Analyse De Antigone De Sophocle

contemporain du lecteur, sur l’invraisemblance et l’excès du propos gagne ses lettres de noblesse puisqu’il est considéré comme une analyse du totalitarisme et en aucun cas comme un simple défoulement de l’imagination de son auteur, et parvient en 1949 à égaler la crédibilité d’un ouvrage d’Hannah Arendt (les origines du totalitarisme) qui elle dans son propos non fictionnel (une analyse politico historique du totalitarisme) évidemment s’adresse directement à ses contemporains en se référant à du réel contemporain

Lorsqu’elle comparaît devant Créon, son oncle devenu le nouveau maître de Thèbes, Antigone ne songe nullement à nier les faits qui lui sont reprochés. Elle reconnaît même être hors-la-loi au regard des règles établies dans la Cité. Mais elle nie, en revanche, être moralement coupable et revendique hautement la légitimité de son geste, se plaçant du même coup au-dessus de la loi des hommes. Créon, de son côté, en jugeant Antigone coupable et en la condamnant à mort, identifie implicitement ses propres

accélère le rythme du dialogue, intensifie la tension dramatique comme dans un duel verbal. (p.54) Une tirade est le long discours d’un personnage adressé à un autre sur scène. (p.54) Un monologue permet l’introspection d’un personnage qui analyse ses sentiments ou qui délibère avec lui-même pour trancher un dilemme. (p.54) Un aparté est une réplique qu’un personnage dit « à part » comme s’il se parlait à lui-même. (p.54) Au dernier acte de l’Andromaque de Racine, le roi grec Pyrrhus

désobéissent pas à ses lois qui sont de l'ordre de la nécessité. les lois en fonction desquelles les hommes peuvent régler leurs comportements privés (loi morale) ou réguler l'espace de leurs relations au sein de la société (lois juridiques). II - ANALYSE DU PROBLEME Si dans toutes ses acceptions, la notion de "loi" recouvre un principe ayant un degré d'abstraction et de généralité par rapport aux faits dont il constitue (ou devrait constituer) la loi, une distinction essentielle doit être faite

d’observer en premier lieu la relative égalité des hommes face au Droit Positif. Cela nous mènera également à étudier le caractère relatif de ce Droit Positif, promulguant parfois des injustices et des inégalités. Cette démarche nous conduira enfin à analyser la notion de « Justice Universelle », et la notion de morale qui accompagne celle-ci. La justice est avant tout caractérisée par le ‘‘droit positif ’’, caractéristique à chaque société, et relative à l’époque considérée. Lors de tous les problèmes

– des connaissances historiques, géographiques, littéraires, scientifiques ou artistiques. – la présentation d’une expérience ou d’une activité personnelle (une rencontre avec une œuvre, un projet scientifique, une création artistique…) – une analyse de cette expérience. Une fois ces données collectées, coordonnées entre elles, vérifiées et discutées, ou mieux, au fur et à mesure de leur collecte, je me demande sous quelle forme je peux communiquer ces informations à mon auditoire de façon

» et « forme » ; mais la figure mythique peut-elle se confondre entièrement avec celle de personnage (voir la bibliographie) ? Et quels exemples ? Leur choix est difficile, en effet, en particulier si l’on veut éviter de remettre encore une fois Antigone à l’affiche, ou de se reporter à des œuvres du XX° siècle en langue étrangère en ne se contentant pas d’une traduction. Soit Ulysse : à part Giraudoux, le plus abordable, on écartera Jean Giono, Naissance de l’Odyssée, (1938) qui ne répond pas à

Médée que . Il est légitime de se demander si un mythe antique peut nous renvoyer à nous même ainsi que si sa réécriture ce que peut nous apprendre. Nous allons vérifiez quels sont les points communs entre les mythes et l’être humain pour ensuite analyser les trames des mythes et les mettre en corrélation avec la vie d’un individu. En premier lieu, dans les mythes il est souvent affaire de fatalité divine, en effet les personnages ont généralement un destin à accomplir qu’il le sache ou non et

sont que des faits qui se produisent) et son relativisme (Droit idéal, religieux, variable selon la religion). Le positivisme juridique ne s’attache qu’aux faits juridiques : lois votées dans un Etat par l’autorité compétente). Cf Antigone, Sophocle : Antigone est idéaliste (Elle affirme que son frère a droit à une sépulture décente, droit qui vient des dieux d’après elle) ; Créon est positiviste (Il a interdit que Polynice ait une sépulture, parce que c’est un traître : il subordonne la loi

monstrueux. L'idéal Grec c'est la mesure, leur poésie est métrique ainsi que leur architecture. L'homme reste à sa place, chaque chose reste à sa place. Esiode explique que Dikê est la fille de Thémis. B) L'apport de la tragédie: Eschyle et Sophocle. La tragédie, en vers, est une pièce de théâtre où le destin joue un grand rôle. On trouve dans la tragédie la lutte contre les puissances de la nuit et les puissances du jour. Il s'agit au fond de domestiquer les puissances obscures qui sont dans