Allitération En F

10 : sensation visuelle * v. 12 : sensation olfactive (" parfum ") * v. 14 : auditive (" chant ") La rêverie s'épanouit en fonction de ses sensations. Les sensations sont mises en relief par un jeu d'échos noté par les assonances et les allitérations (f/v, l/r, m/n). Le poème fait écho à ce vers des " correspondances " de Baudelaire : les parfums, les couleurs et les sons se répondent .Le vers de chute est le point d'apogée des sensations ; le rythme croissant 2+4+6 révèle l'extase du beaudelairien

rivages, azur tropical, musc, coco… » Champ lexical maritime : « port, océan, voilures matures, roulis… » ; harmonie du bercement : liquide[l] «  langueurs, roulis, longues » Un espace d’harmonie, à laquelle participe la musicalité :allitération en [f] mariant  « l’atmosphère, le parfum, les fruits, les feuilles…et la peau humaine » : harmonie des parfums hommes/ nature C-Un peuple exotique (diversité rime avec unité) Fourmillant de chants Cosmopolitisme du port : « Hommes de ttes

L’écriture poétique crée, entre les mots, des échos sonores qui invitent à rechercher des rapports de sens entre ces mots « consonants ». Parmi ces échos sonores et sémantiques, on distingue : Allitération : Répétition d’une même consonne ou de consonnes voisines, comme les dentales (t) et (d) ou les fricatives (f) ou (v) ; Ex : « Il est des parfums frais comme des chairs d’enfant. » (Baudelaire) Assonance : Répétition d’une même voyelle ; Ex : « Tout m’afflige et me nuit et conspire à me nuire. » (Racine)

v. 10 : sensation visuelle v. 12 : sensation olfactive (" parfum ") v. 14 : auditive (" chant ") La rêverie s'épanouit en fonction de ses sensations. Les sensations sont mises en relief par un jeu d'échos noté par les assonances et les allitérations (f/v, l/r, m/n). Le poème fait écho à ce vers des " correspondances " de Baudelaire : les parfums, les couleurs et les sons se répondent ". Le vers de chute est le point d'apogée des sensations ; le rythme croissant 2+4+6 révèle l'extase du beaudelairien

prose et les visions oniriques ou symboliques. -------------------------------------------------------------------------------- Allitérations : répétition volontaire de sons consonantiques. On distingue les dentales (d, t), les gutturales (g ,c ,q , k), les labiales (b, p) , les nasales (m, n), les liquides (l, r, v, w, j), les sifflantes (s, f, ss, c ,ç, ph, z) Assonances : répétition volontaire de sons vocaliques. On distingue les claires (eur, a ouvert, o ouvert, air, è, ê

séparés par un espace. Si les rimes sont régulières ainsi que la longueur des strophes : on dit que le poème est régulier. 4° question : (cf p262) une allitération c’est la répétition d’une même consonne ou d’un groupe de consonnes. Ver 7 du poème il s’agit du F (fe) ainsi que du T (te) «... Flot fut attentif » (répétition du son ‘f’) Cette allitération reproduit le mouvement de l’eau et celui des rameurs Quel est l’intérêt de répéter des sons dans un poème ? Sonorités plutôt douces et agréables et

CORRESPONDANCES sont également exprimées par les mots eux-mêmes, avec un champs lexical de la RESSEMBLANCE (ces mots donnent une image d'un monde idéal) Baudelaire exprime une harmonie dans l'écriture à travers la musicalité des vers (ALLITERATION en « l » et en « f » ) Une phrase par strophe sauf les deux tercets qui forment une seule phrase → HARMONIE Baudelaire a essayé d'exprimer l'harmonie du monde à travers une recherche musicale

ou faire revivre l’absente. Ce premier quatrain contient également une allitération en R, consonne constrictive forte tout comme le quatrain suivant et qui traduit la violence des sentiments. 2ème quatrain : Les trois premiers vers (donc 5, 6 et 7) montrent le déchaînement de la nature : on y retrouve en effet le champ lexical de la violence tels que « mugissais », « brisais », déchirés ») et toujours la même allitération en R. Au vers 6 et 7, on a une anaphore de « ainsi », employée afin d’insister

Souriant comme/Sourirait un enfant malade, il fait un somme. » (v. 9-10) Effet : Le soldat souriait, tranquille. Comme un enfant faisant un rêve. Allitération des vers 11 et 12 « Nature, berce-le chaudement : il a froid ⁄ Les parfums ne font pas frissonner sa narine » (V11-12) Effet : Les allitérations en N on pour effet de créé du désir et ceux en F sont plutôt éphémère. Rythme brisé « trou de verdure ou chante une rivière » ( V.1) « Et la nuque baignant dans le frais cresson bleu

Au vers 7, il est "étendu", intensifie l'impression de confort ; vers 8 " un lit vert", la nature lui a construit un lit. Si on regarde d'un peu plus près, nous voyons qu'il paraît mort : vers 14 "deux trous rouges sur le côté droit", + allitérations en "r". À partir de ce moment nous basculons dans l'horreur, dénouement très brutal. III - Aspects contradictoires La mort est en fait omniprésente : vers 1 le mot "trou" fait écho avec le vers 14. L'adverbe "follement" vers 2