Anaphore

20-Nous allons tous porter cette plaie au côté, pendant des siècles. (Métaphore) 21-Oublie-la, Hémon ; oublie-la, mon petit. (Anaphore) 22-Tout Thèbes sait ce qu’elle a fait. (Métonymie) 23-Antigone ne peut plus vivre. Antigone nous a déjà quittés tous. (Euphémisme) 24-Crois-tu que je pourrai vivre, moi, sans elle ? Crois-tu que je l’accepterai, votre vie ? (anaphore) 25-et votre agitation, votre bavardage, votre vide, sans elle.

l’âme - temps verbal : présent de l’indicatif : répétition, présent d’énonciation (les faits se déroulent au moment où ils sont évoqués) - structure : 1) 1re phrase= phrase complexe : - 3 propositions subordonnées temporelles (quatrains 1 à 3) avec anaphore de « Quand » et reprise de « et que » - + proposition principale (quatrain 4) 2) 2e phrase = phrase complexe, 2 proposition indépendantes juxtaposées (séparées par « ; ») (quatrain 5) Problématique : Paradoxe : spleen, sentiment confus et chaotique

Enfants, Boris Vian affirme sa volonté de vouloir garder intact le souvenir des soldats à l'aide d'un modeste monument et dénonce également les responsables qui s'enrichissent sur le dos des combattants en voulant aussi leurs faire un monument. une anaphore aux v.12 et 13 . Plus loin dans le poème, l’auteur crée une opposition entre le paradis de l’enfance évoqué par les « rires » et les « oiseaux bleus », et l’horreur de la guerre, grâce à deux métaphores violentes « griffé d’un coup de feu » et « hache

FRANÇAIS DEVOIR CNED 2 : 1. la cible commune du texte est le roi et les courtisant qui font tout pour plaire au roi. Ils sont hypocrites et flatteurs. 2. Il y a dans la fable de La Fontaine des hyperboles telle que « mille corps ». Des anaphores : « peuple caméléon, peuple singe du maitre », des vers hétérométriques « sont ce qui plait au prince, ou, s’ils ne peuvent l’être » alexandrin « tache au moins de le paraître » heptamètre. Énumérations  « tristes, gais, prêts à tout, a tout indifférent »

prend le lecteur à témoin. L’apostrophe (ô), utilise l’impératif ou le subjonctif. S’adresse à une divinité prise à témoin ou au lecteur. Rythmes et structures de phrases : ruptures marquant de fortes émotions Figures de style : hyperboles, anaphores, parallélismes, chiasmes … Ex : « En cet affront mon père est l’offensé Et l’offenseur est le père de Chimène » Corneille, Le Cid Sonorités : reprises de sons semblables pour marquer le retour des mêmes émotions, impressions. Ex :

axes d'étude Etude méthodique I. Les relations entre presse et politique A. Violence - Attaques répétées de la presse : champ lexical de l’attaque ; anaphore + rythme binaire + personnification de l’attaque (« L’attaque…virulente ») ; « flanquer un abattage » = argot. - Rôle critique de la presse sur les hommes politiques = anaphore de sans, accumulation et gradation (ces hommes politiques…sans connaissances sérieuses), comparés à des déjections avec la métaphore du champignon : les hommes

à relever (homme idéal, ami exceptionnel, altruiste ; anaphore et comparaison et métaphore avec l’eau) c- autoportrait d’Octave= double négatif de Coelio (relever les oppositions et les parallélismes)  Ces deux réactions opposées éloignent définitivement les deux personnages. II : Dénouement tragique. 1) La mort des personnages : -cadre + cl de la mort. a- la mort réelle de Coelio. b- la mort figurée d’Octave : cl + anaphore de C’est moi et répétition (4) de adieu. 2) impossibilité

s’expend. Les grandes thèses : -La critique de l’ethnocentrisme des européens -L’apologie de la nature sur la culture - réflexion de l’emploi de « barbare » Figure de style : Anaphore, Hyperbole, isotopie de la nature Style d’écriture : Effet miroir Problématiques : - En quoi ce texte « des cannibales » prend-il le contre-pied des préjugés ethnocentriques de l’époque de Montaigne ?

utilisation du futur «  ils reviendront »= certitude. ( Selon le vieillard, l’arrivée des colonisateur apporte la mort & l’absence de civisme : métonymie « fer »= épée/« morceaux de bois » = croix, accumulation « égorger, enchaîner, assujettir », anaphore « vous »( volonté d’insister sur la mal que feront les européens aux Tahitiens (= interlocuteur) Il les désigne par : « Otaitien » + «  malheureux otaitiens » + «  vous » « ô mes amis » => solennité ( Il leur rappelle leur identité de peuple opprimé

Octosyllabes au lieu de décasyllabe ou alexandrin habituel, avec un vers qui pose problème « Vois-le, poète tondu, sans aile, qui fait neuf pieds sans la synérèse très malsonnante de poè-te. b. Le refus du lyrisme : • Champ lexical du chant et anaphore, Rossignol (connotation beau chant) fait allusion registre lyrique, expression chant du poète. • Synérèse poète montre autodérision de Corbière et de son art Une syntaxe hachée qui donne un rythme saccadé : • Sonorités désagréables (allitération