Alternance vocalique

assonance: répétition d'un sons vocalique allitération: sons consonantique enjambement: v9-10 et 11-12 rythme a 3temps dans les vers 9 et 11, ternaire situation d'énonciation: l'énoncé est coupé de la situation d'énonciation, il n'y a pas de marque du locuteur , ni du destinataire, ni du moment on à juste une précision sur l'endroit «dessus le mur troyens» Utilisation du présent de l'indicatif: action qui a lieu au moment de l'énonciation: présent de narration alternance avec le passé simple et

dans image et hommage / patin et matin...   1.3. Le genre des rimes et leur alternance On appelle rime féminine celle qui se termine par un -e- (joue, loue), même si après le -e- figure dans une marque du pluriel : s, nt (tues, ignorent). On appelle rime masculine toutes les autres rimes (doux, vous). La versification classique impose la règle de l'alternance des rimes féminines et masculines. Les poètes modernes préfèrent faire alterner les rimes vocaliques (joue, nous) et les rimes consonantiques (goutte, route)

distinguer de l’accentuation tonique et qui semble a priori pouvoir porter sur n’importe qu’elle syllabe d’un mot, s’explique cependant encore une fois par la phonologie du néerlandais. Plus qu’une accentuation, il s’agit en fait d’un prolongement vocalique dans les syllabes ouvertes, typique du néerlandais et transféré par les néerlandophones au français, et qui s’accompagne d’une intonation nettement montante sur la syllabe accentuée. La différence d’accentuation entre le français dit « standard »

consécutifs (aa, bb, cc, ...) on parle de rimes plates ou suivies ; si on constate une alternance (abab; cdcd ...) on parle de rimes croisées ; si enfin on observe l'organisation : abba; cddc ... on parle de rimes embrassées. rime brisée : lorsqu'on observe un écho phonétique à la fin du premier hémistiche dans plusieurs vers successifs, on parle de rime brisée. assonances : le retour insistant d'un même son vocalique (voyelle) à l'intérieur du vers constitue une assonance. allitérations : le retour

ou mêmes sons consonantiques. Ex : Ils cueillent les colchiques qui sont comme les mères. (Apollinaire) Répétition du son [k] L’assonance = répétition de mêmes voyelles ou sons vocaliques. Ex : Le pré est vénéneux mais joli en automne. (Apollinaire) Alternance [é/è] Le pléonasme : surabondance de termes donnant plus de force à l'expression. Ex : Je l'ai vu de mes yeux. La paronomase = rapprochement phonique entre deux

ensemble organisés autour d’une seule voyelle. Il existe les syllabes ouvertes terminées par une voyelle, et les syllabes fermées, terminés par une consonne. Rappel historique : la versification était fondée sur une opposition entre les quantités vocaliques. La base de cette prosodie, le pied, est un groupement de syllabe : l’iambe (U —), le spondée (— —), letrochée (— U), le dactyle (— UU) et l’anapeste (UU —). 2. L’e caduc En finale absolue, il n’est jamais compté. C’est ce qu’on appelle l’apocope de

rythme de la rapidité de la vie. De même, les termes : « fleuries et flétries » soulignent la rapidité du passage de l’épanouissement à la mort et insiste sur l’imminence de l’avenir. d) Sonorité et rythme -Le premier quatrain repose sur une alternance vocalique en [u] / [ou] qui introduit une douceur mélodieuse en contraste avec les sonorités plus aigues des [i]. Allitération en [v] et un passage très doux à l’oreille du [ch] au [f]. -Le rythme du v.9 traduit l’émotion du poète : 4+4+2. Le vers 10

libération du Spleen et de la condition humaine -V.17 Le tiret qui marque chez Baudelaire un changement radical de thème : celui de la mort et de l’enterrement : la mort apporte le repos et le calme : « sans tambours ni musique » et le sonorités vocaliques sourdes. -V.18 L’Esprit, après le corps, est gangrené et est gagné par la corruption. L’Espoir en contre-rejet, pour montrer à quel point le poète est désespéré. -V.19 : Rythme très travaillé pour rendre l’impression d’un cortège funèbre. La mort

L’in/fle/xi/on/ des/ voies/ chè/res/ qui/ se/ sont/ tues./ » LA SYNÉRÈSESe dit lorsque 2 syllabes se comptent pour une seule.« Nous sem/blion/s entre les maisons. » LA RIMELa rime est la répétition d’un même son vocalique à la fin de 2 vers.LA DISPOSITION DES RIMESElle est déterminée par leur alternance. On distingue :- les rimes plates : AABB« Le soleil prolongeait sur la cime des tentesCes obliques rayons, ces flammes éclatantes,Ces larges traces d’or qu’il laisse dans les airs,Lorsqu’en un lit de sable

mouvement de l’encensoir, le parfum qui se répand.), souligné par l’allitération en –V 2/ le thème des correspondances entre parfums et sons (tournent, valse, vertige) et la régularité des vers 3 et 4 (4/4/4) et (2/4/4/2). Répétition des sonorités vocaliques. Dans le deuxième quatrain, on observe la même combinaison des deux thèmes religion et émotion. Le poème prend la forme d’une incantation par le fait des jeux d’échos des répétitions du pantoum. La tristesse du poète s’y précise (afflige, violon