Analyse Critique De La Doctrine Positiviste

* L'autonomie de la volonté : support de cours en 5 leçons, par J.-L. PRAUD * Leçon 1 : Définition et origine de l'autonomie de la volonté, le 4 sept. 2008  * Leçon 2 : La crise de l'autonomie de la volonté dans la doctrine civiliste (le 8 sept. 2008) * Leçon 3 : L'autonomie de la volonté : un principe inappliqué (le 8 sept. 2008) * Leçon 4 : L'autonomie de la volonté : un principe inapplicable (le 8 sept. 2008) * Leçon

personnages commandant une nouvelle perspective; les espaces se déterritorialisent, les frontières deviennent poreuses et réversibles, les séparations se brouillent, les distances se contractent ou s'allongent à volonté. En sciences sociales aussi les analyses se multiplient, qui invitent à un changement de regard. Celles de M.Foucault, par exemple, qui entend s'affranchir : c'est que, explique-t-il, le pouvoir est partout, ce n'est pas qu'il englobe tout, c'est qu'il vient 8 de partout; il ne faut

de équitablement de Nietzsche comme penseur et ne pas se contenter de l'admirer superficiellement comme un écrivain de talent et un moraliste pénétrant, auteur de brillantes « pensées détachées » ou d'ingénieux aphorismes. Mais avant d'étudier la doctrine sens, de se livrer à ce mon travail l'on veut juger II. LlCIlTENBEHGER. — NicIZSClie. | •2 LA l'IliLOSOPHlE DE MlETZSCilii il de Nietzsche, est, importe de bien se pénétrer de l'idée qu'elle de l'aveu

laquelle elles sont et secondairement de l'objet qu'elles régissent. La définition des questions à étudier est liée à certaines options du point de vue de la théorie du droit. - on peut distinguer plusieurs positions essentielles: - approche positiviste. La loi s'applique et l'interprétation n'est qu'une nécessité que si le texte à appliquer n'est pas clair. - en réalité, l'interprétation est toujours présente, il n'y a pas d'application sans inter- prétation ( acte singulier qui donne du sens

Toute théorie suppose une praxis à laquelle elle s’applique. Or la théorie de la littérature n’apprend pas à écrire de la littérature : elle apprend à produire de la critique ou de l’histoire littéraire. La théorie de la littérature est une déontologie de la recherche littéraire elle-même. La théorie, c’est la critique de la critique. Platon et Aristote faisaient de la théorie de la littérature lq qu’ils s’intéressaient à la littérature en général, d’un pt de vue visant l’universel. Mais ils ne faisaient

France au XIXe siècle est déterminée par un certain nombre d’héritages, le plus proche étant évidemment celui de la Révolution Française : dans la première moitié du siècle en particulier, aucun penseur, aucun polémiste ne peut faire l’économie d’une analyse de cet événement fondateur. Mais d’autres héritages pèsent également comme celui des Lumières, avec leur fond d’anticléricalisme qui les différencie par exemple des Lumières britanniques ou allemandes, ou encore, la vieille tradition française de

certain nombre de theories juridiques dans les quelles des auteurs se sont efforces de donner une definition du droit : alors une premiere theorie, celle du positivisme juridique dans ce cas on va rencontrer dans cette theorie 2 grands courants de doctrines, dauteurs, le 1er courant est celui du formalisme dont le principal auteur ici est lautrichien KELSEN selon cet auteur qui a ecrit « la theorie pure du droit » le juriste doit avoir une vision totalment neutre du droit, finalement en grossissant

de lui? Deux courants s'opposent: les idéalistes et les positivistes. Idéalistes considèrent que le Droit procède d'un principe supérieur de justice dont il doit être le reflet, cf. notion d'Idée chez Platon qui est un principe supérieur dont toute chose dans le monde matériel sont le reflet; ainsi, vocation essentielle du Droit serait de maintenir l'ordre qui existe hors des hommes et des sociétés par la Justice. Pour positivistes, le Droit n'est pas le fruit d'une matrice suprême, n'est

qui ont soutenu la matière: – la doctrine retributive – la doctrine utilitariste – la doctrine positiviste – le doctrine de la défense sociale nouvelle. I) la doctrine rétributive. A l' origine la sanction pénale doit garantir l' alternative à la vengeance privée il faut que cette sanction pénale soit importante pour que la victime ne ressente pas l' envie, le besoin de se faire justice elle même. D' où la naissance de la doctrine rétributive qui a été soutenue par

Histoire de la pensée politique Jean-Marc Ferry Syllabus de complément Table des matières I.- La confrontation de l’Ancien et du Moderne à l’origine des doctrines politiques contemporaines 3 Liminaire 3 A. Les quatre critères essentiels de l’opposition de l’Ancien et du Moderne 4 B. Deux exemples de combinaison spécifique entre éléments classiques et éléments modernes : la Révolution française et la révolution américaine 9 II.- Souveraineté et représentation : Jean