Allitération En F

qu'il contient, comme une vieille personne partagerait les histoires de sa vie. Le buffet a une volonté : "tu voudrais" Le buffet est comparé à une vieille personne ("a pris cet air si bon des vieilles gens"). Allitérations en "ch", "v", "f" => impression de bruissement du buffet. Allitération en "t" : porte qui s'ouvre => vie. II. Le buffet, un vieil ami Passage de l’article indéfini ("un large buffet" vers 1) à l’article défini ("Le buffet" vers 3) pour marquer le rapprochement, l’entrée dans une

emploie un lexique d’un bruit agressif “ assourdissante". Ces procédés nous montre donc comment la rue est mouvementé par les bruits qui l’entourent, elle décrite comme violente avec une atmosphère pesante, cette impression est accentuée avec une allitération en ( r ) et une assonance en ( ou) et (an). Et amplifié par des hiatus ( u-a) / (a-u ), les Tableaux parisiens sont donc bien mis en valeur mais de façon pessimiste puisqu’ils sont perçus comme violents et agressifs. Puis vînt la femme. L’auteur

Analyse théorique : Alexandrins Sonnet composé de 2 tercets et 2 quatrains ABBA ; CDDC ; EEFGGF  Embrassées ; embrassées ; plates puis embrassées A=suffisiant ; B=riche ; C=suffisant ; D=riche ; E=suffisant ; F=suffisant ; G=riche Alternance rime masculine-féminine Enjambement lignes 6-7 Enjambement lignes 10-11 Enjambement lignes 13-14 Découpage : Je m’en allais, les poings dans mes poches crevées ; Mon paletot soudain devenait idéal ; Mise en place : Il marche, avec un vêtement

d'une huître . -Description concise mais complète : description en référence à un galet, acumulation de comparatifs ; découverte sensorielle (taille, toucher, aspect). -Description extérieure assez négative : quasi laideur de l’huître ; allitération en G, en R ; comparaison avec un galet, à la faveur de ce dernier ; hostilité, adverbe " opiniâtrement " ; oxymore " brillament blanchâtre ", qui insiste sur la dualité de l’huître + ironie, péjoratif. -Si l’observateur n’insiste pas, seule

| |l’injustice de la mort d’un enfant. | |Sonorité : allitérations |Vers 11 et 12 |L’allitération en (f) nous fait penser à une expiration ou à | | |Allitération en (f) : froid, parfums, font et |un soupir. | |

«  Las » exprime le regret con. Elé, donne la tonalité au poème * «  Ce mépris de Fortune » le mauvais sort, d’énergie * « ce [tte] »x4 Art. démons. V.laudative du passé, éloge, marque une certaine distance ayant une v.a * = à cette F, «  cœur vainqueur » rime intérieures pvt défier le manque d’inspiration. Stmt de > délicieux. * Champ lexical de la puissance : « vainqueur », « adversité », « immortalité », Un être supérieur comparable au Dieux, Il pouvait tout assumer.

fille : éveil de l’amour. L’indicatif présent est opposé au passé. La foudre (« foudroie ») est une métaphore réitérée par l’« éclair ». Le poète est dans le chaos : « tonnerre » : allitération en [T]. La femme est la savane, elle frémit, gronde (personnification de la savane) : « savane ; femme ; tamtam ». Allitérations en [F] et [V] pour le souffle.A la dernière strophe : femme face à son destin, âgée « beauté qui passe », en cendre (morte). C’est le temps qui passe. Pour Senghor, la mémoire et l’écriture

Contrerejet « Les pieds dans les glaïeuls, il dort. Souriant comme/Sourirait un enfant malade, il fait un somme. » (v. 9-10) Effet : Cela crée un effet d’attente, de suspens Allitération des vers 11 et 12 Il a froid/ Les parfums ne font pas frissonner sa narine Allitération en (n) et en (f) Effet : Cette allitération commence à nous faire ressentir de plus en plus la mort du soldat Rythme brisé Effet : Ce rythme brise la fluidité de son propos et annonce au lecteur que ce sommeil est pour

d'abord sa vie et en tire une morale philosophique. I – L’habilité du fabuliste : 1) Capter et maintenir l’attention du lecteur : * un portrait en mouvement qui attire l’attention (procédé quasi-cinématographique) « marchait », allitération en « f », assonance en « en », « pas pesants » * une personnification de la Mort « il appelle la mort », « elle vient sans tarder » 2) Susciter la sympathie et la pitié : * un homme misérable qui lutte  « pauvre », « gémissant et

l’interpréter. Pour connaître l’avenir, le poète va avoir besoin d’un intermédiaire. Il cherche à prédire l’avenir en lisant dans les entrailles d’un animal sacrifié avant d’être brulé. En effet, le feu « palpite et (…) fume ». Cette allitération en « p » et « f » crée une véritable harmonie imitative du crépitement du feu et des battements d’un cœur. L’adjectif « palpite » renforce l’impression du sacrifice. Le poète tente tout le long du poème à communiquer avec le monde idéal des idées