Analyse Phèdre De Platon

inversant le sens du regard, de l’extérieur vers l’intérieur. C’est ce regard de l’extérieur vers l’intérieur que Baudelaire nous invite à considérer dans ce poème en prose : « les fenêtres ». Le poème analyse le regard mais aussi l’état d’esprit de celui qui contemple de l’extérieur et cette analyse devient elle-même une sorte de fenêtre par laquelle celui qui s’énonce « je » aperçoit sa propre réalité intérieure. Le commentaire du poème suivra d’abord ce mouvement de l’extérieur vers l’intérieur

conceptualisation d’une littérature écrite occidentale – Platon et Aristote. Platon dans son livre 3 de « République » fait une réflexion sur les genres littéraires ; il a proposé censurer la littérature : supprimer les § sur la thème concernant les dieux. Il distingue : *1) la Diégèsis simple ; ex. le dithyrambe (le dithyrambe : le récit, le discours) *2) la Mimésis – imitation (la tragédie) *3) le mode Mixte (l’épopée : mélange récit et dial.) Platon ne reste pas aucun place pour la poésie lyrique

Commençons par remarquer qu’il n’y a pas un désir, Le Désir, mais des désirs extrêmement diversifiés et changeants : l’on peut en effet aimer et ne plus aimer, et même haïr à ce que, naguère, l’on adorait. Les désirs sont multiples, instables, et Platon, dans La République, les compare à une « bête multiforme et polycéphale [à plusieurs têtes] ». ! 2 Le bonheur comme contentement des désirs raisonnables et contentement raisonnable des désirs ! Cette diversité et cette instabilité des désirs rendent

 PLATON Sa vie et ses œuvres 1. Résumé biographique Aristoclès, surnommé Platon (de platos = largeur) à cause de ses larges épaules, est né à Athènes l’an 427 avant le Christ. Issu d’une famille noble, apparentée à des autorités de la cité, il vit logiquement l’exercice de la politique comme l’idéal de sa vie : sa naissance, ses aptitudes personnelles et l’éducation reçue l’orientaient dans cette direction. Cependant, une longue fréquentation de Socrate et, surtout, l’injuste condamnation à

n'ont-elles pas, au-delà de lui leur véritable origine ?" On retrouvera cette idée dans la tragédie racinienne. Cf. Phèdre : "C'est Vénus toute entière à sa proie attachée" Cependant, attribuer l'origine de nos passions aux dieux suppose que les dieux existent. C'est une affaire de foi et d'une foi bien particulière puisque c'est celle en des dieux qui ne laissent aucune liberté. Déjà Platon critiquait cette conception. Nous ne sommes pas les jouets des dieux. Nous avons le choix entre la passion et la

Phèdre de Jean Racine mise en scène Patrice Chéreau du 15 janvier au 20 avril 2003 Odéon-Théâtre de ['Europe aux Ateliers Berthier Odéon-Théâtre de l'Europe aux Ateliers Berthier Groupe scolaires et universitaire, associations d'étudiants tél 01 44 85 40 33 ou 39 scolaires@theatre-odeon.fr dossier également disponible sur http://www.theatre-odeon.fr > Location 01 44 85 40 40 > Prix des places (série unique 13€ : tarif réduit - 26C : plein tarif > Horaires du mardi au samedi à 20h, dimanche à

document Conclusion et ouverture : Extrait étudié : le prologue B- L'''UVRE DANS UN GENRE : UNE TRAGEDIE SHAKESPEARIENNE S.2 Structure et mécanique tragique Questionnaire : I,1 '" structure '" conflits I,1 III,1 V,3 '" espace et temps: analyse I- Structure 1) Une exposition miroir de la pièce Extrait étudié : I,1 2) Structure et oppositions 3) Une puissante unité tragique II- Le conflit et l'enchainement tragique 1) Premiers conflits

c'est de remonter jusqu'à Platon (gardons à l'esprit que souvent, on plaque sur les grecs nos catégories de pensées héritées de la modernité). On sait par Descartes lui-même son opposition à Aristote et à l'École. La tentation est alors forte de rapporter Descartes au platonisme, qui institue un grand courant de pensée de type idéaliste (Platon, Descartes, Kant, Hegel). Question : Platon a-t-il accompli à l'époque grecque le même geste dualiste que Descartes, est-ce que Platon déchire lui aussi le tissu

Platon défend la thèse, dans la République, selon laquelle les "meilleurs" doivent gouverner, c'est parce qu'il conçoit la politique comme une sorte de rédemption, d'éducation. Celui qui gouverne doit éduquer le peuple, ignorant, au bien, et cela, parce que seul, il a la connaissance du bien. La tâche première du politique n'a donc rien à voir avec la gestion des affaires communes. Il s'occupera avant tout de rendre les hommes meilleurs, il cherchera à convertir la cité humaine aux valeurs transcendantes

Le GorgiasCompléter la lecture par se familiariser avec → La République , Platon → Phèdre , Platon → Phédon , Platon Introduction :Platon : -427 ; -348 → Il insiste sur l’opposition de Socrate contre les sophistes → Il a séparé la rhétorique et la philosophieXénophon → Il compte Socrate comme un sophisteAristophane → Il se moque de Socrate et le ridiculiseSocrate