Allitération En R

longue coupure, le vers s'enfle comme une rafale de vent et se prolonge à perdre haleine, tandis que la récurrence des sonorités en « an »  traduisent à travers l'harmonie imitative la menace de la tempête (« Quand l'ouragan... dans »), les allitérations en « r » (l'ouragan soufflera...roseraies ») et la musique elle-même du mot « soufflera » complètent l'impression de l'ensemble : « Tu mourras/ quand l'ouragan soufflera dans les roseraies ». L'automne, véritable saison mentale chère au poète, même

reprises à un chant : « chante » au vers 5, « un air murmuré » au vers 13, « nicher » au vers 5.Le poème est en effet musical, tout d'abord grâce au jeu des sonorités : au vers 5, on trouve une allitération en « ch » : « chante pour les oiseaux qui n'ont où se nicher », et au vers 13, des allitérations en « r » et « m » : « comme un air murmuré qui rend les pieds moins lourds ». Il y a également un jeu sur les sonorités comme par exemple l'expression : « Je t'aime » avec « thème » de l'amour, caché

ou césure, qui suit la syllabe 4. De ce fait, sont accentuées les syllabes 4, 6 et 10. En l’occurrence, le rythme met en relief les deux mots-clés antithétiques, « Mort » et « jour », que rapprochent cependant les riches sonorités du [r], qui traverse en allitération tout le décasyllabe, dont il assure l’unité harmonique. Toutefois, le développement de la tragédie renaissante favorise l’emploi de l’alexandrin, qui s’impose progressivement, jusqu’à devenir le vers noble par excellence

magique * Exergue : permet de mettre le lecteur dans une atmosphère musicale. a). Musicalité Dans le poème en prose, le poète joue sur : les allitérations, le rythme, la ponctuation. Par conséquent, il y a un travail sur la poésie et la musique. On y trouve également des rythmes ternaires, des répétitions de sons (les échos), et les allitérations (son) Remarque : lorsque l’on lit un texte en prose, on n’est pas obligé de lire tous les « e » muets b). Unité Le poème en prose a une unité (une

Vengeance divine (foudre, religion) c)ambiance maladive . Nuit . Lune voilée (pas de lumière dimension mauvaise de la lune) . Girouette hurlante (allitération en « i » grincement) . Orage tempête (allitération en « que » et « gue » et « r » donc violence . Chanterelle (détruite donc pas d’harmonie violance) . >Champ lexical de ténèbres et de l’épouvante . Une ambiance d’apocalypse (st jean auteur de l’apocalypse)

« verre »…) ; il tremble sous l’effet de l’ivresse (« vin trembleur »). De plus, il fait froid dans les cabarets (sens propre), et il se réchauffe près du feu. Il relate un moment d’ivresse où va surgir le surnaturel. La répétition des sons « l » et « r », qui sont des sons liquides, font penser au passage du Rhin. La rupture du poème : Il est scandé. La structure est classique, en alexandrins, mais il y a un effet de surprise au dernier vers : il est seul, c’est une rupture avec le poème au 13eme

Allusion à la corruption vers 1155 "on les souille". C) Qui conduit l'Espagne à sa perte • Grandeur de l'Espagne et de son peuple : image du "lion" "puissant" = immensité, "un amas d'empires" = grandeur + enjambement au vers 1146 "monde, Madrid" + allitération en [m] qui vient renforcer l'aggrandissement ; Les termes "lune, astre, soleil" donnent une dimension, un pays cosmique. • L'Espagne mise à mal : opposition passé "jadis"/présent "maintenant" ; Les verbes tels que "s'amoindrit, n'est plus que"

immeuble ». Le langage familier utilisé est un miroir de la société qui est la leur, un siècle où la jeunesse se construit en réinventant ses propres codes, un langage à son image : « kiffe », « les darons », « coup de pression », « biftons »… Comme R et J, l’amour des deux ados naît d’abord par la vue : « quand ils se voient », « grandit dans leur regard ». La scène du balcon, romantique par excellence, est recréée dès le début du slam. En effet, l’endroit où ils habitent semble la symboliser :

Pour Eluard, le poète "aimant l'amour" n'est pas tant amoureux d'une femme que de l'amour lui-même. La vocation de la poésie est-elle, selon vous, de célébrer l'amour, ou privilégiez-vous d'autres fonctions ?   R : le sujet premier des poésies, c’est l’amour, la célébration de la femme aimée ou le désespoir, la mélancolie… il semble donc que la poésie soit le lieu de l’expression des sentiments (lyrisme…) La poésie est-elle seulement le lieu de l’expression personnelle des sentiments ? Est-ce

c) Musicalité Des échos sonores contribuent à la musicalité du poème en prose. - On relève une allitération en [m] dans : « Mon âme voyage sur le parfum comme l’âme des autres hommes sur la musique ». Elle confère douceur au passage et donne à entendre le murmure du chant musical. - De même, l’assonance en [ã] - On remarque encore que le son du roulis est renforcé par des allitérations en [r] et en labiales [b] et [p] : - on peut relever une paronomase dans « les langueurs des longues heures