Alcuin

sorte de biographie du roi franc mais qui dans le premier livre décrit la déchéance de la dynastie merovingienne. Cette biographie est l’œuvre de l’intellectuel du 9ème siècle Eginhard qui fit partit du cercle d’érudits qui entoura charlemagne avec Alcuin et qui resta à la cour du roi Louis le pieux fils de charlemagne avant de s’en retirer après que les fils de Louis le pieux se soient rebeller contre leurs père, c’est après ce retrait qu'Eginhard rédigera l’œuvre qui dans ca première partie dénigre

charlemagne car le pouvoirs royal va prédominer. donc on parle de théocratie royale. La théocratie repose sur le fait que le roi lui-même par le sacre a un caractère religieux. Cette doctrine s’impose grâce à un moine de l'entourage de Charlemagne, Alcuin. Cette théocratie s’impose et cette idée charlemagne va l’exprimer très clairement dans une lettre qu’il adresse au pape à la fin du 8ème siècle pour féliciter le pape d’avoir été récemment élu et en profite pour distribuer les rôles de chacun. Il

revue en italique 5. Tome ou numéro précédé de l'abréviation t. /n° 6. Date d'édition 7. Pages ou colonnes (précédé de l'abréviation p./col.) Ex :  Bullough Donald A., « Reminiscence and Reality. Text, Translation and Testimony of an Alcuin Letter », in Journal of Medieval Latin, t. 5 (1995), p. 174-201. Le Roux Patrick, « Regarder vers Rome aujourd'hui », in MEFRA, t. 118/1 (2006), p. 159-166. Ronzeaud Pierre, « L'espace dans les utopies littéraires du règne de Louis XIV », in Études

niveau de l'instruction, Charlemagne dut faire appel à des enseignants venus des pays anglo-saxons ou de Lombardie. Charlemagne qui était une personne pieuse avait le souci de la pureté des textes religieux. C'est pourquoi il appela l'Anglo-Saxon Alcuin en 782 afin qu'il révise les textes religieux présents en Gaule. Aussi la « renaissance carolingienne » fut initiée dans un premier temps afin de fournir à l'Église des membres éduqués et maîtrisant les différentes disciplines religieuses. Charlemagne

La culture antique était conservée bien avant le xve siècle par Isidore de Séville, Bède le Vénérable…, ▪ Platon était déjà connu à la cour de Charlemagne (même si celui-ci avait des difficultés à écrire), sous l'influence de plusieurs lettrés (Alcuin…), ▪ Les auteurs tels qu'Ovide, Virgile, Cicéron, (liste très incomplète)…étaient connus. Ce qui est juste, c'est que cette culture était réservée à une élite composée essentiellement de clercs, dans les monastères, puis, à partir du xiiie siècle

eux-mêmes, et leurs successeurs, marchant sur les traces de leurs devanciers, défendirent comme vrai ce qu'ils savaient faux » (l.5 à 6), on a du mal à imaginer aujourd’hui que des artisans de la réforme carolingienne qui a produit des gens comme Alcuin ou Eginhard puissent produire des faux même pour la bonne cause qui consiste à se défendre du pouvoir des puissants qui veulent mettre main basse sur l’Église. Mais pour ces auteurs, que l’on désigne sous le nom collectif de pseudo-isidoriens, faire

rapprochés de l’Eglise pour avoir une légitimité, de nombreux auteurs nous parlent de : Alcuin, Jonas d’O et , ils vont rédiger des traités politiques : les miroirs des Princes, traités qui montrent au dirigeants ce qu’ils devraient faire, ils présentent l’idéal politique. Ils vont donc définir ce que l’on nomme le ministerium regis = le ministère du roi ou la fonction royale. Et le 1er à le faire est Alcuin, conseiller principal de Charlemagne, selon lui le roi ne doit pas gouverner pour lui mais

Charlemagne a reconstitué l'empire d'occident. Il doit tenter de le réunifier et de lui donner une civilisation perdue. Il est fan du latin mais il a conscience que le latin parlé n'est plus le latin d'origine. Il va donc faire venir des érudits d'Europe (Alcuin qui venait d'Angleterre par exemple). La renaissance carolingienne permet de se rendre compte que le vrai latin est désormais inaccessible au peuple. Le concile de Tour en 813 on sait officiellement que le latin n'est plus la langue parlé en France

l’empire romain est celle d’un très proche conseiller de Charlemagne, Alcuin. Selon Alcuin, il existe trois autorités sur terre : - Le pape (à l’époque Léon III). Léon III est très contesté. - L’empereur d’Orient, Constantin VI. Constantin VI a été déposé récemment par sa mère qui lui a crevé les yeux.  - Le roi des francs, Charlemagne, le roi le plus puissant d’Europe et donc le plus puissant du monde connu.  Or, pour Alcuin, sur ces trois autorités, seule l’une est capable de remplir la mission

scriptum est : Sequuntur Agnum, quoeumque vadit [Apoc. 14 : 4]. 96 MARC VAN UYTFANGHE troublée par la diminution ou le déplacement de la dépouille mortell e14. Mais en pleine période carolingienne, dans une lettre datant de 800 environ, Alcuin fait encore allusion au doute que d'aucuns ressen taient en cachette sur le séjour céleste des âmes des apôtres, des mart yrs et d'autres parfaits ante diem iudicii15. L'on sait par ailleurs que, dans l'Antiquité tardive et au haut Moyen Âge, tout