Affixe

, c = 6 + i . Calculer les distances AB, AC et BC. Quelle est la nature du triangle ABC ? 2. Soient A, B, C d'affixes respectives a = 1 − 2i , b = −2 + 4i , c = 5 . Déterminer l'angle (AB, AC) . 3. Dans le plan complexe, A, B, C et D ont pour affixes : zA = − i , zB = 3 , zC = 2 + 3 i et zD = −1 + 2 i a) Montrer que les segments [AC] et [BD] ont même milieu. z −z b) On pose Z = C A . Calculer Z et en déterminer le module et un argument. z D − zB c) Interpréter graphiquement le module et l'argument

même étymologie) ; - les emprunts de différentes langues ; - les voies de pénétrations des paronymes dans la langue française (voie savante et voie populaire) ; - les paronymes qui ont un même radical se distinguent les uns des autres grâce aux affixes qui ont créé ces dérivés ; - la spécialisation sémantique dans le choix d’une variante correcte. Nicolae Felecan considère que du point de vue des significations on peut affirmer que quelques paronymes, qui ont la même étymologie, se caractérisent

croasser / cryptogame – cryptogramme / cultuel – culturel / coupon – croupon / débourrage – débourbage / denté – dentelé / détraquer – détracter / éditer – édicter / exode – exorde / faction - fraction etc. 3. Paronymes avec le même radical et aux affixes différents 1. Paronymes suffixaux (ces paronymes sont formés du même radical, mais diffèrent par les suffixes annexés au radical) : blanchiment – blanchissement – blanchissage / cérémonial – cérémonieux / déchiffrage – déchiffrement / étalage

provient d’un point de vue de linguistique comparative. Considérons les phrases ci-dessous (Déprez et Pierce (1993)) : (19) Mange Adrien (20) *Eats John (Ordre non pas attesté en anglais enfantin) Comme le notent Déprez et Pierce (1993), les affixes de la flexion se déplacent vers le verbe en anglais. Ainsi, le verbe à temps fini, contrairement qu’en français, n’a pas besoin de se déplacer vers INFL. Si le Spec de VP branche à gauche, il est correctement prédit que l’ordre dans (20) ne va pas

nains) et « khizdîn » (le territoire des Petits-nains) ;  - des flexions internes : singulier 1u23 et pluriel 1a2â3 (les consonnes sont ici remplacées par des chiffres afin de mettre en valeur les voyelles et la disposition des consonnes) ;  - des affixes : -ul qui marque l'appartenance ou la filiation, -a(r)- qui marque la royauté, etc. II. La racine Le Khuzdûl est basé sur le système des langues sémitiques, nous pouvons donc en déduire que ses racines sont en majorité tri-consonantiques (KH-Z-D)

4 d) e i π 4 π 6 21) L’image du point C  3e     par la rotation de centre O et d’angle –5π/6 est le point C’ d’affixe : a) 3i b) –3i c) 3 d) –3 22) Le point D’ symétrique du point D(2– i) par rapport au point O a pour affixe a) –2 + i b) 2 + i c) –2 – I 23) L’image du point E(–1 + 3i) par la translation de vecteur w(1; −2) est le point E’ d’affixe : a) –i b) i c) –2i d) 1 – 2i 24) L’image du point F(–1– i) par l’homothétie de centre I(i) et de rapport 2 est le point F’

Poincar´ (octobre 2002). e e 1 Quelques r´sultats dans le plan complexe e Le plan sert de mod`le pour repr´senter les nombres complexes. Inversement, e e tout point M du plan peut donc ˆtre « cod´ » par un complexe z, qu’on appelle e e son affixe. Dans toute la suite, on identifiera donc complexes et points du plan. 1 1.1 Points cocycliques et align´s e Propri´t´ 1.1 L’angle α a l’origine entre les deux droites passant par les points e e ` z et z est donn´ par la formule : e α =

contexte d'usage des ‘CLF’ japonais est donc limité à celui de quantification. 7 § 1.1-1 : UNITÉS ET FONCTIONNEMENTS DE LA CONSTRUCTION QUANTIFIANTE PRÉ-NOMINALE « UNITÉ QUANTIFIANTE ‘QPCLF’ » Du point de vue morphologique, les ‘CLF’ sont des affixes nominaux qui s'attachent à un numéral. 1/ L'affixation d'un ‘CLF’ à un numéral entraîne, d'une part, des modifications morpho- phonologiques quasi-régulières1 : ex.1 /iti/+/hon/ { 1 + CLF(objets-longs)} → /ip-pon/ ; ex.2 /san/+/hiki/ { 3

de tautogramme, sur la répétition emphatique avec variation dans la forme du mot par dérivation : « vaincus » et « vainqueurs » sont deux noms de même racine, de surcroît de même longueur, qui opposent un suffixe de sens actif « vainqueur » à un affixe de sens passif « vaincu ». De manière magistrale, Du Bellay sature ainsi stylistiquement le dernier vers qui porte l’antithèse du sonnet tout entier : les vainqueurs d’hier sont les vaincus d’aujourd’hui (Les Romains), tandis que les vainqueurs

fast, free, happy, high, hot, modern, new, quick, top ; les faux-anglicismes et les hybrides abondent aussi (citons baby-foot, new look, 89 Synergies Italie n° 4 - 2008 pp. 87-96 Maria Teresa Zanola big shop, fast-frites, top-niveau), et les affixes nominaux plus productifs sont burger, -ball, home-, -room, -story, -shop, -store, test-, ce qui laisserait imaginer que l’emprunt anglais est décomposable suivant les nécessités de la langue emprunteuse. Le lexique technique et scientifique facilite