Allitération En F

6: Jeune fille: éveil de l’amour. L’indicatif présent est opposé au passé. La foudre («foudroie») est une métaphore réitérée par l’«éclair». Le poète est dans le chaos: «tonnerre»: allitération en [T]. La femme est la savane, elle frémit, gronde (personnification de la savane): «savane; femme; tamtam». Allitérations en [F] et [V] pour le souffle. A la dernière strophe: femme face à son destin, âgée «beauté qui passe», en cendre (morte). C’est le temps qui passe. Pour Senghor, la mémoire et l’écriture

cours, flots, humide, onde, coulait, eau, … » Thème conforté par les allitérations de consonnes liquides [f], [v] vers 1 et 2 - champ lexical qui converge avec celui du mouvement «  ondante, fluer, couler, change, passe, varie » →L’eau est une métaphore du monde changeant, en mouvement perpétuel. La vie n’est que passage →L’écriture mime elle-même ce flot : 3 longues phrases, confortées par les allitérations de consonnes liquides [f], [v] vers 1 et 2 2-    La représentation de la mort -Issue inexorable

témoignage direct du narrateur. Le vocabulaire employé évoque des reptiles : "murailles lézardées", "tortueux", "grouillant". Il y a des allitérations en "r""furent d'abord", "raconte", "muraille". Ces allitérations renforcent la structure des strophes, cela rend plus cohérent. Il y a des phrases nominales (sans verbes). Le narrateur perçoit des sons avec des allitérations en "f" et en "l". Un dialogue entre les différents sons dans chaque scène est suggéré par la répétition de mots ou par antithèse : "cris

du discours de Vautrin sur Rastignac A. Le discours direct : B. La posture du professeur vis a vis de son élève: Vautrin met en confiance le jeune homme en flattant son orgueil. C.Le but à atteindre: Il y la présence d'une allitération en '' c '' à la ligne 9-8 ,qui insiste sur ce que Puis, on peut voir aussi , qu'il y a un jeu de question rhétorique, consistant a convaincre Rastignac. Vautrin donne des exemples en mettant des chiffres.Ce sont données

pour l’éternité mûrs » échos des sons donc insistance sur le mot « éternité » ==> englobe le temps II) 3 derniers quatrains : vision du poète A) un point de vue interne - énonciation à la première personne - v.73 « Mais moi, moi qui » ==> allitération en « m » pour s’opposer complètement à la vision des autres - exclamations, apostrophes et questions ==> émotions du poète B) un poète protecteur Protecteur dans l’espace : - « de loin » ==> la vision du poète englobe tout l’espace - « fixé

banquette d'un café. (J.-P. Sartre) Allégorie : Description métaphorique dont les éléments forment un ensemble cohérent et qui exprime une idée générale. La Mort, lorsqu'elle est représentée comme un squelette armé d'une faux. Allitération : Répétition de sons identiques dans une suite de mots. Je fais souvent ce rêve étrange et pénétrant D'une femme inconnue et que j'aime et qui m'aime. (P. Verlaine) Amphibologie : Ambiguïté d'une construction, donnant lieu

futur imprécis- Répétition de l'adverbe loin --> fugue ressentie comme une détermination -Nature assimilée a une femme-Important champ lexical du sensoriel "picoter" "fouler" | -Assonance en "i" --> son criard comme les cris du peuple-Allitération en "s" --> comme un sifflement L> donne du mouvement à la révolte-Champ lexical de la révolte | -Accumulation de nom de dieux représentant la force, la beauté, l'amour --> mise en avant-Apostrophes aux dieux, à la Nature ou à la femme

musique → Hypallage des cafés, allitération en f pour montrer une atmosphère vivante. => Ces images audacieuses invitent le lecteur à porter un regard neuf sur la ville et sur le spectacle du quotidien. III Une chanson d'amour a)-Une chanson Évocation de nombreux genres poétiques → mais c'est une romance « la romance du mal aimé » de registre élégiaque. Apollinaire disait : « Et je chantait cette romance » (1903). b)-Musicalité et sonorités Diérèse Allitération en t/d/f rythme cadencé « Je ne compose

le discours dédaigneux du chef à l’encontre de Bougainville et en particulier le tutoiement L1 « Et toi chef des brigands qui t’obéissent ». L’indignation du vieil homme et l’utilisation du registre polémique du discours sont renforcé par les allitérations dentale L38-39 « va dans ta contré … tu voudras ». L’emploie du registre satirique tourne en dérision les valeurs occidentales « besoins factices, besoins superflus, biens imaginaires, vertus chimériques, inutiles lumières. » Ce réquisitoire dénonce

Rimes embrassées. - Sonorités : harmonie sonore avec rimes riches « amassait/chassait » en alternance avec des rimes suffisantes « vagabondes/profondes ». Allitération des sifflantes [f]x2, [s]x4 et [ch]x2. Paronomase vers 4 avec « chevaux chassait » -> harmonie imitative, sonorités qui font entendre le souffle des chevaux en cavale. Allitération en [r]x8 qui évoque peut-être le râle des chevaux. -> Tableau en mouvement, dont le dynamisme vient du rythme croissant 4/6, de l'enjambement du vers 1