Allitération De Nerval

justification de la fécondité : cette « vierge » est « inféconde ». La révolte : ''Abel et Caïn'' Les figures d'Abel et de Caïn avaient subi à l'époque romantique une ré interprétation dont on trouve les témoignages chez un Balzac ainsi que chez Nerval. L' »injustice » de Dieu à l'endroit de Caïn permet aux romantiques de croire se retrouver en lui et cela d'autant plus qu'à l'image du persécuté vient se superposer une dimension politique qui fait d'Abel la figure du bourgeois nanti et de Caïn celle

déroulement du Temps et ses connotations tragiques que l'on repère d'abord à la lecture : Sans fin donner naissanceÀ des passions sans corpsÀ des étoiles mortesQui endeuillent la vue. L'inéluctabilité de ce déroulement est suggérée par la fluidité des allitérations en fricatives [f] et sifflantes [s], par l'ombre des échos en nasales [sã] (x 3) et par l'assonance approximative dans les rimes intérieures de la syllabe [or]. Les sonorités du dernier vers, très différentes des trois premières, claquent alors

impressionnent le jeune Éluard qui prend avec elle son premier élan de poésie amoureuse, un élan qui se prolongera dans tous ses écrits. Elle dessine son profil, et il ajoute à la main : « Je suis votre disciple ». Ils lisent ensemble les poèmes de Gérard de Nerval, Charles Baudelaire, Lautréamont et Guillaume Apollinaire. Le 11 mai 1918, il écrit à l’un de ses amis : « J’ai assisté à l’arrivée au monde, très simplement, d’une belle petite fille, Cécile, ma fille ». En 1918, lorsque la victoire est proclamée

voyelle : ex. Où, teignant tout à coup les bleuités, délires (Rimbaud) ex. Je fais souvent ce rêve étrange et pénétrant… (Verlaine) Ici la répétition de la voyelle nasale accentue l’impression de douceur et de mystère de ce vers. 6.2. Allitération On appelle allitération la répétition d’une même consonne à l’intérieur d’un vers ou d’une strophe : Pour qui sont ces serpents qui sifflent sur nos têtes ? (Racine) 10 La répétition de la sifflante [s] introduit dans le vers la présence menaçante des

Les rimes sont embrassées. Le caractère poétique de ce texte est repérable grâce à sa forme fixe et à la musicalité conférée par les rimes :Se confondent/Se répondent, enfants/triomphants ainsi que par des allitérations et assonances : « Et d’autres corrompus riches et triomphants (allitération en R et Tr) et par des parallélismes, des reprises de formulation : « Vaste comme la nuit et comme la clarté). On observe de nombreuses figures de style, le poème débute par « La Nature est un temple », une

l'opposition du beau et du laid, du sublime et du grotesque. Il préconise la liberté et le naturel en art. Le Romantisme s'exerce dans les romans, la poésie, ainsi que le théâtre. A sa tête, il y a Victor Hugo, puis viennent Théophile Gautier, Gérard de Nerval, Alexandre Dumas, Alfred de Vigny, Alphonse de Lamartine et Jacques Michelet.Les limites chronologiques du Romantisme qui sont fixées sont aléatoires car il a continué à influencer la littérature française durant tout le XIXème siècle. LE CONTEXTE

que la guerre est jolie / Avec ses chants ses longs loisirs […] Et que la grenade est touchante / Dans nos effroyables jardins. » G. APOLLINAIRE « Cette obscure clarté qui tombe des étoiles » P. CORNEILLE « Le Soleil noir de la Mélancolie. » G. DE NERVAL • Un silence assourdissant. • Une belle saleté. « Il faut manger pour vivre et non vivre pour manger» MOLIERE « Généralement, les gens qui savent peu parlent beaucoup, et les gens qui savent beaucoup parlent peu. » J.-J. ROUSSEAU « J’ai appris qu’une

qualifier la nature, l'hyperbole est également de mise, les « lieux » étant « charmants », c'est à dire magnifiques mais aussi magiques et le « désert » « beau ». Les adjectifs caractérisant cette nature sont mélioratifs et le ton élogieux. Gérard de Nerval quant à lui, dans « El Desdichado », extrait de Les Chimères, ne s'adresse pas à la nature à proprement parler mais supplie plutôt qu'on lui rende « le Pausilippe et la mer d'Italie », le Pausilippe étant une colline à l'Ouest de Naples où il aurait

Saint-Pierre - Aloysius Bertrand - Petrus Borel - Chateaubriand - Chénier - Constant - Delacroix - Alphonse Esquiros - Xavier Forneret - Gautier - Géricault - Hugo - Lacenaire - Lamartine - Charles Lassailly - Lautréamont - Mérimée - Michelet - Musset - Nerval - Nodier - Philothée O'Neddy - Alphonse Rabbe - Rousseau - Senancour - George Sand- Mme de Staël - Stendhal - Vigny 1re lecture : lecture cursive À la fin de cette lecture, procéder à un questionnement systématiquement du texte : * Quel est

précieux, des périphrases, des allusions mythologiques et savantes) Une rhétorique (des comparaisons et des métaphores, des anaphores, des personnifications) Une musicalité et un langage expressif (un rythme cadencé, binaire ou ternaire*,des* allitérations et des assonances, des exclamations oratoires, des interjections et une ponctuation excessive.) Lautréamont (1846-1870), « Le Pou », Les Chants de Maldoror**, chant II, strophe 9 (1869). [...] Vous ne savez pas, vous autres, pourquoi ils