livre. Ici, il s’appelle Anthony Horowitz et il est Anglais. f3°) Le narrateur est celui ou celle qui raconte l’histoire :  Il peut être

vers 11 : verbe « perdre » répond au verbe « enrichir ». Expression d’un sentiment personnel ms qui atteint l’universel : celui du tps perdu inexorablement, de la jeunesse disparue et gâchée (mon âge = ma vie). Second tercet + mélodieux en apparence ms burlesque : introduit par une comparaison en accord avec le thème : il s’agit d’un voyage et outre le plaisir d’humaniste, Du Bellay comptait rapporter d’Italie la fortune. Opposition grinçante : harengs / lingots d’or. Décalage entre sujet et manière

aperçus (s'apercevoir) qu’elle était plus persévérante qu’ils ne l’auraient cru(croire). Tout en réalisant un rêve caressé (caresser) depuis longtemps, Claudine s’est vue(voir) gagner l’estime de ses compagnons . C. Dans les phrases suivantes, accorde les participes passés (1,5 points) 1. Ils ont (entendre) entendu des voix. 2. Les jeunes sorciers sont (partir) partis. 3. Les baguettes magiques ont été (dérober)dérobées. 4. Hermione est (rester)restée très attentive. 5. Ron et Harry ont beaucoup

phrases avec So am I, So do I ( = moi aussi ) , Neither am I ( = moi non plus ) , Neither do I etc. est similaire  à celle des question-tags. Elle répète le verbe '' be '' se trouvant dans la première phrase, ou les auxiliaires dans d'autres cas. On utilise So am I, So do I etc. à la suite des phrases affirmatives pour exprimer son accord. Exemple: Alex is a player. So am I. Les négations respectives de So am I, So do I etc. sont Neither am I,Neither do I etc. pour exprimer son désaccord. Exemple:

LYCEE LAPLACELYCEE LAPLACE de CAEN Christine FERET et Yves MAUBANT CORRIGÉ du BTS Blanc Sur le thème « Faire voir : quoi ? comment ? pourquoi ? » et à partir d’une proposition de sujet faite sur ce site, un BTS blanc a été organisé dans notre lycée, qui a donné lieu à ce corrigé, que chacun lira ou complètera à sa guise. Pour commencer, deux lectures d’image (faire une recherche au CDI ou sur le web pour retrouver les tableaux) : Tableau 1 : François GERARD (1770-1837),

  par   le   verbe   «  persuadé  »   et   se   poursuit   avec   l’utilisation   du   «  je  »   témoignant  de  la  présence  éminemment  subjective  du  narrateur.  La  subordonnée  relative   «  D’autant  plus  que  […]  unique  »  initie  la  phrase  et  confère  au  texte  un  rythme  particulier.   Le  verbe  et  les  sujets  de  la  proposition

voix active, et la fait passer pour une simple transformation. Ensuite, il est stipulé que le sujet fait l’action à l’actif, et qu’il la subit au passif. Cette affirmation est erronée, puisque la simple phrase Lucie a reçu des cadeaux pour Noël (dans laquelle Lucie subit l’action) la contredit. Les explications qui suivent portent sur les conditions qui doivent être remplies pour pouvoir mettre un verbe au passif. Dans le Livre du Professeur (p. 42) du même manuel, nous avons trouvé un point qui

des gens de la même espèce que lui. Il y a un donc un problème de subjectivité. On l’observe avec son affect, son étiquetage. Il n’y a pas de neutralité. Pour éviter cette subjectivité, l’idée c’est de prendre plusieurs observateurs et d’intégrer le sujet dans un contexte d’observation. Cf. Encart 2. Quand on observe il faut observer tout le contexte dans lequel se déroule tout le comportement. C’est le problème de l’objectivité.ROSENTHAL propose à ses étudiants de dresser des rats à parcourir un labyrinthe

l'étude du vers 1 "La rue assourdissante autour de moi hurlait". Le poète commence son poème par une métonymie "La rue" qui contient aussi une personnification. "La rue ... hurlait" constitue un chiasme phonique, le sujet "La rue" se termine par le verbe intransitif "hurlait". Le sujet et le verbe séparé sont réunis par le même phonème (r) et (u), l'adjectif "assourdissante" se rapporte par la figure de style au poète et au lecteur par un hypallage (déplacement d'épithète). Ainsi au centre du poème se trouve

néfaste de l'émotion. Devant cette souffrance, le poète est passif, ce que souligne la construction du deuxième vers, "Tous mes souvenirs s'abattent sur moi", dans lequel le sujet actif du verbe est le nom "souvenirs" alors que le pronom personnel "moi" est complément circonstanciel. La violence de cette irruption est marquée par le verbe "s'abattre" répété aux vers 2, 3 et 7 accentuant le caractère fatal de cette invasion à laquelle rien ne peut s'opposer. En outre, l'utilisation systématique du pluriel