Anaphore

|Pyrrhus est d’une cruauté | | | | |impitoyable. | | |« Voilà comme Pyrrhus vint s’offrir |Anaphore du présentatif |Surenchère, amplification du | | |à ma vue ;/ Voilà par quels exploits|« voilà » |portrait cruel de Pyrrhus | | |il sut se

couplet :Le vers 13 repose sur une comparaison « comme cette eau courante » et représente la problématique du poème avec le thème sentimentale et le thème du fleuve. La strophe fonctionne avec 2 petites anaphores celle de l’amour « s’en va » v13.14 et celle de « comme » v15.16(définir anaphore). La première anaphore donne l’impression d’échecs avec un sentiments d’impuissance. Apollinaire essaye de maintenir le couple dans la deuxième strophe/couplet « l’amour s’en va » cela débouche donc sur un échec. Dans

plus jeunes ans … de leur ressembler » -paradoxe (l45-46) «  en un mot, avec tous les travers » -Suzanne martyrisée 3) Une foule originelle -La narratrice multiplie les précautions oratoires (L48) «  vous l’avouerai-je » multiplication des anaphores en « peut être » > « peut être mon père » l53, « peut être rappelais-je à ma mère » (l54) -prend ces précautions pour faire du suspense, elle évoque un adultère - au moment où elle écrit, elle sait que ce n’est pas son père : toutes ces précautions

comme ceux que peuvent subir les animaux quand ils sont conduits à l’abattoir, de plus ils sont menottées, je cite « marcher avec des menottes aux poignets ». Les autres fellahs sont eux aussi décrits comme des animaux, des animaux bien dressés, anaphore p.36 « ils se tenaient tranquilles », « ils étaient tranquilles ». Le terme qui les décrits p.37 « les captifs », qui a comme sens les prisonniers mais aussi animaux privés de liberté, montre encore que les fellahs sont décrits comme des bêtes et

théâtralisé par la présence de discours direct ce qui est rare dans les poèmes. En effet le fabuliste fait parler ses personnages. La présence de dialogue rend le texte plus vivant. Nous pouvons voir trois anaphores "sorcier" vers 14, "et" vers 18 et "adieu" vers 44, 45 et 46. Cette dernière anaphore est utilisé pour intensifier la perte du merveilleux jardin que le jardiner ne reverra plus jamais et pour se moquer de lui. Le jardin est représenté comme paradisiaque au début avec pleins de couleurs et

dans cette description du désastre. En effet l’étude des anaphores présentes dans les huit strophes révèle le nom de ce village martyr : Oradour , scandé comme une incantation pour ne pas l’oublier. De plus ce nom est toujours associé à une négation c’est par exemple « Oradour n’a plus… » vers 1 à 6, puis vers 33,35,36,37 ; « Oradour je n’ose » vers 12 et 26 ; « Oradour n’est plus » vers 41. Vient ensuite la forme négative « Plus de… », anaphore qui complète la précédente énumération en précisant d’autres

l’indicatif qui a une valeur d’habitude ici. A la fin, valeur d’énonciation avec la question au destinataire présent dans ce texte : Morel. = une adresse. B. Il raconte une réalité monotone Effet de répétition avec le présent et les répétitions : anaphores et répétitions … Création d’un rythme binaire monotone, fortement marqué par les oppositions dans les hémistiches ; renforcé par les assonances en « en » dans le premier vers par exemple, avec la liaison. Dans les deux quatrains et le premier

ambiguïté entre la beauté de la ville et la beauté d'une femme "ces grandes filles" / métonymie : mélioratif "d'or" pour blondes. Champ lexical du froid : "métal bleu", "beauté froide" => le premier abord de la ville est froid, et impressionnant (anaphore de "Si timide" montrant que le poète est impressionné par New York). L'auteur a des "yeux de chouette" => idée de grands yeux grands ouverts => curiosité et étonnement du poète face à New York. Puissance de New York : "dont les têtes foudroient

bontés", "mon injure", "j’attendais", "je t’aimais inconstant". La ponctuation exprime elle aussi une violence, marquée par les anaphores (" Va ") et les verbes à l’impératif. Les questions rhétoriques (v.1 et 10), la colère (v. 10 ou 21), nous montrent une très grande jalousie de la part d'Hermione. Le texte s’achève de manière grandiose: la suite d’impératifs, les anaphores violentes poussent Pyrrhus à faire son crime. Les termes employés expriment la grandeur : v.26," la foi ", 27, " majesté sacrée

particulièrement efficace, fonctionnant comme une mise en application du génie du Poète. II La structure didactique A/ La fonction performatrice du langage les anaphores : étudier toutes les anaphores dans le texte : le double « Malheur » du premier dizain par exemple, ou les « Lui » désignant le poète en tête de vers. Ces anaphores donnent un rythme incantatoire au texte. Les répétitions à l’intérieur des vers sont également nombreuses et procurent le même effet : en appuyant sur certains termes