Analyse Pestel Assurance Luxembourg

..........26 11. L’analyse externe.......................................................................................................................................................................26 111. L’analyse du macro-environnement avec PESTEL ............................................................................................................26 Grille PEST application à la banque : .................................................................................................

caractéristiques, en particulier technologiques, de son environnement. Compétences attendues — Identifier les étapes de la démarche stratégique d’une entreprise donnée. — Analyser les déterminants de cette démarche. — Repérer les domaines d’activité stratégique (DAS) et les critères de la segmentation stratégique. Mots clés Analyse stratégique – Avantage concurrentiel – Démarche stratégique – Diagnostic stratégique – Domaine d’activité stratégique (DAS) – Facteur clé de succès (FCS) – Modèle LCAG –

Internationale I. Analyse externe…………………………………………………....................................................................25 I.1. I.2. I.3. I.4. Analyse du pays…………………………………………..........................................................25 Analyse du secteur de la lessive………….…………………………………………………….…..37 Analyse concurrentielle et sectorielle : rivalité élargie de Porter………….………….41 Analyse PESTEL………………..………………………........................................................45 II. Analyse interne………………….

DÉFINITIONS………………………………………………… 1.1. Le sport de haut niveau…………………………………………………………… 15 1.2. Le sport professionnel……………………………………………………………. 19 23 CHAPITRE 2 : LA CARRIÈRE SPORTIVE…………………………………. 28 Synthèse……………………………………………………………………………………. Partie 2 : Description et analyse des logiques 29 CHAPITRE 1 : LA LOGIQUE ÉTATIQUE………………………….……. 31 1.1. Missions……………………………………………………………..………………32 32 1.2. Statuts des sportifs…………………………………………………………………...35 35 1.3. Gouvernance……………………………………………………..………………….36 36 1.4. Politique……………………………………………………………………………

. 318 Fiche 76 : Les choix d’investissements . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 323 Fiche 77 : Le bilan et le compte de résultat . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 329 Fiche 78 : Le bilan fonctionnel et son analyse . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 333 Fiche 79 : Les SIG et la CAF . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 337 Fiche 80 : Les ratios de structure et de gestion . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .

simples et composés . . . . . . . . . . . . . . Les emprunts indivis . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . Les choix d’investissements . . . . . . . . . . . . . . . Le bilan et le compte de résultat . . . . . . . . . . . . Le bilan fonctionnel et son analyse . . . . . . . . . . Les SIG et la CAF . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . Les ratios de structure et de gestion . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .

simples et composés . . . . . . . . . . . . . . Les emprunts indivis . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . Les choix d’investissements . . . . . . . . . . . . . . . Le bilan et le compte de résultat . . . . . . . . . . . . Le bilan fonctionnel et son analyse . . . . . . . . . . Les SIG et la CAF . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . Les ratios de structure et de gestion . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .

composés . . . . . . . . . . . . . . Les emprunts indivis . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . Les choix d’investissements . . . . . . . . . . . . . . . Le bilan et le compte de résultat . . . . . . . . . . . . Le bilan fonctionnel et son analyse . . . . . . . . . . Les SIG et la CAF . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . Les ratios de structure et de gestion . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .

composés . . . . . . . . . . . . . . Les emprunts indivis . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . Les choix d’investissements . . . . . . . . . . . . . . . Le bilan et le compte de résultat . . . . . . . . . . . . Le bilan fonctionnel et son analyse . . . . . . . . . . Les SIG et la CAF . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . Les ratios de structure et de gestion . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .

considèrent que même si ces produits produisent de l’huile, il s’agit d’huiles “ sous-produits de l’élevage ” à la différence des huiles obtenues directement qui sont à ranger dans la catégorie des oléagineux (huile de palme, de coprah...)[2]. Cette analyse est notamment celle de William V. Packard dans son ouvrage Sea trading for cargoes (volume 2)[3] lorsqu’il dit : “ as a seaborne commodity, grains can be said to comprise wheat, corn, rye, barley, oats, rice, sorghums, soyabeans, pulses, oilseeds