Accords de Matignon

Ensuite, en 1936 le Front populaire apparait, avec les grèves. En juin 1936  il y a les accords Matignon : pour la première fois, les employeurs et salariés se réunissent à Paris pour décider des salaires au niveau national et interprofessionnel. Les conventions collectives susceptibles d’extorsion : elles sont signées par secteur. Le ministre du travail prend un arrêté sur cet accord qui va imposer cet accord à l’ensemble des salariés de la profession, même si l’employeur n’est pas adhérent au groupe

LES CONGES PAYES Congés payés et semaine de 40 heures Dans la nuit du 7 au 8 juin, à l'hôtel Matignon à Paris, sont signés les accords entre le nouveau président du Conseil, Léon Blum, la Confédération générale du patronat français (CGPF) et la Confédération générale du travail (CGT). Consécutifs à l'arrivée au pouvoir du gouvernement du Front populaire, ces accords prévoient la généralisation des conventions collectives, la création des délégués du personnel et une augmentation de 12% des

13 «  l’emblème de la kanaky » puisque le parti possédait un drapeau, une sorte d’emblème, de symbole. Tous ces indices prouvent que le début de Cannibale fait référence aux évènements de 1988. 10°) Les accords de Nouméa signés le 5 mai 1998, qui suivent les accords de Matignon. L’accord de Nouméa prévoit une autonomie forte, avec aussi des transferts de certaines compétences de la France vers la Nouvelle Calédonie. Les lieux relevés : Poindimié L11 ;Tendo L11 ; Canala L18 ; Hienghene

de leurs ancêtres, celui qu'ils avaient toujours connu, à savoir la coutume. Au terme de nombreuses années de reflexion et de négociations, la perspective d'un avenir commun a su séduire les deux communautés. Hors il fallait tout de même trouver un accord quant à l'importance donné à la coutume kanak inexistante dans le principe de régime politique instauré par les européens, qui ont voulus malgré les désaccords fournir des efforts afin de "mélanger" les deux systèmes et de fonder des textes de lois

représentatives du personnel (comité d’entreprise, délégué syndical, délégué du personnel…) * Droit de la négociation collective (aboutit à un accord collectif [contrat collectif, qui unit l’employeur et la collectivité des salariés]) ex : un accord qui s'impose à l'employeur et à la fois à l’entreprise et donc aux salariés. Tendance générale et objectif d’un accord collectif : apporter plus de droits aux salariés que l’accord légal (loi, code du travail). Ex : salariés de la banque ont 9 semaines de

d'endiguer la violence des conflits et de diminuer les risques individuels encourus par les grévistes en se faisant leur porte-parole. La légitimité des syndicats éclatera aux yeux de tous en 1936 (en France) : ce sont les syndicats qui négocient les accords Matignon avec les patrons et l'Etat, après un mouvement de grève généralisé qu'ils ont orchestré. Parallèlement, le droit du travail se construit, essentiellement sur le plan de la protection physique des salariés pendant leurs heures de travail. •La

dirigeants4. Par ailleurs les socialistes, alliés traditionnels des radicaux, sont en froid avec ces derniers. Ces deux partis ont déjà connu ensemble par deux fois l'expérience de la coalition, dans le cadre du Cartel des Gauches, en 1924 et 1932. Des accords de désistements réciproques leur avait alors permis d'investir une majorité absolue de sièges à la Chambre des députés. Or, à chaque fois, socialistes et radicaux finissaient par entrer en conflit sur les questions économiques et sociales : les premiers

ouvrier qui attend une nette amélioration des conditions de travail et de vie, pour cela les ouvriers vont faire grèves en occupant les usines mais de façon non violente. Syndicat, patronat et l’Etat ont négocié pour aboutir aux accords de Matignon. L’accord de Matignon fait progresser le temps de travail avec 40 Heures par semaine mais aussi les 15 jours de congés payés ce qui va développer le tourisme et les loisirs. On voit aussi la liberté syndicale et le droit syndicale qui se réaffirme mais

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changement de leur condition. Ces grèves spontanées (les syndicats doivent rattraper le mvt) entraînent l’ouverture par Blum de négociations avec le patronat. b) La rupture du FP Les négociations s’achèvent par la signature des Accords de Matignon les 6 et 7 juin 1936 => ↑ des salaires (12% ≈), les syndicats voient leur position dans l’entreprise renforcée (élection de délégués…). Blum fait voter le 11 deux lois : semaine de 40h et 2 semaines de congés payés ! Le gvt procède =t à des