Acide Base

Spectrophotométrique Absorbance de la solution pH-métrique pH de la solution II TITRAGES ACIDO-BASIQUES 1) Définition Lors d’un titrage acido-basique la réaction de titrage est une réaction acido-basique. Si le réactif titré est un acide, la solution titrante contient une base et réciproquement. 2) Titrage pH-métrique (Voir TP) Lors d’un titrage pH-métrique, l’observable est le pH de la solution titrée. (Voir fiche technique n°5 p249) On mesure à l’aide du pH-mètre, le pH de la solution après chaque ajout

matériel végétal est un peu difficile parce que ces composés phénoliques sont caractérisés par des degrés différents de polymérisation.  Les proanthocyanidines présentes dans des extraits bruts ont été hydrolysées par un test colorimétrique basé sur du n-butanol / HCl. Introduction – Méthodes d’analyse et d’extraction – Les PPs de la bière - Conclusion Contenu en flavan-3-ol et proanthocyanidines • Anthocyanogen assay  l'anthocyanidines extraction et élution avec du N-méthyl2-pyrrolidone

chou rouge + HCl = très acide * tube 2 : jus de chou rouge + NaOH = très basique * tube 3 : jus de chou rouge + H2O = légèrement basique * tube 4 : jus de chou rouge + Rhum = neutre * tube 5 : jus de chou rouge + NaCl = neutre * tube 6 : jus de chou rouge + Shampoing = neutre * tube 7 : jus de chou rouge + nettoyant vitre = moyen basique * tube 8 : jus de chou rouge + antikal = moyen acide * tube 9 : jus de chou rouge + vinaigre = très acide * tube 10 : jus de chou

élément de base des protéines - Les AA sont les éléments de base des protéines: les protéines sont construites à partir d'un répertoire de 20 AA courants et 2 AA rares. - Les cellules synthétisent leurs protéines à partir de 22 AA: AA courants (20) AA rares (2) - Une séquence de 150 AA ➔ 150^20 protéines différentes. - Les AA sont à la source de la diversité des séquences de protéines, et par conséquent, de leur forme, et de leur fonction. Les acides alpha-aminés - Chaque acide alpha-aminé

correspondant au maximum d’absorption. • À partir de solutions étalons de concentrations connues, on mesure l’absorbance de chaque solution et on trace la droite d’étalonnage A = f (c) pour la longueur d’onde λmax . A Amax Le spectrophotomètre Il est basé sur l’absorbtion de la lumière par une solution limpide contenant des espèces colorées. Il permet de mesurer une grandeur A appelée absorbance, donnée par la relation : I0 A = log I où I0 est l’intensité lumineuse incidente, I l’intensité lumineuse

qu'elle contient (l'éther est le dissolvant de toutes les matières grasses ou inflammables), on traite ensuite par l'alcool qui dissout la Strychnine. Cependant on ne l'a pas pure par ce moyen, elle est combinée avec un acide que l'on appelle l'acide malique. On enlève cet acide par une base quelconque, la Strychnine se précipite, on lave à froid, et on la dissout enfin dans l'alcool chaud. Synthèse de la Strychnine Il existe plusieurs synthèses de la Strychnine, elle a été synthétisée pour la première

libre. Dimension et unité d’énergie. 3- Loi et définition de la thermochimie : Loi de HESS et travail d’expansion. 4- Rappel de la loi des gaz parfaits : Chaleur de réactions. Energie de liaison. 5-Les fonctions : Fonction acide. Fonction base. Fonction sel. 5- Réaction d’oxydo- réduction : Oxydation. Réduction. Oxydant. Réducteur. Degré d’oxydation. Calcul du degré d’oxydation : Equilibre de réactions d’oxydo- réduction. Force d’un oxydant et d’un réducteur. B/

métabolites hormonaux, des métabolites vitaminiques, des médicaments et des additifs alimentaires. o Régulation de l’homéostasie hydrique et électrolytique :  De l’eau  Des Sodium/potassium/chlore  Des Calcium/phosphore/magnésium  De l’Équilibre acide/base o Régulation de l’homéostasie hydrique et électrolytique : Grande variabilité du volume et de la composition des urines en cas de changement des apports et/ ou des pertes extra-rénales II- MECANISME GLOBAL DE LA FORMATION DES URINES : 1

d’une part, et l’évolution grandissante du marché mondial des produits finis au détriment du phosphate brut d’autre part, ont amené l’OCP à s’engager dans la valorisation locale du minerai. La transformation locale du phosphate en engrais et en acide phosphorique débute modestement en 1965 par la mise en place à Safi de Maroc Chimie I et Maroc Phosphore I, puis en 1981 de Maroc Phosphore II. C’est dans le prolongement de ces unités que l’ensemble Maroc Phosphore III-IV a démarré en 1986 à Jorf

Les techniques modernes d’identification Progrès technologiques : résultats plus rapides, plus précis avec des manipulations réduites. Méthodes traditionnelles : base de la formation. Parfois les seules applicables et servent de référence ou de contrôle. Mais dépense notable de temps, de milieux et de materiel. I. Les méthodes standardisées 1) Intérêt pratique Economie (dépend des conditions d’achat, si grand nombre : prix réduit). Gain de place (sur paillasse, en étuve…). Possibilité d’automatisation