Allison Graham Cuba

) en ↘ VS nouv° ( USA ) avec ressou.éner° + brevets (Chine, auto) · Graham Allison = lorsque puiss.émer° rattrape, finit tjrs mal / On n’a pas les moyens de sa pô ↘ Ang, ↗ All · Facteurs techniques =

interprété les pol etrangères comme la seule perception du chef de l'Eatt. Un ouvrage de Graham Alison en 71 va analyser les pol etrnager qui s'apellle "l'essence de la decsiioon : expliquer la crise des missiles a cuba". Section 2 : Graham ALLISON et analyse sociologique du processus de décision A. la crise de Cuba Fidel Castro arrive au pouvoir à Cuba en janvier 1959, il y a alors une rupture entre Cuba et les EU. au mois d'avril, il y a eu le débarquement de la baie des cochons, les américains

décision, courant de pensée que l’on doit essentiellement à Graham Allison (1971), The essence of decision, qui portait sur la crise des missiles à Cuba en 1962, crise qui a failli voir le monde basculer dans la 3e guerre mondiale. Cette solution du blocus naval est la plus modérée de toutes celles qui avaient été envisagées, puisqu’on avait envisagé également un bombardement, une attaque nucléaire ou encore un débarquement sur le sol de Cuba. Face à ce blocus, Khrouchtchev décide de faire faire demi-tour

guerre hispano-cubaine de 1898 : l’intervention militaire américaine est décisive pour permettre à Cuba d’obtenir son indépendance face à l’Espagne, puissance européenne. Les États-Unis obtiennent des retombées importantes de leur intervention : l’Espagne leur cède Porto Rico, les Philippines, une partie des îles Mariannes (Guam) ; l’influence américaine se substitue à l’influence espagnole à Cuba : l’économie cubaine (plantations de sucre) passe aux mains des Américains qui disposent d’une base

en premier lieu les responsables. Bien sûr, un certain équilibrisme a toujours marqué le pilotage des grands systèmes; bien sûr de grandes crises ont marqué le passé, et d'ailleurs l'étude des crises ne date pas d'aujourd'hui – celle des missiles de Cuba, en 1962, fait souvent date dans l'histoire de la pensée sur le sujet. On ne saurait oublier ni l'entrée en guerre de 1914, ni la peste noire qui décimèrent l'Europe et bouleversèrent le monde. Mais il semble que l'on atteigne aujourd'hui un degré

en premier lieu les responsables. Bien sûr, un certain équilibrisme a toujours marqué le pilotage des grands systèmes; bien sûr de grandes crises ont marqué le passé, et d'ailleurs l'étude des crises ne date pas d'aujourd'hui – celle des missiles de Cuba, en 1962, fait souvent date dans l'histoire de la pensée sur le sujet. On ne saurait oublier ni l'entrée en guerre de 1914, ni la peste noire qui décimèrent l'Europe et bouleversèrent le monde. Mais il semble que l'on atteigne aujourd'hui un degré

en tant que diplomatie, ou art de 14 gouverner (statecraft). Finalement, dans ce qui allait devenir un tournant décisif pour la FPA, et quel que soit le jugement que l’on puisse porter sur son livre, le célèbre « Essence of Decision » de Graham T. Allison proposa d’étudier la politique étrangère en tant que processus décisionnel (decisionmaking process) poursuivant ainsi la voie ouverte avant lui par Snyder et ses collègues. Si l’ouvrage d’Allison constitua un tournant, c’était parce qu’il procédait

mais on peut démontrer qu'il a pris une décision rationnelle En politique étrangère comme dans toute politique il y a un rôle joué par l'administration et son organisation. L'exemple de la crise des missiles de Cuba en 1962 illustre parfaitement cela Graham Allison, Explaining the Cuba missile crisis : − le modèle rationnel : c’est le président qui choisit, conscient de l’intérêt national, selon le schéma d’explication réaliste 7/62 − le modèle organisationnel : dans les Etats il existe

ce que montre bien l’exemple suivant. Le droit constitutionnel proclame que le Président des États-Unis est seul compétent pour prendre les décisions en matière de politique étrangère. Pourtant, une étude de  Graham Allison  sur la crise des missiles de Cuba aux débuts des années 1960 va montrer que Kennedy est tenu par tout un ensemble de règles, de rapports de forces dont il devra tenir compte pour décider. Au total, la décision d’opérer un blocus naval pour contraindre les

fabrique la décision, et sur quels critères. L’approche de la politique étrangère et sous l’angle de la politique publique, de la prise de décisions et de jeux démocratiques a fait école notamment avec l’étude réalisée par Graham Allison en 1971 sur la gestion de la crise de Cuba en 1962 par l’administration Kennedy. L’un de ses principaux mérites c’est celui de rétablir le lien indispensable qu’il y a entre la politique extérieure et la politique intérieure. Elle révèle aussi que dans le contexte