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CHARLES PERRAULT : CONTES : LE PETIT CHAPERON ROUGE Introduction : Charles Perrault publie ses "contes" pendant la période classique où les contes de fées sont particulièrement appréciés car ils permettent une double lecture, une destinée aux enfants pour leur apprendre unemorale et une autre pour les adultes car l'on trouve beaucoup de passages ironiques et de sous-entendus. Cette oeuvre s'inscrit dans l'objet d'étude sur l'argumentation et plus précisément sur l'apologue. Les "contes" de

: l’auteur de conte met par l’écrit des histoires qui se transmettaient à l’oral jusque là tandis que l’auteur réaliste invente une histoire à partir de faits réels ou en tout cas réalistes, “dans le sens qui semblent vrais”. Ainsi, les frères Grimm ont recueilli tous les contes qu’ils connaissaient, les ont rédigés et les ont publiés. Stendhal, lui, dans sa Chartreuse de Parme, roman précurseur du réalisme, invente une intrigue qui se greffe sur la réalité historique des campagnes de Napoléon

| | | |parents conteurs : se précipiter sur leurs enfants en faisant mine de les dévorer, et la réponse de ceux-ci : de grands | | | | |éclats de rire. La seconde – celle qui finit bien –- a été transcrite par les frères Grimm au début du XIXe siècle. | | | | |Arrive en effet le chasseur qui sort ses ciseaux, fend le ventre du loup endormi par son repas, et délivre les deux | | | | |femmes, d'abord le Petit Chaperon rouge (enfournée la

dans le cinéma? Introduction générale p2 I) Une forêt qui fait peur p3 a) Le voyage dans la forêt (Nosferatu) b) Une foret fatale (Les frères Grimm) c) Conclusion II) Une forêt idéalisée p7 a) La forêt des purs (Avatar) b) Une forêt incroyable (Alice aux pays des merveilles) c) Conclusion II) Une forêt victime de l’homme

Petit Chaperon rouge et finit par la manger. L’histoire en finit là, sur la victoire du loup. Pas de fin heureuse pour l’héroïne, la morale de Perrault est sans appel. Au XIXe siècle, deux versions distinctes furent rapportées par Jacob et Wilhelm Grimm : la première par Jeanette Hassenpflug (1491–1360) et la seconde par Marie Hassenpflug (178–556). Les deux frères firent de la première version l’histoire principale et de la seconde une suite. L’histoire de Rotkäppchen (La Capuche Rouge) parut dans

superficielle, c’est ainsi qu’elle apparait le plus souvent dans les campagnes de produit de beauté comme L’Oréal, ou les publicités de mode comme celle de Chloé, Dolce Gabbana, etc. En somme on peut dire que depuis les contes de fées des frères Grimm l’image de la femme a quelque peu évolué mais pas entièrement, elle peut travailler tout en continuant à s’occuper des enfants… et du ménage.

Robert «  Récit fabuleux, transmis par la tradition, qui met en scène des êtres incarnant sous une forme symbolique des force de la nature, de la condition humaine ». Pour certains auteurs, mythe et conte ne se distinguent pas : c’est le cas des frères Grimm pour lesquels il existe « une identité originelle « entre mythes et contes ou encore de Propp qui, dans sa morphologie du conte, préfère parler de « conte mythique » plutôt que de conte merveilleux ; il précise « le conte merveilleux dans sa base morphologique

la fable initiale peut se voir modifiée par le style, le cadre, les personnages, le fonctionnement de l'histoire, dans le but de créer une forme différente. Par exemple, Jean Yanne lors de sa réécriture du Petit Chaperon Rouge -plus de 200 ans après l'originale- reprend les éléments thématiques de l'histoire et change le cadre de départ par un centre ville, crée une inversion dans le rôle des personnages en renversant les évidences, et raconte l'histoire dans un style familier en montrant le conflit

know not me. Now theres a way and I know that I have to go away. I know I have to go. » Cat Stevens – Father and son Cendrillon, conte populaire dont les versions de Charles Perrault (Cendrillon ou la Petite Pantoufle de verre) et des frères Grimm (Aschenputtel) sont les plus connues à été interprété et adapté à la scène par Joël Pommerat dans une pièce beaucoup plus contemporaine. Plateau noir. Une voix off retentit et commence à narrer une histoire, son histoire. Le plateau est éclairé

Problématiques vises par l’enseignant. Impressions personnelles après une immersion dans les contes traditionnels : des histoires dures, vraiment ! Entrée par l’illustration : Anthony Browne modernise les illustrations (mais conserve le texte des frères Grimm). Entrée par le texte et l’illustration : Lechermeier raconte ce qui n’est pas dit dans le conte de Perrault par le biais du journal intime du Petit Poucet et Dautremer féminise le Petit Poucet et ajoute de la poésie (la forme du journal intime permet