Amphitryon De Molière

crapaude » • Georges Feydeau, On purge bébé (1910) : « Les Hébrides ? » • Agnès Jaoui, Le goût des autres (2000) : « Qu’est-ce que c’est que ce truc ? » Trois lectures en rapport avec le trio infernal au théâtre et l’enfer de la jalousie : • Molière, L’Ecole des femmes (1662), Acte V, scène 1 • Racine, Andromaque (1667), Acte IV, sc. 5 : • Une œuvre complète : Sartre, Huis clos (1944) Études d'ensemble : seul, à deux, à trois : des combinaisons qui modifient nos comportements / caractérisation

situations complexes au théâtre, lorsque le temps est plus compté que dans l’épopée. Certains auteurs peuvent donner l’impression qu’ils abusent de cette facilité : la scène de double reconnaissance qui clôt Les Fourberies de Scapin de Molière, par exemple, n’a rien del’aboutissement d’un processus dramatique : elle semble seulement permettre un dénouement heureux, et rien ne l’a préparée. Térence (Publius Terentius Afer, environ 190 – 159) est un dramaturge romain du cercle des

Rouquins/Michu de Jean-Claude Grumberg (1998/99) ; Don Juan de Molière, en langue allemande (1997/98) ; C'était juste une petite boîte fermée de Daniel Besnehard. (1997/98) ; Théâtre du mépris III de Didier-Georges Gabily en langue allemande et française (1996/97) ; La Vie est un songe de Calderon de La Barca, en langue allemande. (1995/96) ; Le Rêve d'un homme ridicule de Fédor Dostoïevski (1995/96) ; Le Malade imaginaire de Molière, en langue allemande (1994/95) ; Roberto Zucco de Bernard-Marie

Lazard (Madeleine) 1980 Le Théâtre en France au xvi∫ siècle Puf, coll. «Littératures modernes» 31 McGowan (Margaret M.) 1978 L’Art du ballet de cour en France Cnrs éditions Mongrédien (Georges) 1986 La Vie quotidienne des comédiens au temps de Molière Hachette Petit de Julleville (Louis) 1968 Histoire du théâtre en France au Moyen Âge 5 vol. Champion-Slatkine Rougemont (Martine de) 1988 La Vie théâtrale en France au xviii∫ siècle Champion-Slatkine Scherer (Jacques) 1950 La Dramaturgie

ce cas, était essentiellement marquée par une rupture intonative et une syllabe 6 plus allongée1, mais pas obligatoirement par un arrêt ; • un autre style, plus « naturel », utilisé d’abord dans le théâtre comique et petit à petit, surtout après Molière, dans la déclamation tragique : la diction y était plus souple, moins monotone, tenait davantage compte du sens. 1 Nous retrouvons là le rôle de marqueur de « coupe » explicitement attribué à l’allongement d’une syllabe tonique ; selon Lote

détendues et agréables, et présenter l´opportunité de saluer des personnes que nous ne pouvons pas voir normalement. Et c´est pour cette raison qu´il est important que tout se passe bien, que les invités profitent bien de la réunion et que les amphitryons la vivent comme une opportunité de démontrer leur affection, et non comme un « tourment ». Lors des réunions familiales, le protocole est beaucoup plus détendu que lors d´autres types d´actes. Le plus important est que la famille s´amuse et que

détendues et agréables, et présenter l´opportunité de saluer des personnes que nous ne pouvons pas voir normalement. Et c´est pour cette raison qu´il est important que tout se passe bien, que les invités profitent bien de la réunion et que les amphitryons la vivent comme une opportunité de démontrer leur affection, et non comme un « tourment ». Lors des réunions familiales, le protocole est beaucoup plus détendu que lors d´autres types d´actes. Le plus important est que la famille s´amuse et que

les pièces avant de s’endormir. Plus tard, lorsqu’il vit les vrais dénouements, il fut souvent fort déçu. Très tôt pris de passion pour le théâtre, de douze à seize ans, il écrivit de «fausses pièces» et découvrit les grands auteurs classiques : Molière, Marivaux et Musset, «mille fois relus». La famile étant venue s’établir à Paris, il entra à l’école primaire Colbert puis au Collège Chaptal (où il eut comme condisciple Jean-Louis Barrault, et lut Claudel, Pirandello et Shaw). Traînant des heures

les pièces avant de s’endormir. Plus tard, lorsqu’il vit les vrais dénouements, il fut souvent fort déçu. Très tôt pris de passion pour le théâtre, de douze à seize ans, il écrivit de «fausses pièces» et découvrit les grands auteurs classiques : Molière, Marivaux et Musset, «mille fois relus». La famile étant venue s’établir à Paris, il entra à l’école primaire Colbert puis au Collège Chaptal (où il eut comme condisciple Jean-Louis Barrault, et lut Claudel, Pirandello et Shaw). Traînant des heures

Textes Chapitre 1 La comédie et la tragédie classiques Séquence 1 La comédie classique et ses précurseurs Le poète d’Hadrumetum (mosaïque) Molière, L’École des femmes D’UN TEXTE À L’AUTRE 1 Aristophane, Lysistrata ÉTUDE D’ŒUVRE INTÉGRALE Molière, L’École des femmes TEXTE 2 Molière, Le Misanthrope D’UN TEXTE À L’AUTRE 2 Ménandre, Le Bourru TEXTE 3 Molière, L’Avare D’UN TEXTE À L’AUTRE 3 Plaute, L’Aululaire ANALYSE D’IMAGE TEXTE 1 HISTOIRE DES ARTS Deux mises en scène de L’École des femmes