Allusions Mythologiques Dans Phedre

ils avaient un discours sur la nature (phusis-logos). Ils analysaient le cosmos sans couper l'homme, l'âme, la pensée du reste du système du monde. Avec Platon et Socrate, l'homme grec commence à se connaître lui-même en se coupant du monde. Dans le Phèdre de Platon, on voit Socrate revendiquer la formule « connais-toi toi même » en un sens qui signifie désormais qu'il ne cherchera pas à connaître la nature mais lui-même. Or, cette formule se trouve au départ au fronton du temple de Delphe, construit

aveugle de l'expiation s'est emparé de certains hommes, et les fouette à tour de bras pour l'édification des autres". C.B. citent d'autres passages comparables de Baudelaire sur la Providence. 131. Cf. l'Annonciation, et surtout l'Ave Maria. Sur ces allusions inversées à la Vierge, voir le commentaire de Ch. Mauron, "Extrait de premières recherches sur la structure inconsciente des Fleurs du Mal", Annales de la Faculté des Lettres et Sciences humaines de Nice, 1968, n° 4-5, p. 135, à compléter par, du

l’intégralité du vers 6 : «Celle qui mit le monde sous ses lois», qui est renforcée par un jeu d’allitérations et d’assonances), ainsi qu'une impression de maîtrise morale (puisque «pour dompter» le monde, il lui fallut d'abord se «dompter» elle-même (allusion voilée au passage qui fut effectué de l'anarchie de la république à la rigueur de l'empire). Est encore répétée dans le premier tercet la constatation de la déchéance qui est exprimée de façon quelque peu énigmatique ; en effet, si «Rome de Rome

d’étudiant Ronsard connaît Cassandre Salviati qui l’inspire pour composer les Amours de Cassandre, recueil de sonnets où triomphent la subtilité et les gentillesses précieuses du pétrarquisme. Ces sonnets sont des jeux d’esprit et comparaisons mythologiques, mais il s’agit aussi d’émotions sincères très humaines et émouvantes. La forme de ces sonnets révèle un art scrupuleux : certains sont des merveilles d’harmonie délicate, de comparaison et de mouvement. Ne concevant pas la poésie sans la musique

des morts et de la momification. Ce mythe préfigure certains motifs tragiques4, comme la lutte fratricide par ambition, qui rappelle les Labdacides Étéocle et Polynice, mais aussi la dispersion du corps, qui fera le succès du dénouement de la Phèdre de Sénèque5. Si, selon Plutarque, Cléopâtre se présente parfois « comme une nouvelle Isis6 », 1 BOCCACE, Des Dames de renom, nouvellement traduict d’italien en langage françoys, trad. Luc Antonio Ridolfi, Lyon, G. Roville, 1551, p. 38. 2Voir

(« . . . .objets . . . . . . . .(« . . .carreaux . . . . . . . . . . . », . .« . . assiettes . . . . . . . . . . . », . . .«. beurrier . . . . . . . . . . .»). . . .Il. .y. .a. .aussi ........ les . . . .nombreuses . . . . . . . . . . . . . . . allusions . . . . . . . . . . . .à. . l’alimentation . . . . . . . . . . . . . . . . . . (« . . .le . . vin, . . . . . l’huile, . . . . . . . . .le ... de . . . . . . . », ..« . . marmelade . . . . . . . . . . . . . . . », ..« . . miel . . . . . . », ..«

dans tous les domaines : la religion (futilités/sujets sérieux  ; saints légendaires/apôtres du Christ), le goût (poisson avarié/ ambroisie), l’amour (femme laide/Vénus), l’art (œuvre médiocre/chef d’œuvre), les richesses (pierres fausses/trésor), allusion au mythe de la caverne et au songe de Mycille rapporté par Lucien. Se trouvent ainsi dénoncés de manière simultanée et contradictoire l’incapacité des hommes à être lucides et heureux tout comme leur aveuglement dans la distinction du vrai bien.

dans le bourbier des vices » ou qu’il « était un enragé amateur de femmes »), elle participe pour beaucoup d’une légende que les chroniqueurs se complaisent à rapporter. Onze chansons de Guillaume IX ont été conservées. Certaines possèdent des allusions libertines assez crues, mais l’auteur dévoile également une délicatesse et une tension lyrique qui en font un fondateur de la fin’amor. Le service de l’amour, la fidélité à la passion provoquée par sa dame (la vicomtesse de Châtellerault), la

l’arrivée d’Hélios. Aphrodite, furieuse d’avoir trouvé Arès dans son lit, la condamna à des amours avec des mortels qu’elle séduisait, timide et rougissante, bien que mariée à Astraeos. Elle séduisit entre autres Orion. L’histoire à laquelle fait allusion Homère évoque deux de ses amoureux : Ganymède et 200 Séquence 4-FR01 © Cned – Académie en ligne Tithonos. Zeus enleva Ganymède qui devint l’échanson des dieux. Éôs lui demanda la même chose pour Tithonos ; mais Zeus avait oublié de réclamer

l’arrivée d’Hélios. Aphrodite, furieuse d’avoir trouvé Arès dans son lit, la condamna à des amours avec des mortels qu’elle séduisait, timide et rougissante, bien que mariée à Astraeos. Elle séduisit entre autres Orion. L’histoire à laquelle fait allusion Homère évoque deux de ses amoureux : Ganymède et 16 Séquence 2-FR01 © Cned – Académie en ligne Tithonos. Zeus enleva Ganymède qui devint l’échanson des dieux. Éôs lui demanda la même chose pour Tithonos ; mais Zeus avait oublié de réclamer