Aimons Nous La Vérité

..pages 23 et 24 2 Préface : Chère lecteur, lectrice, c'est en lisant ces dix poèmes (présentés dans le sommaire) que l'idée m'est venue de faire une anthologie sur le thème de la guerre. À travers ces poèmes, j'ai trouvé une part de vérité : la guerre demeure depuis toujours, effleurant les âges, et traversant les peuples. Ce thème m’ait apparut comme une évidence ; l'ayant beaucoup étudié durant mon année de troisième (guerre 1914/1918 et 1939/1945), il me suscite beaucoup d’intérêt

gouvernement du Canada n'a permis que soit effectuée l'identification de l'emplacement des tombes ou des fosses d'enfants morts dans les écoles résidentielles. Ces mêmes églises, gouvernement et RCMP ont, au contraire, travaillé activement à nier la vérité de ces crimes et leur implication dans ces crimes, en supprimant et en détruisant des preuves, en faisant obstruction à la justice, en restreignant et en amputant le plus qu'il était possible la réparation légale aux victimes survivantes, en pratiquant

aurions tous pu être les signataires de ces lettres adressées au Bourgmestre (ndr. le Maire), pour nous plaindre des troubles causés par ces clochards qui ont l'art de nous importuner au moment où on n'a pas envie de les voir. C'est que nous ne les aimons pas, ces mendiants. De nos jours, tout le monde a droit à son RMI, son minimex comme on dit chez nous, c'est-à-dire le minimum de moyens d'existence. Se complaisent-ils donc dans la mendicité ? Le 26 juin 1995, le Conseil communal (c'est-à-dire

le petit Poucet, qui tremblait de toute sa force aussi bien que ses frères, " que ferons-nous ? Il est bien sûr que les loups de la forêt ne manqueront pas de nous manger cette nuit, si vous ne voulez pas nous retirer chez vous. Et cela étant, nous aimons mieux que ce soit Monsieur qui nous mange; peut-être qu'il aura pitié de nous, si vous voulez bien l'en prier." La femme de l'ogre, qui crut qu'elle pourrait les cacher à son mari jusqu'au lendemain matin, les laissa entrer et les mena se chauffer

|Le temps pour nos regards de se dire d'amour. | |Que la chatte nous dise | | |Nos quatre vérités |Imaginons ce qu'on fera de tout ce temps. | |Et que je te demande |

créneaux Aux créneaux Laissez là les pioches     Comme un astre éperdu qui cherche ses saisons     Cœur obus éclaté tu sifflais ta romance     Et tes mille soleils ont vidé les caissons     Que les dieux de mes yeux remplissent en silence     Nous vous aimons ô vie et nous vous agaçons     Les obus miaulaient un amour à mourir     Un amour qui se meurt est plus doux que les autres     Ton souffle nage au fleuve où le sang va tarir     Les obus miaulaient         Entends chanter les nôtres     Pourpre

:11 « Car devant Dieu il n’y a point d’acception de personnes. » Ro 3 :22 « justice de Dieu par la foi en Jésus-Christ pour tous ceux qui croient. Il n’y a point de distinction. » At 2 :21 Jn 3 :14-15. 23 Jn 16 :7-8 « Cependant je vous dis la vérité: il vous est avantageux que je m’en aille, car si je ne m’en vais pas, le consolateur ne viendra pas vers vous ; mais, si je m’en vais, je vous l’enverrai. Et quand il sera venu, il convaincra le monde en ce qui concerne le péché, la justice, et

discriminations entre les différentes classes sociales et les sexes. Le sur hommes n’existe pas, tout comme le sous hommes. Le racisme est un péché, qui est fondamentalement faux et contre Dieu ! Il s’agit d’une idéologie conçu pour divisé l’humanité. La seule vérité est la dignité de l’humain, l’union de la famille humaine. « Au racisme doit être opposée la culture de l’accueil réciproque, en reconnaissant en tout homme et en toute femme un frère ou une sœur avec laquelle parcourir les chemins de la solidarité

« Mais il n’y prit pas garde, car , dans la multitude des gestes des propos, des petits incidents, qui remplissent une conversation, il est inévitable que nous passions, sans y rien remarquer qui éveille notre attention, près de ceux qui cachent une vérité que nos soupçons cherchent au hasard, et que nous nous arrêtions au contraire à ceux sous lesquels il n’y a rien. » «  C’est vraiment incroyable de penser qu’un être humain peut ne pas comprendre qu’en se permettant un sourire à l’égard d’un semblable

l’imitation théâtrale et narrative. Cette imitation théâtrale est en action, personnages en actions. Il revient ensuite pour préciser ce qu’est la nation de mimesis. C’est quelque chose de naturel, toute mimesis est agréable , non pas son objet. Nous aimons imiter nous-mêmes : elle est dans notre comportement. On peut imiter des persos divers : des êtres moralement inférieurs ou supérieurs. Il y a des genres nobles ou bas. Aristote va s’intéresser aux genres nobles : l’Epopée et la Tragédie. Différents