Alcuin

5 : « A Charles très pieux ». La mission d’expansion et de renforcement de la foi ne peut de faire que par un homme d’une extrême piété. Celle-ci est visible dans le fait que son couronnement est inspiré de celui du roi David, comparaison faite par Alcuin, le conseiller de l’empereur. Ainsi, l’une des mission pieuse du souverain, est l’extension de la vraie foi et du dogme chrétien. En effet, Charles est avant tout un chef guerrier, propageant la foi chrétienne dans tout l’Occident, comme l’a été

que après son sacrement. 1.3. Les conquêtes de Charlemagnes. Charlemagne (v. 747-814) Le long règne de Charlemagne (768-814) est marqué par une politique intérieure réformatrice, qu’il conduit en s’appuyant sur des conseillers érudits (tel Alcuin, le principal), hommes de confiance placés à des postes clés, et les luttes incessantes, avec le soutien de Rome, pour étendre sa domination en même temps que la christianisation de l’Europe. Charlemagne mais en œuvre de conquérir principalement

organisent de nombreux conciles pour réformer les institutions ecclésiastiques. Les évêques jouent un rôle déterminant dans la société carolingienne car ils conseillent le souverain. C'est ainsi qu'émerge chez certains clercs, tel le moine anglais Alcuin, l'idée de restaurer un empire romain en Occident. Charlemagne se laisse convaincre et il est couronné par le pape Léon III à Rome en l'an 800. À la différence de l'ancien empire romain, où les sujets se reconnaissaient par la soumission à une même

biens et la rentrée de la dîme. L'élève est initié à de petits problèmes qui sont présentés comme des jeux. ◦ La grammaire : = l'enseignement du latin. Doit parler en latin avec prof et camarades. Élèves habitués à apprendre des textes par cœur. • Alcuin (précepteur de Charlemagne) distingue 3 groupes d 'élèves : ceux qui lisent ; chantent ; apprennent à écrire. => Enseignements spécialisés : la schola lectorum, la schola cantorum, la schola scriptum, la schola notariorum. • Enseignement spécialisés

: La culture antique était conservée bien avant le xve siècle par Isidore de Séville, Bède le Vénérable…, Platon était déjà connu à la cour de Charlemagne (même si celui-ci avait des difficultés à écrire), sous l'influence de plusieurs lettrés (Alcuin…), Les auteurs tels qu'Ovide, Virgile, Cicéron, (liste très incomplète)…étaient connus. Ce qui est juste, c'est que cette culture était réservée à une élite composée essentiellement de clercs, dans les monastères, puis, à partir du xiiie siècle

potentiellement susceptible de servir le roi, mobilité sociale. Effet pervers, la compétition entre l'aristocratie au pouvoir et ceux qui espèrent atteindre le pouvoir. • Éléments externes : ecclésiastiques, cléricalisation de l'entourage royal exemple avec Alcuin qui est conseillée de Charlemagne. Chez les carolingiens penchants en faveur des ecclésiastiques : ascension sociale favorise les ecclésiastiques. De même qu'a Constantinople : bénéficie largement au • Elargissement de la base : base du peuple

enfants) et sociales, mais aussi par des débats sur la liberté d'enseignement et sur la laïcité. Moyen Âge : Charlemagne est traditionnellement considéré en France comme ayant « inventé l'école ». Il est vrai que, conseillé sur ce point par Alcuin, il crée l'école du palais à Aix-la-Chapelle : les enseignements sont structurés autour des sept arts libéraux (quadrivium et trivium) qui avaient été définis au VIe siècle. Au XIIe siècle se produit un progrès dans l'instruction, l'apparition des

sera contestée par le classicisme de Nicolas Boileau, le mouvement de l’Art pour l’Art ou l’éloge de l’effort de Paul Valéry. Au Moyen Âge[modifier | modifier le code] Depuis le viiie siècle, la classification du savoir était différente (voir Alcuin), et on ne distinguait pas les arts des sciences. Les arts libéraux étaient au nombre de sept, classés en deux groupes : le trivium (les sciences du langage, mais correspondant plutôt à notre philosophie actuelle) : rhétorique, grammaire et dialectique

l’éducation. L’empereur aime réunir les grands penseurs de l’époque autour de l’école palatine, au palais de l’empereur, des « intellectuels ». Alcuin parle de la nouvelle Athènes. * Eginhard (770-840) : grand savant, école palatine de Charlemagne, biographe de Charlemagne, chargé de l’éducation personnelle d’un des fils de Louis le Pieux : Lothaire I. * Alcuin (735-804) : formé à l’école cathédrale d’York. Conseillé intime de Charlemagne, il réorganise l’école palatine, met en place de nouveaux

générale"(L’Admonitio Generalis), impose un comportement et un savoir aux prêtres : ils doivent connaître les prières et les sacrements de base. Charlemagne s’installa dans son palais à Aix-la-Chapelle et, avec l’aide d’un savant religieux anglais Alcuin, y fit construire une école, « l’Académie palatine ». Dans un premier temps, l’école du palais, ou l’Académie palatine, un cercle informel où l’on discute, accueille des lettrés étrangers. Un vaste programme scolaire est mis sur pied. Les jeunes doivent