Alcools Modernité

suivie des suivantes comme suit : Exemple :3,4-diméthylpent-2-ène 2. Molécules oxygénées 1.3. Alcool : groupement fonctionnel -OH Primaire : R - CH2OH Secondaire Tertiaire : Nomenclature 1) Repérer la chaîne carbonée la plus grande contenant la fonction alcool. 2) Numéroter les carbone de façon à ce que la fonction alcool ait le plus petit numéro possible 3) La fonction alcool détermine le nom de la molécule. Celle-ci finira par –OL 4) Déterminer et placer la/les ramification(s)

noyer gaulé dit au vent ses douleurs Mon Automne éternelle ô ma saison mentale Les mains des amantes d'antan jonchent ton sol Une épouse me suit c'est mon ombre fatale Les colombes ce soir prennent leur dernier vol Guillaume Apollinaire - Alcools Forme Signe est une poèsie classique. Il est sous forme de ver. Le poème est composé de deux strophes en forme de quadrin.  Les vers de ce poème sont des alexandrins avec la césure à l’hémistiche. Les rimes

 Commentaire :   Le pont Mirabeau d’Apollinaire Le poème Le pont Mirabeau est tiré du recueil Alcools paru en 1913 . Apollinaire y fais allusion à sa rupture avec Marie Laurencin , avec qui il eu une relation de 1907 à 1912 . Puis évoque la fuite du temps en dépit de son amour . Nous étudierons la manière avec laquelle Apollinaire nous décrit les vicissitude amoureuses en commençant sa désillusion amoureuse puis nous enchaînerons avec l'étude de ses sentiments

MARIE, Guillaume Apollinaire Introduction Guillaume Apollinaire (1880-1918) est l'un des poètes français majeurs du début du XXème siècle. En 1913 est publié son recueil Alcools, dont est tiré lepoème « Marie » que nous étudierons ici. Il s'agit d'un poème de fin d'amour inspiré par la rupture d'Apollinaire avec la jeune peintre Marie Laurencin qu'il rencontre grâce à Picasso et avec qui ilaura une liaison passionnée jusqu'en 1912. I) Un poème d'amour: A) La Femme et la Nature. - « Neige

* * La poésie nous touche car nous nous sentons concernés. En effet celle-ci évoque notre propre expérience de l’amour. Le poème Le pont Mirabeau issu du recueil Alcools publié en 1913 par Apollinaire de registre lyrique, exprime l’amour du poète envers Marie Laurencin (peintre avec qui il a eu une liaison). Les citations suivantes le démontre : « nos amours », « l’amour s’en va » mais elles nous informent également

Cette oeuvre ; Le Pont Mirabeau appartient au poète français Guillaume Apollinaire parue dans le dernier numéro de la revue Les Soirées de Paris en février 1912 puis repris en1913 dans son recueil Alcools, où il figure en deuxième position. Il écrit ce poème après une rupture amoreuse et est un de ses textes plus célèbres. Ce poème est estructuré en quatre quatrains avec refrain parmi d’eux. Ce refrain donne au texte une sensation de monotonie, de fatigue, de soffocation, d’obsession et de lyrisme

1 Alcools Guillaume Apollinaire Oeuvre du domaine public. En lecture libre sur Atramenta.net 2 Zone À la fin tu es las de ce monde ancien Bergère ô tour Eiffel le troupeau des ponts bêle ce matin Tu en as assez de vivre dans l’antiquité grecque et romaine Ici même les automobiles ont l’air d’être anciennes La religion seule est restée toute neuve la religion Est restée simple comme les hangars de Port-Aviation Seul en Europe tu n’es pas antique ô Christianisme L’Européen le

Apollinaire en Alcools sur les épreuves de correction. Il  forme une métaphore complexe qui se rapporte à la vie et à l’expérience poétique de l’auteur. Ce recueil, qu'Apollinaire mit 15 ans à élaborer. Alcools est un recueil pluriel, polyphonique qui explore de nombreux aspects de la poésie, allant de l'élégie au vers libre. Acools montre le poète déchiré par ses ruptures amoureuses mais il parle aussi d'alcools se qui est mal vue par une population bourgeoise a l'epoque. C'est Alcools qui a fait la

l’argent en tant que précepteur en Rhénanie. C’est de là qu’il s’éprend pour la gouvernante anglaise Annie Playden, l’une de ses premières muses. Grace à cette aventure malheureuse il écrit de nombreux poèmes dont le cycle rhénan de son futur poème alcools. Puis à son retour à paris guillaume décide de se jette dans une écriture intense et crée son pseudonyme à partir du nom de son grand père Apollinaris devient « Apollinaire ». Apollinaire publie ses poèmes dans la revue Blanche. Apollinaire a un point

décor urbain et la façon dont chaque poète l’a appréhendée avec noirceur pour Verhaeren, angoisse pour Cendrars et plus de légèreté pour Apollinaire. Les trois auteurs utilisent des images insolites, effrayantes et fascinantes pour décrire cette modernité. Dans « Les villes tentaculaires » Verhaeren se laisse inspirer par l’univers des zones industrielles et dépeint à l’aide d’images effrayantes et troublantes la misère, la noirceur et le bruit de ce nouvel environnement. En effet, les personnages