Agence de notation financière

investisseurs institutionnels. Pourtant, la déréglementation a permis aux émetteurs de diversifier leurs sources de financement, et de ce fait, de mettre celles-ci en concurrence : c’est bien aussi sous la pression de la demande que l’innovation financière progresse. Les entreprises Pour financer ses investissements et ses dépenses d’exploitation, une entreprise peut utiliser soit ses capitaux propres, soit des emprunts. Les capitaux propres sont des moyens de financement que l’entreprise

Université Mohammed V SOUISSI Faculté des Sciences Juridiques, Economiques et Sociales Rabat [pic] ECONOMIE MONETAIRE ET FINANCIERE II INTRODUCTION ET HISTORIQUE  I. qu’est ce que la titrisation ? II. les types de la titrisation III. la technique de la titrisation IV. les acteurs dans une opération de titrisation V. Avantages et inconvénients de la titrisation VI. Les risques de la titrisation CONCLUSION VII. La titrisation dans la

est l'ISR ( investissement socialement responsable ) qui est considéré comme une réponse à la crise financières et bancaire. Qu'est ce qu'un ISR? Et est il crédible? L’investissement socialement responsable (ISR) est un investissement individuel ou collectif effectué selon des critères sociaux, environnementaux, éthiques et de gouvernances d'entreprises sans occulter la performance financière. Or pas toutes les entreprises ne peuvent profiter de l'ISR car il y 'a des critères a respecter,

l’agrément aux sociétés de gestion, lesquelles devront, pour éviter d’éventuels conflits d’intérêts, confier la mission de dépositaire à un établissement de crédit ou à un organisme habilité | L'ASSURANCE ET LA TITRISATION FACE AUX TURBULENCES FINANCIÈRES Didier Folus Professeur, Céros (1), université Paris Ouest – Nanterre La Défense Daniel Zajdenweber Professeur, Céros, université Paris Ouest – Nanterre La Défense L’assurance est une industrie traditionnellement soumise aux aléas de la conjoncture

• Ouvrages de références • • • • • Grant, Contemporary strategy analysis, Blackwell, 2004 Guemawat, Strategy and Business landscape, Pearson, 2006 Johnson, Scholes et Whittington, exploring corporate strategy, 2004 Leger Yves, La communication financière, Dunod, 2008 Perrier & Scacchi, les stratégies anti‐OPA, Economica, 1999 2 Intervenant • • • • • Sup de Co Le Havre (1988) Economiste du CNAM (1992) Maîtrise PNL (psychologie appliquée) 1999 Docteur en gestion 2006 Paris Dauphine Doctorant à

La crise des subprimes Introduction : La crise financière des subprimes, qui a éclaté en août 2007, est loin d’être achevée un an après. Elle touche en pratique l’essentiel du système bancaire et financier, et pas seulement les crédits hypothécaires accordés aux ménages américains risqués (les fameux subprimes) Nous allons analyser les causes qui ont mené à une telle situation de manque de confiance entre les agents, un climat de panique, une détérioration de valeur des biens immobiliers, suivi

1993-2007 Résumé : Cet article analyse les interactions entre les spreads de JP Morgan EMBIG et les notations souveraines des trois principales agences de notations F, M et S&P durant la période décembre 1993 et février 2007 et montre que la procyclicité présumée des notes n’est pas confirmée par les données. En se concentrant sur la relation spécifique entre le marché et chaque agence, j’obtiens le résultat suivant. Tout d’abord, le panel des données montre qu’au-delà de la relation négative

organisé en partenariat avec l’Association française des juristes d’entreprise l’Association nationale des juristes de banque la Fédération nationale pour le droit de l’entreprise DE L’ENDETTEMENT AU SURENDETTEMENT DES ENTREPRISES DES RÉALITÉS FINANCIÈRES AUX CONTRAINTES JURIDIQUES COLLOQUE DU 16 DÉCEMBRE 1998 sous le haut patronage de Mme Elisabeth GUIGOU Garde des Sceaux, Ministre de la Justice sous la présidence successive de M. Guy CANIVET, Premier Président de la Cour d'appel de Paris M.

toute l’économie. En effet, la promulgation de la loi sur la monnaie et le crédit en 1990 avait entraîné l’apparition de nouvelles banques à capitaux privés nationaux ou étrangers et l’accroissement du nombre de banques activant sur la place financière. Ceci avait induit l’apparition du risque lié à ces contreparties. De plus, les banques algériennes sont appelées dorénavant à entretenir des relations avec des partenaires étrangers qui impliquent dans certains cas des engagements de ces banques

des facteurs politiques, économiques et sociaux qui la sous- 3 tendent. C’est ce dernier risque qui est généralement noté par les agences internationales de rating. II. Evaluation du risque-pays : acteurs et méthodes 1. Evaluation du risque-pays : une multitude d’acteurs L’évaluation du risque-pays est une nécessité impérieuse. Le rating ou la notation consiste en l’appréciation du risque-pays encouru par les opérateurs économiques ayant conclu un contrat à l’échelle internationale. Cette