Alfred Molina

racontèrent que l’homme avait été foudroyé par le Ciel et entraîné en enfer en châtiment de ses fautes et son refus de se repentir. Mais si cette histoire reste très incertaine, il est plus vraisemblable de croire que la pièce de l’espagnol Tirso de Molina, el Burlador de Sevilla y convidado de piedra (Le Trompeur de Séville et le convié de pierre), qui met en scène un personnage de jeune débauché avide de jouissance, soit à l’origine de la légende. Ce sont les éléments surnaturels de ce récit qui ont

1.1 Éric Emmaneul Schmitt est un docteur en philosophie. Il est l’auteur de la pièce de théâtre La Nuit de Valogne qui a connut un grand un grand succès dans le domaine du théâtre contemporain. 1.2 L’infidélité est un thème qui revient souvent dans cette pièce. 1.3 Tout d’abord, il y a l’infidélité dont font preuve certaines femmes en ayant des aventures avec Don-Juan. Ensuite, il y a les tribulations amoureuses du chevalier. Finalement, on peut mentionner le bris des vœux de la religieuse.

heures, plusieurs lieu sont utilisés et tous les événements ne sont pas reliés à l’intrigue principale comme par exemple l’intervention de M. Dimanche. IV. La portée de la pièce 1) A l’origine Don Juan est un personnage espagnol inventé par Tirso de Molina au début du XVIIème siècle dans la pièce El burlador de Sevilla, en français cela fait « Le trompeur de Séville ». Il est séducteur, il abuse des femmes, il ne croit pas en Dieu son comportement est excessif comme dans l’œuvre de Molière qui a fidèlement

été modifié. Même principe pour les « Horrificques Aventures de Gargantua » (Antoine Adam) Commenter le 2e titre de la pièce : Le festin de pierre : pb traduction. Pour comprendre, il faut remonter aux origines de la pièce. 1er auteur est Tirso de Molina El burlador de Sevilla y combidado de piedra (l’abuseur de Séville et l’Invité de pierre) ~1630. Puis, la pièce passe en Italie, elle est reprise par Cigognini Convitado di pietra avant 1650. Repris par les Italiens à Paris comme canevas à partir

Corpus bac : Réécritures de la fin de Dom Juan Objet d’étude : réécritures, section L - la question préliminaire ; - sujet type 1 : le commentaire : trois pages de traitement Texte 1. Le Trompeur de Séville et le Convive de pierre (1630), Tirso de Molina. Traduit de l’espagnol par M. Espinosa et C. Elsen. Fin de la dernière scène (sixième tableau, scène 20). DON GONZALO Donne-moi la main. N’aie pas peur. DON JUAN Moi peur ? (Il lui tend la main.) Ah ! Ton feu me brûle ! DON GONZALO C’est peu

capitale quand l'argent venant du Nouveau Monde afflua (quoique directement dans les mains des nobles). Le 17ème siècle fut marqué par l'âge d'or de la littérature et des arts avec l'arrivée d'auteurs comme Lope de Vega, Calderón de la Barca et Tirso de Molina, de romanciers comme Miguel de Cervantes et de peintre comme Diego Velazquez. Vous pourrez découvrir où ces grands noms ont vécu dans le quartier appelé aujourd'hui "Barrio de las Letras" sur notre page consacrée à Huertas. Le roi Charles III fut

auraient dit qu’il avait été foudroyé. C. Ses origines au Théâtre Le Personnage Don Juan apparaît pour la première fois au théâtre en 1627 dans une pièce de Tirso de Molina Le Trompeur de Séville et le convive de pierre. Tirso de Molina :            (1779-1648) à Madrid, né sous le nom de Gabriel Téllez, Tirso de Molina est un dramaturge espagnol du siècle d’or influencé par Lope de Vega, il écrit des comédies de mœurs, d’intrigue, de caractères, moraux et religieux. Fervent religieux, il

Dorimond (1658) et Villiers (1659), toutes deux intitulées Le Festin de Pierre ou le Fils criminel, la troisième adaptation française de la légende de Don Juan Tenorio, débauché et impie châtié par le Ciel. À cette légende, le moine espagnol Tirso de Molina avait donné trente-cinq ans plus tôt une première forme dramatique dans El Burlador de Sevilla y combidado de piedra2 (L’Abuseur de Séville et l’Invité de pierre). La pièce donne à suivre les deux dernières journées de la vie de Dom Juan Tenorio

parler d'un sujet bas. Tu peux faire remarquer les réécritures ne servent pas qu'à rendre hommage mais aussi à critiquer Montherlant avec La mort qui fait le trottoir (le nom n'est pas une blague!) rend hommage au Dom Juan de Molière et à Tirso de Molina, celui qui a créé le mythe de Don Juan.

USEK Faculté des Lettres Département de Français Cours de Mme Sophie Salloum Littérature générale et comparée. Le mythe de Don Juan Commentaire composé comparé Le dernier instant. (Tirso de Molina, Le Trompeur de Séville et Le Convive de pierre ; Molière, Don Juan) Introduction Trois éléments fondamentaux sont présents dans les différentes versions du mythe de Don Juan. L’un d’eux est l’intervention du surnaturel par l’intermédiaire de la Statue du Commandeur que Don Juan a tué en duel