Adalbéron Laon

originel. Le sacrement du baptême marque l’entrée dans la communauté chrétienne : ce qui définit un chrétien c’est le fait d’avoir été baptisé. Doc. 4 :  a société chrétienne selon L Adalbéron de Laon Dans son Poème au roi Robert (Robert II, 996-1031), écrit vers 1020, Adalbéron de Laon, évêque de Laon, décrit une société hiérarchisée, une société divisée entre ceux qui prient (oratores), ceux qui combattent (bellatores) et ceux qui travaillent (laboratores, les paysans). Cette division

mieux de ses désirs. Et s'il désire vivre tranquillement sur son alleu, que nul n'ose l'en empêcher d'une manière quelconque et qu'on ne lui réclame rien d'autre que le seul devoir d'aller défendre sa patrie. III. LA FEODALITE 31. ADALBERON, évêque de LAON, Poème au roi Robert, vers 1025 (éd. et trad. C. CAROZZI, Paris, 1979, p. 20-22). Dieu a établi l‟’Eglise […] et ses ministres dont il a réglé la hiérarchie […]. Il leur a soumis par ses commandements le genre humain tout entier ; quand

en fonction de leur statut. Ce sont les clercs qui vont poser cette distinction juridique en ordres. Le terme d’ « ordre » vient du latin « ordo », ce qui désigne le statut juridique. Le premier qui conçoit cette terminologie est l’évêque Adalbéron de Laon qui va exprimer de façon claire et juridique la division en trois ordres : les oratores, les bellatores et les laboratores. Dans son esprit, chaque ordre est affecté, dans la société, à un rôle particulier et l’idée est que chacun doit se tenir

envahisseurs. A la mort d’Eudes, un carolingien est élu, Charles le Simple. En 922, il est déposé par les électeurs. Un autre roi est choisi : Robert (robertien). En 936, le roi est à nouveau un carolingien : Louis IV. En 987, il faut choisir un roi. Adalbéron a bcp poussé le choix sur Hugues Capet. Le principe d’hérédité de la fonction royale a été malmené. Le partage du royaume a disparu. Chapitre 2 : La personnalité des lois et le déclin du droit Le droit romain s’est appliqué en Gaule, Gaule romanisé

Cette théorie est à l'origine de la société des 3 trois ordres on les appellent également les 3 états, le terme ordre vient du latin ordo qui veut dire organisation. Cette théorie a été développé par les ecclésias­tiques notamment pas Adalberon évêque de la ville de Laon qui va formalisé cette théorie et Gérard de Cambrai. A l'origine, cette théorie a un objectif : parvenir à organiser la société de façon harmonieuse. Cette tripartition de la société en ordre s'explique par le fait qu'on est dans une

Oratores => ceux qui prient ; la noblesse s’appelait les Bellatores => ceux qui combattent et le tiers état s’appelait les Laboratores => ceux qui travaillent pour les autres. Division en 3 pour renforcer le pouvoir de l’Eglise. L’évêque Adalbéron de Laon & évêque Gérard de Lambrai ont rédigé des textes (cf. P. 15/16 poly). Mise en avant du clergé pour organiser la société de façon harmonieuse : ecclésiastiques explique que la société terrestre doit être harmonieuse comme le monde de Dieu

s’engage à le protéger. 2. Les vassaux sont à genoux devant le suzerain. Le suzerain reste assis, les vassaux sont représentés beaucoup plus petits que lui, signe d’humilité et de soumission. Doc. 2 : La société féodale Adalbéron de Laon est un membre de la noblesse devenu évêque de Laon à la fin du Xe s. Son texte, extrait du « Poème du roi Robert » (un pamphlet contre les membres de la noblesse et les moines de Cluny), pourrait être un excellent commentaire de la célèbre enluminure du XIIIe s. souvent

vouloir se faire reconnaître une supériorité sur les princes chrétiens. Cela donnera naissance au conflit des 2 glaives, le glaive temporel l'emportera sur le spirituel. 3 – Les données sociales Aux alentours de l'an 1000, des évêques comme Adalbéron de l'an ou encore Gérard de Cambrai présentent la sté médiévale répartie en 3 ordres inclut les écclé. Cette division repose sur l'ordre qui vient du latin ordo « genre de vie », et ce mot va évoluer et désigner tous ceux qui ont le même genre de

apparition de ces témoignages, après une longue nuit, semble bien suggérer que les gestes versifiées ne se développèrent pas beaucoup plus tôt, au moins avec quelque abondance. Il est fort remarquable, d’autre part, que, dans la plupart des poèmes anciens, Laon figure comme la résidence habituelle des rois carolingiens ; le Roland lui-même, qui rétablit Aix-la-Chapelle à son vrai rang, porte néanmoins, comme par inadvertance, quelques traces de la tradition laonnaise. Or celle-ci ne saurait avoir pris naissance

n'alla pas toute seule. Hugues trouva heureusement un allié. Adalbéron, archevêque de Reims, avait eu de graves difficultés avec Lothaire qui l'avait accusé de trahison. Son procès durait encore. Hugues fit proclamer son innocence à l'assemblée de Senlis et, séance tenante, Adalbéron, acquitté, proposa que le duc de France fût nommé roi à titre provisoire. Une autre assemblée fut convoquée à Senlis pour l'élection définitive. Adalbéron soutint que Charles de Lorraine n'avait pas de droits au trône