Allitération En R

Français/verts chez les Prussiens)… - Par l’ouie avec le champ lexical du bruit : « sifflent v.2, croulent v.4, broie v.5 » Ces verbes aux sonorités brutales montrent la violence. Les allitérations en [r] avec les mots « mitraille » v.1, « raille » v.3 imitent le bruit des machines de G tandis que les allitérations en [f] restituent le sifflement des combats. - Les « crachats rouges de la mitraille » v.1 font référence au dégoût mais aussi au mépris de Rimbaud. Il s’agit d’une métaphore : on se

vision intérieureCommence ici la vision d’un paysage1- Paysage en mouvement « dérouler » : visions successives + rivages entraine ile -> hommes etc. « rivages heureux » = personnification = hypallage : les rimes sont riches = plénitude Allitération en [l] et en [r] atténuée par [e] : apaisement par les sonoritésv.4 : subordonnée relative (de « rivages ») la chaleur et la lumière = correspondance entre réel et imaginaire. « Éblouir » => émerveillement / lumièreLe soleil=> constant « monotone »

vers l'idéal et du poids du spleen. De plus, cette oscillation est soulignée par les sonorités qui alternent entre l’espoir et le désespoir. Or, la dureté et l’agressivité sont mises en évidence par l’opposition entre les allitérations en « I » et en « s » et les allitérations en « r » et en « t » : « jeunesse » ; « brillants soleils » ; « pluie » et vermeils » ; « orage » ; « tonnerre » ; « ravage » ; « terres » ; « creuse » ; « trous » et « ronge ». Par contre, l’espoir est souligné par les modes

début par une anaphore ‘‘Parce que’’, qui prolonge sa justification, en qualifiant au vers 5 l’araignée et l’ortie comme ‘‘maudites’’ et ‘‘chétives’’, les présentant comme des êtres dangereux et maléfiques. Ce procédé est renforcé par une allitération en ‘‘r’’ au vers 6, ‘‘noirs êtres rampants’’, qui nous laisse ressentir un sentiment de dégoût. Malgré tout, le poète choisit de défendre ces laides créatures, et s’oppose à l’opinion commune et au dégoût de l’esthétique classique?. Ensuite, dans

(gradation : vol → torture → meurte) Ne vit qu'aux, l'homme est cruel mais c'est un peu comme une loi de nature. Vision pessimiste de l'humanité. L'homme est un loup pour l'homme, un assassin. L'image du poète → peintre → image bafouée, ternie. Allitération en r, montre la dureté de l'homme. 3eme Quatrain : Moins d'élément descriptifs + d'élément symbolique : sang, baume, tenir droit, soldat blessé. Comparaison au soldat, attitude digne, stoïcisme → Durcir face à la douleur, doctrine grecque :

antagoniques dans le premier tercet  le feu sort de l’amour, sa mère sort de l’eau/ Mais l’eau contre ce feu ne peut fournir des armes.  on ressent aussi un vertige sonores lié à la construction du poème : -d’abord par les sonorités : allitérations en [m] [l] [r] et [s] et assonance en [ou] et en [è] et rime riche amoureux/douloureux -puis par les jeux de mots : homonymes la mer/ l’amer et les paranomases l’amour/l’amer - jeu sens propre/sens figuré ex : amertume (goût/ douleur d’aimer) Naufrage

progression. Permet de rendre son discours très construit. 2°) Un raisonnement déductif fondé sur l’anagramme Marie est l’anagramme d’aimer= premier argumente de Ronsard. Répétition de AIMER, ce qui souligne cet argument. Assonances [é] + allitérations [m]= répétitions phoniques qui souligne aussi cet argument. Ronsard propose un raisonnement déductif, id qu’il part d’une idée générale et appliquée sur un cas particulier: v2 « Aimez moi donq Marie » Postulat de départ : toutes les femmes dont

écoutez-moi». Le fait qu’elle est pris du poison lui donne du courage pour affronter son mari, elle lui dit la vérité d’un ton calme ce qui montre qu’elle a accepter ses sentiments.Le fait qu’elle soit mourante, a l’agonie est montrer pas les allitération en «s», «r» et «f» lors de son aveu : «c’est moi qui sur ce fils chaste et respectueux osai jeter un œil profane, incestueux […] Et la mort, à mes yeux dérobant la clarté». Après son aveu elle lui fait part du fait qu’elle s’en veut et que donc elle

conscience de notre statut de mortel…Plus rien ne vient l’en divertir Quand : introduit CCT ( à val causale) ici circonstances liées à éléments du paysage (« ciel bas » «  un jour noir ... »chp lex oppression : bas, lourd, pèse +comparaison enjambement allitération en k et p , sonorités pesantes des semi-voyelles ( an/ on/ un…)« gémissant » connote souffrance , sens de l’ouïe Esprit en position de complément : passivité« en proie aux longs ennuis » : pluriel renforcée par « horizon »« Tout le Cercle » vision

 :la poésie joue sur la sonorité des mots, leur musique par l’intermédiaire des assonances, allitérations, de l’harmonie imitative. « de la musique avant toute chose »disait Verlaine dans son Art poétique(I884)Verlaine assimile d’emblée la poésie à la musique v.1.Et la musique n’est pas pour lui dans la rime, pur jeu formel .A la rime,Verlaine préfère les assonances ou les allitérations qui répartissent la musique dans tout le vers. La musique,en effet, a pour but de suggérer d’où les termes