Alicament

du moins en volume. Les principaux besoins alimentaires étant satisfaits, tout se passe comme si les marges de croissance proposées par la préparation industrielle (légumes frais prêts à l’emploi, plats cuisinés...) ou la recherche de qualité (alicaments, produits labellisés...) peinaient à contrecarrer le déplacement de la consommation vers d’autres produits. La timide reprise des années 2006 (+ 0,3 %) et 2007 (+ 1,4 %) ne s’est pas confirmée en 2008 : le volume de la production de la branche IAA

décisions en matière de lutte antidopage ne reposent pas uniquement sur l’interdiction de s’administrer une substance active. Les drogues ont une histoire et un statut sociologique. En ce qui concerne la caféine, ce produit fait partie des « alicaments », composés à mi-chemin entre l’aliment et le médicament, de plus en plus présents dans les pays industrialisés, tels le yaourt au bifidus et les céréales vitaminées. La caféine, consommée par les quatre cinquièmes de l’humanité, n’entraîne aucun

aujourd’hui les fabrications élaborées aux dépens des produits bruts. Un changement d’habitudes alimentaires qui profite aux industriels qui mettent en avant des fabrications à forte valeur ajoutée, à vocation diététique, voire médicale comme les alicaments ½ ». Pour vendre, l’industrie laitière emploie alors les gros moyens, en consacrant pas moins de 12 % de son chiffre d’affaires à la publicité, contre 8 % pour l’ensemble du secteur de l’agroalimentaire. Source : Figaro, 14 février 2008. Annexe

malsonante, grosera o fea mot juste (le) la palabra justa mot-valise palabra sandwich, "motvalise". On parle de mot-valise lorsque les unités combinées ont, au moins, un segment en commun. Le mot français alicament résulte de la combinaison de aliment et de médicament. Le segment commun est –ment. Un alicament est un aliment censé améliorer l’état de santé (yaourts etc.) … moteur (moteur de recherche) (Google etc.) motor de búsqueda / buscador. motion de censure moción de censura motion de soutien moción

(maladies cardio-vasculaires, excès de poids, obésité…). L’alimentation est, pour les Français, un sujet d’intérêt, de préoccupations et d’interrogations. Dans ce contexte, les entreprises proposent des produits issus de l’agriculture biologique ou des alicaments (Activia de Danone au bifidus actif). À travers la consommation d’un produit alimentaire, les consommateurs recherchent à améliorer leur bien-être, mais aussi à préserver leur santé et leur sécurité. 2. Pourquoi dans un premier temps les ventes

et surgelés… ; – produits des terroirs nationaux, ethniques et exotiques (céréales pour le petit déjeuner, bières mexicaines, vins espagnols, taboulés, soupes chinoises, hamburgers, pizzas américaines, tex-mex…) ; – produits à connotation santé (alicaments) et biologiques ; – produits à forte « valeur ajoutée services », pour faciliter l’utilisation, sécuriser et faire gagner du temps : par exemple, produits traiteurs, produits frais industriels… ; – produits « premier prix » vendus dans les supermarchés

et surgelés… ; – produits des terroirs nationaux, ethniques et exotiques (céréales pour le petit déjeuner, bières mexicaines, vins espagnols, taboulés, soupes chinoises, hamburgers, pizzas américaines, tex-mex…) ; – produits à connotation santé (alicaments) et biologiques ; – produits à forte « valeur ajoutée services », pour faciliter l’utilisation, sécuriser et faire gagner du temps : par exemple, produits traiteurs, produits frais industriels… ; – produits « premier prix » vendus dans les supermarchés

réputationnelles : image de marque pour les consommateurs (ex. : la marque Disney a été valorisée par la société de conseil Interbrand à plus de 29 milliards de dollars en 2008), légitimité pour les distributeurs (ex. : l’introduction d’un nouvel alicament par Danone en grande surface est facilité par les succès passés du groupe) ou signal pour les concurrents (ex. : les comportements prédateurs passés de Microsoft, contre Netscape par exemple, peuvent dissuader l’entrée de nouveaux concurrents). b)

microbiologique ayant toujours prévalu sur tout autre, on n’a pu que constater un appauvrissement en micronutriments des aliments transformés depuis quelques és s décennies. La réponse qui consiste à enrichir certains aliments en vitamines et minéraux (alicaments), comme le proposent actuellement les industriels de l’agroalimentaire, est-elle appropriée ? Comment répondre aux besoins qui sont par essence variables ? N’y a-t-il pas aussi des risques d’excès d’apport ? L’ajout de vitamines synthétiques n’est-il

progressivement réduit la part de leurs dépenses en faveur de l’alimentation, pour la reporter sur d’autres postes, et en premier lieu la santé et les loisirs. On comprend dès lors beaucoup plus aisément, d’un côté, l’arrivée sur le marché dés alicaments, de l’autre, l’essor du snacking permettant de continuer à manger/ grignoter, y compris pendant ses loisirs. © Éditions d’organisation Un bon programme ECR nécessite un suivi méticuleux afin de pouvoir déterminer et analyser les coûts de