Adalbéron Laon

échange de la concession de la couronne à Louis IV d'Outremer. Mais, avant de parvenir au pouvoir, il doit se libérer de la tutelle des Ottoniens et éliminer les derniers Carolingiens. C'est avec le soutien de l'Église, et en particulier de l'évêque Adalbéron de Reims et de Gerbert d'Aurillac, tous deux proches de la cour ottonienne, qu'il est enfin élu et sacré roi des Francs en 987. La relative faiblesse d'Hugues Capet est paradoxalement un atout pour son élection par les autres grandes familles avec

Commentaire de texte : le discours d’Adalbéron Ce texte est la retranscription du discours prononcé par Adalbéron le 1er juin 987 à Senlis, en Picardie, à l’occasion de la réunion d’une assemblée de nobles francs, tenus de choisir leur nouveau roi. Ce document provient du livre intitulé Histoire de France, écrit par Richer. Adalbéron est à l’époque l’archevêque de Reims. C’est donc lui qui préside cette assemblée. Il est né vers 925 et décédé à Reims le 23 janvier 989. Il est le trente-neuvième

(ceux qui prient, les moines, les prêtres), les pugnatores ou bellatores (ceux qui combattent, à peine 1 à 2% de lapopulation) et les laboratores (ceux qui travaillent ou, plus précisément, qui labourent la terre, l'immense majorité des paysans). Adalbéron de Reims se démarque de l'opinion de son temps en refusant larègle de l'hérédité royale. Ceci va à l'encontre de l'interdiction pontificale qui affirme « d'oser jamais élire à l'avenir un roi d'autres reins » que ceux des Carolingiens. L'archevêque

Son père, Lucien Legras, était photographe. Ses parents périrent accidentellement le 6 novembre 1955, asphyxiés au monoxyde de carbone dans leur salle de bain, elle avait 8 ans et demi. Suite à la disparition de ses parents, elle a été séparée de sa sœur Patricia, de 8 ans sa cadette (aujourd'hui décédée). Elle utilisa le nom du mari de sa grand-mère paternel « Duperray » pour son nom d'artiste « Duperey ». Elle suit les cours de Jean Chevrin puis le Conservatoire national supérieur d'art dramatique

«Anthologie de poèmes» ~Sommaire : ¤ Rondeaux : - Rondeau de printemps, René Charles d'Orléans - La nuit, Théodore de Banville ¤ Ballades : - La ballade des pendus, François Villon - Ballade des dames du temps jadis, François Villon ¤ Odes : - Ode à Cassandre, Pierre De Ronsard - Le printemps, Pierre De Ronsard ¤ Sonnets : - La cloche du soir, Jules Vernes - Quand par le dur hiver..., Jules Vernes Rondeau de printemps Le temps a laissé son manteau De vent, de froidure et de

Ballade des Pendus Frères humains qui après nous vivez N'ayez les coeurs contre nous endurciz, Car, se pitié de nous pauvres avez, Dieu en aura plus tost de vous merciz. Vous nous voyez cy attachez cinq, six Quant de la chair, que trop avons nourrie Elle est pieça devoree et pourrie Et nous les os, devenons cendre et pouldre. De nostre mal personne ne s'en rie : Mais priez Dieu que tous nous veuille absouldre! Se frere vous clamons pas n'en devez Avoir desdain, quoy que fusmes occiz

Son père, Lucien Legras, était photographe ; ses parents périrent accidentellement le 6 novembre 1955, asphyxiés au monoxyde de carbone dans leur salle de bains ; Anny Duperey avait 8 ans et demi. Suite à leur disparition, elle fut séparée de sa sœur Patricia, de 8 ans sa cadette (décédée). Elle utilisa — à deux lettres près — le nom du mari de sa grand-mère paternelle, « Duperray », pour en faire son nom d'artiste « Duperey ». Elle suit les cours de Jean Chevrin, puis est reçue au Conservatoire

Forme fixe en poésie * La Fable * Le rondeau * Le triolet * L’ode * Le Pantoum * La ballade Le rondeau Le rondeau commun comprend 13 vers, roulant sur deux rimes seulement, dont la première est employée huit fois, et l'autre cinq, dans l'ordre suivant: le 1er vers, le 2e, le 5e, le 6e, le 7e, le 9e, le 10e et le 13e riment ensemble, et sont masculins ou féminins, comme on veut; le 3e, le 4e, le 8e, le 11e et le 12e riment pareillement entre eux, et la rime

(Inclure arbre généalogique) Pépin III, dit le Bref, certainement pour sa petite taille, est né en 714 et mort en 768. Il est le fils de Charles Martel : ligne 4 «  fils du feu prince Charles de bienheureuse mémoire » Il fut marié à Bertrade de Laon, dite Berthe : Ligne 17 : « Berthe, épouse dudit roi très florissant, revêtue de la robe royale à traîne. » Pépin devint, après la mort de son père, maire du palais en même temps que son frère aîné Carloman. (CARTE p14 dossier) Il est d’abord maire

Le Moyen-âge La dynastie des Carolingiens. En 751, le fils de Charles Martel, Pépin le Bref, destitue le dernier roi Mérovingien, Childeric et se fait reconnaitre par la cours des grands du royaume qui le choisissent comme roi. Il obtient aussi l’appui du pape et en 754, il se fait sacrer roi par le pape à Reimse. C’est l’acte fondateur de la dynastie Carolingienne appuyé par la morale du pape, source de légitimité du pouvoir temporel. Les premiers rois carolingiens s’entourent de vassaux, qui