Allitération En R

pour mieux la souligner). Anaphore « sur » / on a une anaphore + un complément circonstanciel de lieu / énumération voire addition des lieux (lac, lune vivante…) « j’écrits ton nom » mots simple. On note des allitérations (répétition d’une même  « consonne » dans plusieurs strophes) ex, le « r » : dorées/guerriers/couronne/roi. On a une progression entre les strophes 1 à 4, jeunesse et adolescence, âge adulte. On note aussi de nombreuses référence a la nature (a partir de la strophe 4), des mots

paysage plein de sensualitéLa vue est sollicitée par nb de couleurs : « roses » v. 1, « jasmins »(blancheur), « pervenches » v.3, « blanches » v. 4, « blanc » v. 17. Ces couleurs => « éblouissement » (lumière).L’ouïe :  v. 1 , allitération en « r » ; v.5, allitération en « v » : on entend le bruit des insectes, le souffle du vent ; la régularité des alexandrins avec césure à l’hémistiche => harmonie et balancement régulier.: v.1, v. 3, v. 4 , v. 6, v. 8, v. 10, v. 11, v12,v.13,v.14,v.15 ,v

Une analogie (v.1-4) • Musicalité liant tous les termes : ∘ Paronomase dans « la mer » (v. 1, 2, 3, 4), « l'amour » (v. 1, 2, 3, 4), « l'amer » (v. 1) ∘ Homophonie dans « (l)a mer » (v. 1, 2, 3, 4), « amer » (v. 1, 2), « amère » (v. 2) ∘ Allitérations en m, r et l + assonances en a, é et è. ∘ Anaphore de « Et la mer » (v. 1, 2) = répétition évoquant le mouvement continu des vagues ? • Insistance sur la proximité entre amour et mer : ∘ Comparaison « en la mer aussi bien qu'en l'amour » (v. 3) ∘ Polysyndète

dernier tercet. Les rimes dans les quatrains sont riches (vers 2, 3, 6 & 7) car elles comportent 3 sons communs (m/è/m) ou suffisantes aux vers puisqu’elles n’ont que 2 sons communs : « r/an ». Celles qui se trouvent dans les tercets sont également des rimes suffisantes, avec par exemple, aux vers 9 et 10 les sons : « o/r ». Dans l’ensemble du poème, les rimes sont féminines car elles se terminent par un « e » muet sauf dans les vers qui encadrent les quatrains où il s’agit de rimes masculines (ant/ent)

importance , unicité , respect du héros -Diérèses : "rimeur" ,'' bretteur" , "physicien" , "musicien": talents de Cyrano positifs -énumération "bizarre, excessif, extravagant,falot": met en valeur le héros et les spectateurs son curieux allitération en r ,p,k ou v au vers 119 Lecture Analytique d'un des premiers aperçus de Cyrano

n’ayant point trouvé de nourrice va le confier à Mme R. qui va refuser en premier lieu. Par la suite celle-ci va accepter éprouvant de la pitié pour le bébé. Se déploie le champ lexical de l’acceptation : «  acceptable » ; «  Accepté » ; « d’abord refuser ». Cela met en effet l’idée que la mère adoptive était hésitante au début mais que par sa générosité elle donne son accord pour le bien de l’enfant. Plusieurs citations du texte montrent que la famille R. n’était point apte à accueillir un autre enfant

l’universalité de la poésie : les problèmes liés à la négritude sont des problèmes identitaires qui peuvent se poser à chacun d’entre nous. LE GENRE POETIQUE Points abordés : La forme : strophe, vers libre Les sonorités : rimes, assonances, allitérations, les répétitions Le rythme Les figures de style : comparaison, métaphore, métonymie, personnification, oxymore Plan de la séquence : I. Rappels historiques (45’) II. Education aux médias : Le noir dans la publicité (2 X 45’) III

l’émotion du poète 1) Une invitation : - impératif : « allons voir » à promenade qui semble anodine, désintéressée - rythme : vif et entraînant (2 syllabes, 3, 3 v.1- 1,3,2,2 V.2) à termes monosyllabiques ou bisyllabiques + douceur des allitérations : [m], [n], [s] et des assonances [o] : 4 premiers vers. 2) Une comparaison élogieuse : - « teint » de la rose // teint de la jeune femme - « âge fleuronne »v.14 : hypallage (figure de style qui consiste à attribuer à un mot de la phrase

L’expression de l’émotion du poète 1) Une invitation : promenade qui semble anodine, désintéressée - impératif : « allons voir » - rythme : vif et entraînant (2 syllabes, 3, 3 v.1- 1,3,2,2 V.2) termes monosyllabiques ou bisyllabiques + douceur des allitérations : [m], [n], [s] et des assonances [o] : 4 premiers vers. 2) Une comparaison élogieuse : - « teint » de la rose // teint de la jeune femme - « âge fleuronne »v.14 : hypallage (figure de style qui consiste à attribuer à un mot de la phrase ce qui

du poète 1) Une invitation : - impératif : « allons voir » ( promenade qui semble anodine, désintéressée - rythme : vif et entraînant (2 syllabes, 3, 3 v.1- 1,3,2,2 V.2) ( termes monosyllabiques ou bisyllabiques + douceur des allitérations : [m], [n], [s] et des assonances [o] : 4 premiers vers. 2) Une comparaison élogieuse : - « teint » de la rose // teint de la jeune femme - « âge fleuronne »v.14 : hypallage (figure de style qui consiste à attribuer à un mot de la