Allitération En R

aboutit au "moi" final. Dans le décor nocturne "métallique", romantique mais un peu inquiétant, que dessine la première strophe, l'ombre lunaire de la végétation "vert sombre" forme des plaques de métal "clair", opposant les allitérations en "L" à celles en "R". Le même rapport antithétique se retrouve à la deuxième strophe dans ce chant d'"une nuit sans air", qui à la fois anime ce silence nocturne, car il retentit "tout vif" et pourtant est "enterré" sous un massif et, plus loin, "s'en

derniers sépare les amants. Les noms des commères ont des sonorités qui ne sont pas agréables= allitération en R ; « Cyp r ien et Hen r i » « Ma r ie U r sule et Cathe r ine » « Boulangè r e et son ma r i » « Gert r ude Ces sonorités désagréables renvoient aux cloches et leur bruit incessant qui

écrivain est avant tout un amoureux des mots, pour leur "physionomie" dirait Valéry. 1. Les effets sonores (concernent aussi la prose) a) Les allitérations C'est le fait de répéter la même consonne : b) Les assonances C'est le fait de répéter la même voyelle. c) Les échos sonores On reprend des syllabes entières : assonances + allitérations 2. Les effets rythmiques (concernent aussi la prose ) Il est déterminé par le nombre de pieds dans le vers, la longueur des phrases, la césure

contrairement à l’image que l’on pourrait avoir d’un fleuve, tumultueux, celui-ci est inerte : symbolise l’ennui. séparation totale entre le fleuve et le bateau. deux groupes de 6 syllabes de chaque coté du premier alexandrin. pas de ponctuation forte, allitérations liquides : on retrouve toutes les contraintes qui ennuyent rimbaud : contraintes sociales, le travail, etc. B. La violence et la brutalité de la rupture en opposition à cette monotonie, cette situation : effet d’ellipse : v. ¾ : on parle de

débute par la conjonction de coordination « Mais » pour marquer une rupture or ici elle est suivie de l’emploi de l’adverbe d’intensité « si » pour désigner le désir omniprésent de retrouver la Terre natale. De plus, l’on apprécie l’allitération en « r » (désir, retour,…) qui est dite « grondante ». C’est le cri de détresse, il est de plus en plus laborieux de résister à l’éloignement. D’autre part, une analogie avec la première partie (à savoir le premier sonnet) est marquée par l’utilisation de la

Il remet en cause d’une certaine manière le capitalisme moderne, où le progrès est synonyme de profit. *Hugo condamne le travail abrutissant et revendique un travail épanouissant pour les hommes. →Figures de styles à commenter : allitération en M (monotonie), en R (agressivité) ; anaphore, répétition (travail à la chaine), métaphore (diabolisation du travail).

idée chère aux romantiques (« Les plus désespérés sont les chants les plus beaux », Musset) c) Les différentes figures des exilés - le cygne = double de l’albatros (cf. oxymore « ridicule et sublime ») ; souffrance au vers 36 renforcée par allitération en [r] « rongé d’un désir sans trêve » et l’exclamation (exil dans un monde hostile qui n’est pas le sien) - Andromaque = double du poète également dans la mesure où elle tente de retrouver le paysage de sa patrie perdue (exil spatial) (souffrance

dentales dures [d] et les assonances douces [u]) - Vers 12 : "Ayant dompté longtemps en son cœur son ennui" (opposition entre les allitérations de début de vers en [d] et en [t] et l'allitération en [s] de la fin) - Vers 18 : "si bien que leur courroux par leurs coups se redoublent" (le redoublement des coups est mimé par les assonances en [u] et les allitérations en [k] et [r]. C. L'union des 2 thèmes dans la prosopopée finale Les 2 lexiques se rejoignent dans une horrible union formulée dans

dentales dures [d] et les assonances douces [u]) - Vers 12 : "Ayant dompté longtemps en son cœur son ennui" (opposition entre les allitérations de début de vers en [d] et en [t] et l'allitération en [s] de la fin) - Vers 18 : "si bien que leur courroux par leurs coups se redoublent" (le redoublement des coups est mimé par les assonances en [u] et les allitérations en [k] et [r]. C. L'union des 2 thèmes dans la prosopopée finale Les 2 lexiques se rejoignent dans une horrible union formulée dans les paroles

Baudelairien qui sont l’exotisme et la sensualité Vision harmonieuse de l’univers rendue sensible par l’équilibre et le parallélisme du vers 6 : « des arbres singuliers et des fruits savoureux » (= construction syntaxique de des deux hémistiches et allitération en [s] Reflet d’une conception païenne du paradis par l’allusion à la saveur des fruits Réponse à la beauté physique des hommes des vertus morales des femmes Conciliation de notions contradictoires telles que l’oisiveté et la fécondité : « une